WORK 4 MODEL

Tamiya 24366 Mercedes-Benz 300SL Full-View au 1/24

44 € 50

Sommaire
  1. Le modèle réel
    1. Présentation

    2. Découverte et histoire
      1. Premiers fossiles

      2. Un ptérosaure édenté

      3. Révision des espèces

      4. Reconnaître les variations

    3. Description
      1. Taille du corps et dimorphisme sexuel

      2. Crâne et bec

      3. Squelette postcrânien

    4. Paléobiologie
      1. Vol

      2. Déplacement

      3. Régime alimentaire

      4. Fonction de la crète

      5. Variation sexuelle

    5. Paléoécologie

    6. Classification
      1. Durée et évolution

      2. Espèces valides

      3. Classifications alternatives

      4. Espèces désaffectées

      5. Liste des espèces et synonymes

    7. Quelques photos

    8. Quelques vidéos

    9. Dans la culture populaire
      1. Dans les films
      2. Dans les séries et les téléfilms
      3. Dans l'animation
      4. Dans les jeux vidéo
      5. Dans les livres
      6. Dans la philatélie

    10. La chanson
  2. Le modèle à l'échelle
    1. Présentation du kit
    2. Caractéristiques du kit
    3. Le contenu du kit
    4. La maquette en détails
    5. Review par Prehistoric Kingdom (2024)
    6. Achat

Les photos du modèle réel :
  • Photo 1 : une 300 SL roadster et gullwinged coupé (2943×1955px)

  • Photo 2 : une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 grise vue de 3/4 avant gauche (3555×2031px)

  • Photo 3 : une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 rouge, portières ouvertes, vue de 3/4 arrière droit (3600×2403px)

  • Photo 4 : Voiture de course Mercedes-Benz W194 grise, vue de 3/4 avant gauche (5472×3648px)

  • Photo 5 : Prototype 1953 de la 300 SL grise, vue de 3/4 avant gauche, portière gauche ouverte (2048×1536px)

  • Photo 6 : Prototype 1953 grise, vue de 3/4 arrière droit, portières ouvertes, à Pebble Beach en 2012 (2288×1712px)

  • Photo 7 : Débuts de la 300 SL aux États-Unis au Salon de l’auto de New York, 1954 (524×637px)

  • Photo 8 : une Mercedes-Benz 300SL Gullwing 1955 grise vue de 3/4 avant droit (4032x3024px)

  • Photo 9 : la 300 SLS, championne du Sports Car Club of America en 1957, était une 300 SL roadster modifiée pour répondre à ses normes de course (2821×1881px)

  • Photo 10 : le tableau de bord de la 300 SLS (3456×2304px)

  • Photo 11 : Crâne et bec du spécimen AMNH 7515 (2434×1148px)

  • Photo 12 : l'habitacle d'une 300 SL. Les sièges en tissu étaient de série dans le coupé avec un motif à carreaux distinctif (2304×3456px)

  • Photo 13 : l'habitacle rouge d'une 300 SL coupé. Les sièges en cuir étaient en option (2592×1944px)

  • Photo 14 : le tableau de bord avec le volant baissé d'une 300 SL (4032x3024px)

  • Photo 15 : Le tableau de bord de Roadster, avec le bloc de manomètres additionnel à droite (6000×4000px)

  • Photo 16 : Le cadre tubulaire de la voiture limitait la capacité de chargement du coupé (3888×2592px)

  • Photo 17 : une Mercedes-Benz 300 SL coupé rouge vue de 3/4 avant droit, portière passager ouverte (800×535px)

  • Photo 18 : une Mercedes-Benz 300 SL coupé grise, portières ouvertes, vue de face (722×480px)

  • Photo 19 : zoom sur l'arrière droit d'une Mercedes-Benz 300 SL coupé grise (3118×2512px)

  • Photo 20 : le moteur d'une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 (4000×2669px)

  • Photo 21 : le moteur d'une Mercedes-Benz 300 SL (2580×1932px)

  • Photo 22 : le cadre tubulaire de la 300 SL (4752×3168px)

  • Photo 23 : zoom sur une des roues de la Mercedes-Benz 300 SL 1955 (4000×3000px)

  • Photo 24 : jantes et sourcil Rudge d'une Mercedes-Benz 300 SL (6016×4016px)

  • Photo 25 : une Mercedes-Benz 300 SL Roadster 1958 rouge vue de 3/4 avant gauche (4000×2670px)

  • Photo 26 : une Mercedes-Benz 300 SL roadster grise vue de profil droit (5648×3530px)

  • Photo 27 : une Mercedes-Benz 300 SL roadster blanche à toit rigide vue de 3/4 arrière droit (2288×1712px)

  • Photo 28 : une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 noire vue de profil droit (4000×2670px)

  • Photo 29 : une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 noire vue de l'arrière (4000×2669px)

  • Photo 30 : un Pteranodon en vol (1920×1080px)

  • Photo 31 : un Pteranodon longiceps (2400×1200px)

  • Photo 32 : un squelette de ptéranodon au sol (832×773px)

Le modèle réel

La Mercedes-Benz 300 SL (code châssis W 198) est une voiture de sport biplace qui a été produite par Mercedes-Benz de 1954 à 1957 en tant que coupé à ailes de papillon (gullwinged) et de 1957 à 1963 en tant que roadster. Les origines de la 300 SL remontent à la voiture de course de 1952, la W194, et étaient équipées d’un système mécanique d’injection directe de carburant qui augmentait la puissance de son moteur 6 cylindres en ligne de 3 litres à arbre à cames en tête.

une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 grise vue de 3/4 avant gauche

La 300 SL était capable d’atteindre 260 km/h (162 mph), ce qui lui a valu la réputation d’être championne de course de voitures de sport et d’en faire la voiture de série la plus rapide de son époque. Les portes papillon emblématiques de la voiture et la construction innovante du cadre tubulaire léger étaient révolutionnaires.

La désignation « SL » est une abréviation du terme allemand super-leicht, qui signifie « super-léger », en référence à la construction légère de la voiture, issue de la course. La 300 SL a été introduite sur le marché américain à la suggestion de Max Hoffman, l’importateur américain de Mercedes-Benz à l’époque, qui a reconnu la demande potentielle pour une voiture de sport haute performance parmi les acheteurs américains. La Mercedes-Benz 300 SL reste une voiture classique très recherchée et est célèbre pour ses performances, son design et ses avancées technologiques.

Développement

Origine dans la voiture de course W194

La 300 SL tire son origine d’une voiture de course d’endurance, la Mercedes-Benz W194, développée par Daimler-Benz en 1951. Elle utilisait le moteur 6 cylindres en ligne M186 de 3 litres, partagé par la berline phare de la société, 300 « Adenauer » (W186) et la 300 S grand tourisme biplace (W188).

Bien que le moteur de 175 ch (130 kW) de la W194 produisait moins de puissance que les voitures concurrentes de Ferrari et Jaguar, son faible poids et sa faible traînée aérodynamique rendaient la W194 suffisamment rapide pour être compétitive dans les courses d’endurance.

Mercedes-Benz développa une nouvelle version pour la saison de course 1953 en remplaçant les carburateurs de la M186 par une injection mécanique directe de carburant et en passant à des roues de 16 pouces ; la boîte de vitesses a été installée sur son essieu arrière. Son corps était fait d’Elektron, un alliage de magnésium, ce qui réduisait son poids de 85 kilogrammes (187 livres). Mercedes-Benz a décidé de ne pas faire courir cette voiture en alliage, choisissant plutôt de commencer à participer à la Formule 1 en 1954. Les versions ultérieures ont révisé la carrosserie pour réduire la résistance à l’air et n’ont pas continué l’arrangement de la transmission.

Origine de la 300 SL

une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 rouge, portières ouvertes, vue de 3/4 arrière droit

L'idée que Mercedes produise une voiture de Grand Prix atténuée destinée aux amateurs de performances aisés sur le marché américain en plein essor de l'après-guerre a été suggérée par l'importateur américain de l'entreprise, Max Hoffman, lors d'une réunion des directeurs en 1953 à Stuttgart. Le nouveau directeur général de Mercedes, Fritz Konecke, a accepté la commande de Hoffman de 1'000 voitures pour garantir le succès de la production ; la 300 SL a été présentée au Salon international de l'auto de New York en février 1954 au lieu des salons de Francfort ou de Genève, où les modèles de l'entreprise faisaient habituellement leurs débuts. De plus, la production d'un roadster plus petit, la Mercedes-Benz 190 SL, a été annoncée après qu'Hoffman ait passé une première commande de 1'000 exemplaires pour soutenir leur production. Mercedes a reçu un accueil positif des visiteurs pour les 2 voitures à New York et la production a commencé à l'usine de Sindelfingen en août de la même année.

Coût

Le prix du coupé 300 SL en Allemagne était de 29'000 DM et de 6'820 $ aux États-Unis. Le roadster coûtait 32'500 DM en Allemagne et 10'950 $ aux États-Unis, soit 10% plus cher que le coupé en Europe et plus de 70% de plus aux États-Unis.

grise, vue de 3/4 avant gauche
Voiture de course Mercedes-Benz W194
grise, vue de 3/4 avant gauche, portière gauche ouverte
Prototype de la 300 SL
grise, vue de 3/4 arrière droit, portières ouvertes
Prototype 1953 à Pebble Beach en 2012
Débuts de la 300 SL aux États-Unis au Salon de l’auto de New York, 1954
Option Prix (USD)
Couleur (autre que argent métallisé) 65
Protections de pare-chocs (4) 40
Lave-glaces 18
Radio Becker 264
Revêtement en cuir (coupé) 165
Bagage équipé (roadster) 85
Expédition en caisse depuis l'usine 80
Ressorts de compétition (4) 88
Amortisseurs avant de compétition (2) 41
Amortisseurs arrière de compétition (2) 85
Arbre à cames de compétition 73
Jantes à écrou central (5) 350
Engrenages à couronne et pignon en option, par jeu 80
Toit rigide pour roadster 178

Abréviation SL

Mercedes-Benz n’a pas annoncé ce que signifiait l’abréviation « SL » lors de l’introduction de la voiture ; les magazines et les responsables de l’entreprise l’ont appelé « Sport Leicht » et « Super Leicht » (« léger »). Il s’appelait « Sport Leicht » sur le site Web de l’entreprise jusqu’en 2017, date à laquelle « SL » a été remplacé par « Super Leicht » après une découverte fortuite dans les archives de l’entreprise.

300 SLS

En 1957, une version spéciale 300 SLS (Super Light Special) du roadster 300 SL a été créée pour que l’équipe de course américaine Mercedes-Benz puisse concourir sur le circuit national du Sports Car Club of America (SCCA). Après que le coupé 300 SL ait dominé la classe D Production en route vers les titres en 1955 et 1956, les règles ont été modifiées pour rendre la classe plus compétitive en augmentant la taille maximale du moteur de 3 à 3,5 litres. Plutôt que de modifier radicalement la taille de son moteur (sur le point de lancer le nouveau roadster 300 SL de la société, remplaçant le coupé), Mercedes-Benz a créé 2 roadsters pour faire campagne sur le circuit SCAA de classe D Modified. Ils comportaient un couvercle solide sur le siège passager, un écran de course à profil bas à la place d’un pare-brise pleine largeur et en hauteur, un arceau de sécurité pour le siège du conducteur, un capot personnalisé avec prise d’air du moteur et aucun pare-chocs avant et arrière. Ces modifications et d’autres ont permis d’abaisser le poids du véhicule de 1'420 kilogrammes (3'130 livres) à 1'040 kilogrammes (2'290 livres). La puissance du moteur a été augmentée de 20 ch (15 kW), à 235 ch (175 kW). Le pilote de l’équipe Paul O’Shea a de nouveau remporté le titre pour l’entreprise.

le tableau de bord de la 300 SLS

Aperçu

Le seuil de porte inhabituellement haut et large du coupé a conduit à l’adaptation de ses portes papillon emblématiques

La 300 SL est dotée d’un châssis tubulaire en acier, avec une carrosserie en acier combinée à un capot, des portes, un tableau de bord et un couvercle de coffre en aluminium pour réduire encore le poids. 80 kilogrammes supplémentaires (176 livres) pourraient être éliminés avec un corps tout en aluminium coûteux, mais seulement 29 ont été fabriqués. Selon le rapport de l’essieu arrière, la consommation de carburant était de 17 litres aux 100 km (14 miles par gallon US ; 17 miles par gallon impérial).

Habitacle

l'habitacle d'une 300 SL
Les sièges en tissu étaient de série dans le coupé avec un motif à carreaux distinctif

3 tissus de siège à carreaux étaient standard : gris et vert, gris et bleu, crème et rouge. La plupart des clients ont opté pour une sellerie en cuir, qui est devenue la norme sur le roadster. Avec des portes qui s’ouvrent vers le haut, le coupé a un seuil inhabituellement haut ; l’entrée et la sortie de la voiture sont problématiques. Le volant pivote sur son moyeu à 90 degrés du tableau de bord pour faciliter l’entrée. L’espace de rangement pour les bagages se trouve derrière les sièges du coupé ; le coffre ne contient qu’une roue de secours et un réservoir de carburant. Le roadster était disponible avec 2 valises en cuir sur mesure pour le coffre plus grand. Les vitres du coupé sont fixes et s’abaissent dans le roadster.

l'habitacle rouge d'une 300 SL coupé
Les sièges en cuir étaient en option
le tableau de bord avec le volant baissé d'une 300 SL
Le volant pouvait être relâché pour faciliter l’entrée et la sortie
Le tableau de bord de Roadster, avec le bloc de manomètres additionnel à droite
Le cadre tubulaire de la voiture limitait la capacité de chargement du coupé

Carosserie

une Mercedes-Benz 300 SL coupé rouge vue de 3/4 avant droit, portière passager ouverte
Toute couleur autre que l’argent métallisé coûtait un supplément

La carrosserie est principalement constituée de tôle d’acier, avec le capot, le couvercle du coffre, le tableau de bord, le seuil et les revêtements de porte en aluminium. Le gris argenté était la couleur standard ; toutes les autres couleurs étaient des options.

une Mercedes-Benz 300 SL coupé grise, portières ouvertes, vue de face
Le look papillon

L’objectif de la conception globale était de rendre le véhicule aussi simple que possible. La largeur du cadre tubulaire le long du cockpit a permis d’incruster considérablement la ligne de toit de la cabine des 2 côtés, réduisant considérablement la surface avant. La structure était également assez haute entre les roues, interdisant la fixation de portes standard. La seule option – déjà utilisée sur la voiture de course W194 – qui permettrait aux passagers de franchir son seuil haut et profond était une porte papillon (.

zoom sur l'arrière droit d'une Mercedes-Benz 300 SL coupé grise
Détail d’un coupé restauré

Les sourcils distinctifs de la voiture sont une caractéristique fonctionnelle à l’avant, à la fois physiquement et aérodynamiquement, déviant l’eau de la route du pare-brise, et stylistique à l’arrière, ajoutée pour la symétrie visuelle.

Moteur

Le moteur Mercedes-Benz M198 est un 6 cylindres en ligne à cames en tête de 3,0 L, 182,8 pouces cubes et 2'996 cc refroidi par eau. Comme la Mercedes-Benz M194 de course, la 300 SL a emprunté le moteur de base M186 à 2 soupapes par cylindre de la voiture de tourisme de luxe à 4 portes 300 (W186 « Adenauer ») classique introduite en 1951.

Il était doté de la tête en aluminium du M186 : une base diagonale de 30 degrés, permettant des soupapes d’admission et d’échappement plus grandes qu’un joint horizontal standard avec le bloc moteur. Pour améliorer les performances, le M198 a remplacé les 3 carburateurs Solex à 2 corps de la W194 par un système mécanique d’injection directe de carburant Bosch. Cela a permis d’augmenter la puissance de la 300 SL de 175 ch (130 kW ; 177 PS) SAE brut à 240 ch (179 kW ; 243 PS) SAE brut à 6'100 tr/min. La compression a été fixée à 8,55:1.

300 SL (W198)
Puissance maximale 240 ch (179 kW ; 243 PS) SAE brut à 6'100 tr/min / 212 ch (158 kW ; 215 PS) à 5'800 tr/min DIN
Couple maximum 294 N⋅m (217 lb⋅ft ; 30 kg⋅m) SAE brut à 4'800 tr/min / 203 lb⋅ft (275 N⋅m ; 28 kg⋅m)à 4'600 tr/min DIN

Une autre caractéristique de performance était la lubrification par carter sec, qui garantissait une bonne répartition de l'huile dans les virages à grande vitesse et réduisait la hauteur du moteur en éliminant le carter d'huile traditionnel. Une version plus puissante du M198, avec un arbre à cames sport radical et un taux de compression de 9,5 : 1, pourrait être commandée gratuitement pour le coupé. Le roadster ne disposait de ce moteur que lors de sa première année 1957. Pour que le moteur M198 soit installé dans une voiture à profil bas, il a été incliné de 50 degrés vers le côté conducteur. Le résultat était une efficacité aérodynamique et un énorme collecteur d'admission en aluminium moulé au sable aussi large que le moteur.

Le moteur était couplé par un embrayage à sec monodisque à une transmission à 4 vitesses avec des rapports de démultiplication de 3,34:1, 1,97:1, 1,39:1 et 1:1, et un rapport inverse de 2,73:1. Le rapport d’essieu arrière d’origine au début de la production était de 1:3,42 ; au 41e véhicule, il a été changé en 1:3.64 pour une meilleure accélération. Il permet une vitesse de pointe de 235 km/h (146 mph) et une accélération de 0 à 100 km/h (62 mph) en 9,3 secondes. Une accélération plus rapide a été fournie avec des rapports de 1:3,89 et 1:4,11. Le rapport final le plus bas, 1:3,25, offrait une vitesse de pointe allant jusqu’à 263 km/h (163 mph) et faisait de la 300 SL la voiture de série la plus rapide de son époque. Les conducteurs urbains ont trouvé la première vitesse haute difficile. Le fonctionnement de la pédale d’embrayage était initialement encombrant, corrigé par un ressort auxiliaire amélioré du bras d’embrayage.

Contrairement aux systèmes d’injection électronique actuels, la pompe à carburant mécanique de la 300 SL continuait à fonctionner tant que le moteur tournait, maintenant la pression du système d’injection mécanique directe de carburant, qui continuait à injecter de l’essence dans les cylindres pendant l’intervalle entre la coupure de l’allumage et l’arrêt du moteur. Ce carburant supplémentaire a emporté le film d’huile essentiel au moteur lors du démarrage et a entraîné une dilution de l’huile, une usure excessive des segments et un décapage des parois du cylindre. Le problème était exacerbé par le système de lubrification à carter sec du moteur, avec son grand refroidisseur d’huile et son énorme capacité d’huile de 15 L (4,0 gal US), qui garantissait pratiquement que l’huile ne deviendrait pas assez chaude pour s’écouler correctement lors des courts trajets fréquemment effectués par la plupart des propriétaires de voitures. Les propriétaires peuvent bloquer le flux d’air à travers le refroidisseur d’huile et s’en tenir strictement à l’intervalle de vidange d’huile recommandé de 1'600 km (1'000 mi). Une pompe à carburant auxiliaire fournissait du carburant supplémentaire pour un fonctionnement prolongé à grande vitesse (ou des démarrages à froid), mais une utilisation excessive pouvait également entraîner une dilution de l’huile. De mars 1963 jusqu’à la fin de la production plus tard cette année-là, un bloc moteur en alliage léger a été installé dans 209 véhicules.

Châssis

Comme les voitures de course modernes, la 300 SL a un cadre tubulaire, conçu par l’ingénieur en chef de Mercedes, Rudolf Uhlenhaut et en acier au chrome-molybdène. Un tel cadre offrait une grande rigidité avec une faible masse. De minces tubes droits ont été assemblés en triangles, le cadre fini pesant 82 kilogrammes (181 livres). Les éléments du rembourrage du cadre du coupé s’étendent sur toute la largeur de la voie du véhicule d’une roue à l’autre, ce qui constitue un seuil exceptionnellement haut et profond pour l’accès à l’habitacle. Le tube supérieur est si haut qu’il est au niveau du coude du conducteur, ce qui rend les portes à charnières conventionnelles irréalisables. Le design qui en a résulté – des portes « papillon » s’ouvrant vers le haut – a donné à la voiture son surnom emblématique.

Suspension

zoom sur une des roues de la Mercedes-Benz 300 SL 1955

La suspension indépendante aux 4 roues de la 300 SL a été fortement empruntée à la Mercedes-Benz W186 Adenauer de tourisme de luxe ordinaire, avec un réglage plus sportif. La répartition du poids de l’avant vers l’arrière se fait presque exactement au centre du véhicule.

La suspension avant se compose de doubles triangles de longueur inégale, de ressorts hélicoïdaux, d’amortisseurs télescopiques hydrauliques et d’une barre antiroulis.

L’arrière est doté d’un essieu oscillant à faible pivot, de bras à rayon et de ressorts hélicoïdaux. N’étant articulé qu’au niveau du différentiel (en l’absence d’un joint moderne à vitesse constante comme utilisé aujourd’hui avec une suspension indépendante), l’essieu oscillant pouvait rendre les virages arrière dangereux à grande vitesse ou sur de mauvaises routes en raison de changements extrêmes de carrossage. Le roadster a remédié à ce problème en passant à une géométrie à pivot élevé.

La direction à recirculation de billes était relativement précise pour l’époque, et la suspension indépendante permettait une conduite raisonnablement confortable et une maniabilité globale nettement meilleure.

Freins

La 300SL avait les mêmes freins à tambour à ailettes auto-refroidis de 1'470 centimètres carrés (227,9 pouces carrés) que la Mercedes 300S. Les semelles de frein avaient une largeur de 90 millimètres (4 po). Les tambours avant avaient des cylindres doubles, l’arrière simple. Le frein à main était mécanique et n’agissait que sur les roues arrière. En mars 1961, des freins à disque de 290 millimètres (11,4 po) ont remplacé les tambours sur toute la surface.

Les roues avaient un moyeu en acier riveté / jante en aluminium. Les roues du roadster étaient plus grandes que celles du coupé. Les jantes Rudge 5J × 15 pouces étaient une option précieuse. Les pneus mesuraient 6,50-15 pouces sur le coupé et 6,70-15 pouces sur le roadster.

Roadster

une Mercedes-Benz 300 SL Roadster 1958 rouge vue de 3/4 avant gauche

Au milieu de l’année 1956, les ventes de la 300SL Gullwing ont commencé à décliner, ce qui a incité le conseil d’administration de Mercedes-Benz à envisager une version cabriolet adaptée au marché californien. Un prototype a été présenté au Salon de l’automobile de Genève en mars 1957, et en mai, l’usine avait été convertie pour la production de roadsters.

Comme le coupé papillon dont le roadster a été adapté n’avait pas de portes conventionnelles, son cadre tubulaire en acier allié a été redessiné pour abaisser ses seuils, créer des points forts pour les charnières de porte, faire de la place pour un coffre approprié et renforcer le cadre pour une rigidité perdue le transformant d’un coupé en une voiture ouverte. Bien qu’il ait suivi l’exemple du coupé et utilisé des panneaux d’aluminium pour le capot, le couvercle du coffre, les revêtements de porte, les seuils, les planchers et la cloison, le roadster a gagné 35 kg (77 lb), portant le poids de la nouvelle voiture à 1'330 kg (2'930 lb).

Mécaniquement, la puissance du moteur M198 a été portée à 240 ch (179 kW) et la suspension arrière a été améliorée en abaissant le point de pivot de l’essieu oscillant de 87 millimètres (3,4 po) sous l’axe du différentiel. Les améliorations notables qui en ont résulté en matière de maniabilité et de confort de conduite n’ont pas échappé à l’ingénieur en chef, Rudolf Uhlenhaut, qui avait recherché le design sur le coupé mais a été repoussé par le conseil d’administration de Mercedes, qui a choisi d’utiliser un inventaire existant d’environ 3'000 unités d’essieu pour compenser les coûts de production déjà élevés du véhicule.

une Mercedes-Benz 300 SL roadster blanche à toit rigide vue de 3/4 arrière droit

Non seulement le roadster considérablement plus convivial était plus facile à monter et à descendre, mais il était disponible avec des bagages en cuir configurés sur mesure pour maximiser l’espace gagné dans le coffre en déplaçant la roue de secours sous son plancher et en réduisant le réservoir de carburant.

À l’origine, le roadster était équipé d’une capote escamotable. En septembre 1958, un toit rigide résistant aux intempéries en option est devenu disponible. Il s’est avéré être une option si attrayante que, malgré son prix considérable de 1'500 deutschemarks, il s’est avéré être l’option la plus populaire, de sorte que Mercedes a commencé à proposer le roadster sans la capote (pour une réduction de 750 deutschemarks par rapport à son prix de 1958 de 34'000 deutschemarks).

La production s’est terminée en février 1963, après une série de 1'858 roadsters - la dernière Mercedes-Benz à être construite sur un châssis séparé.

Course

Au début des années 1950, Mercedes décida de revenir dans le sport automobile international, et Alfred Neubauer se vit à nouveau confier cette tâche. En 1951, la société a construit 5 voitures V8 W165 et des moteurs pour participer au Grand Prix. Le V12 de Ferrari s’est cependant bien comporté à Silverstone, et Neubauer savait que la W165 ne pouvait pas gagner ; Mercedes a commencé à planifier un V12 W195. La commission sportive de la FIA a changé les règles pour 1954 en octobre 1951, et les W195 ne pouvaient pas concourir. La société a commencé à développer une 300 SL à 6 cylindres pour la course. Ses portes s’étendaient à l’origine sur le bas des vitres latérales, et l’accès par celles-ci nécessitait un volant amovible.

1952

une Mercedes-Benz 300 SL (W198) 1954 noire vue de l'arrière

La première course de la 300 SL a eu lieu aux Mille Miglia de 1952. La course de 1'564 kilomètres (972 mi) se déroulait de Brescia à Rome et retour, opposant la 300 SL de Karl Kling à la nouvelle Ferrari V-12 de 3 litres de Giovanni Bracco. Bracco a gagné, battant la Mercedes de 4 minutes et 32 secondes. Au volant d’une voiture avec un moteur moins puissant, Rudolf Caracciola s’est classé quatrième.

2 semaines après les Mille Miglia, les 4 premières voitures ont couru à Berne avant le Grand Prix. Craignant que les responsables du Mans n’acceptent pas la conception de la porte papillon, Daimler-Benz a révisé la porte sur le côté de la carrosserie. Le blocage du frein arrière était un problème persistant pour la 300 SL. Le coupé de Caracciola a heurté un arbre de plein fouet et il n’a plus couru. Kling, Hermann Lang et Fritz Riess terminent premier, deuxième et troisième lorsque la Ferrari de 4,1 litres tombe en panne au départ.

Karl Kling et Hans Klenk (partiellement cachés), de la troisième Carrera Panamericana dans leur Mercedes-Benz 300 SL - les barres métalliques sur le pare-brise ont été ajoutées après une collision avec un vautour, Mexique, 1952

3 nouvelles voitures ont été construites pour les 24 Heures du Mans en juin. Les moteurs ont été désaccordés pour la longue course à 166 ch, et le remplissage du réservoir de carburant s’est élevé au-dessus de la lunette arrière. L’équipe a apporté une voiture de rechange expérimentale avec un frein à air sur le toit qui s’est replié à plat jusqu’à ce que le conducteur l’active. La conception inhabituelle des freins a déconcerté les autres conducteurs. Le frein était efficace. À 100 mph, il pouvait exercer une décélération allant jusqu’à 0,2 g, mais il affaiblissait également les pylônes de support. Les voitures ont utilisé plus de pneus que prévu, et Kling et Hans Klenk ont été forcés de quitter la course en raison d’une panne de générateur. Lang et Riess ont remporté la course avec une vitesse moyenne de 155,574 kilomètres à l’heure (96,669 mph), et Theo Helfrich et Helmut Niedermayr se sont classés deuxièmes.

Quelques photos

un Pteranodon longiceps
un squelette de ptéranodon au sol

Quelques vidéos

10 caractéristiques uniques qui vont vous épater ! par La encyclopédie des dinosaures I'm a Pterodactyl - Dinosaur Songs par Howdytoons

Dans la culture populaire

Dans les films

Rodan (1956) (空の大怪獣 ラドン, Sora no Daikaijū Radon) de Ishirō Honda
avec dans les rôles principaux :

Kenji Sahara
(Shigeru Kawamura)
Yumi Shirakawa
(Kiyo)
Akihiko Hirata
(Pr Kyōichirō Kashiwagi)
Yasuko Nakata
(la jeune mariée)

un ptéranodon mutant long d'une centaine de mètres et volant à la vitesse d'un avion hypersonique et appelé au Japon : kaiju Rodan.

Des mineurs sont attaqués dans un chantier près du mont Aso. Des policiers envoyés les chercher sont retrouvés déchiquetés. On identifie les coupables : des Meganulons, des larves de libellules préhistoriques géantes. Un des mineurs est retrouvé amnésique et en état de choc ; il déclare avoir vu un œuf géant éclore dans les mines. Quelque temps plus tard des avions sont détruits par un mystérieux objet volant.

Le kaiju Rodan apparaît dans 15 films, 5 séries/téléfilms, 17 jeux vidéos et 24 oeuvres de la littérature (livres, BD, manga, novel...)

Le Monde perdu : Jurassic Park (1997) (The Lost World: Jurassic Park) de Steven Spielberg
avec dans les rôles principaux :

Jeff Goldblum
(Pr Ian Malcolm)
Julianne Moore
(Dr Sarah Harding)
Richard Attenborough
(John Hammond)
Vanessa Lee Chester
(Kelly Curtis)

un ptéranodon apparaît à la fin du film.

4 ans après le terrible fiasco de son Jurassic Park, le milliardaire John Hammond rappelle le Dr Ian Malcolm pour l'informer de son nouveau projet. Sur une île déserte, voisine du parc, vivent en liberté des centaines de dinosaures de toutes tailles et de toutes espèces. Ce sont des descendants des animaux clones en laboratoire. D'abord réticent, Ian se décide à rejoindre le docteur quand il apprend que sa fiancée fait partie de l'expédition scientifique. Il ignore qu'une autre expédition qui n'a pas les mêmes buts est également en route.

Jurassic Park 3 (2001) de Joe Johnston
avec dans les rôles principaux :

Sam Neill
(Pr Alan Grant)
Laura Dern
(Pr Ellie Sattler)
William H. Macy
(Paul Kirby)
Téa Leoni
(Amanda Kirby)

les ptéranodons ont un rôle plus important, ils attaquent les héros du film dans une énorme volière. À la fin du film, ils arrivent à s’échapper de l’île et s'envolent pour trouver un nouvel endroit pour leurs nids.

Huit ans après la débâcle d´InGen, le paléontologue Alan Grant peine à trouver les moyens nécessaires pour continuer ses recherches. Grant accepte alors la proposition de l´aventurier Paul Kirby et de sa femme Amanda qui se disent prêts à financer ses travaux après qu´il les aura accompagnés dans leur tournée aérienne au-dessus du nouveau site de l´Ingen : Isla Sorna. Placée sous haute surveillance, cette île est devenue le principal centre d´élevage de dinosaures. Grant flaire l´entourloupe sitôt que le pilote amorce sa descente sur l´île.

Fidélité scientifique : Les ptéranodons de Jurassic Park 3, comme les vélociraptors, changent d'apparence par rapport à The Lost World sans explication officielle. Cette deuxième version est la plus souvent reprise par le contenu promotionnel, et est unanimement reconnue comme scientifiquement incorrecte pour un détail bien visible : les dents, ce qui contredit la signification de Pteranodon, « aile sans dent ».

L'animal entier a plus un physique de monstre de cinéma que de ptérosaure : la tête est trop petite – les ptérosaures ayant souvent des têtes disproportionnellement grosses par rapport à leur corps –, le bec est droit au lieu d'être incurvé et les 2 mâchoires sont de la même taille, alors que la supérieure devrait être légèrement plus longue. Le ptéra du film a une peau de cuir nue, et ne possède pas de couche de pycnofibres. Le bout de ses ailes est pointu au lieu d'arrondi, ses doigts sont trop gros et ses pieds sont préhensiles, comme des serres de rapaces, plutôt que plats et uniquement conçus pour la marche. Même s'il avait eu des serres, il aurait été incapable de soulever des humains, les ptérosaures étant des animaux légers et délicatement bâtis. Les cris stridents tiennent sans doute de la fiction : si on ignore le genre de sons que les ptérosaures produisaient, il est plus probable qu'ils émettaient des vocalisations semblables à celles des oiseaux ou des crocodiles. On suppose désormais que les ptérosaures ne nourrissaient pas leurs petits nichés sur des falaises comme les oiseaux, mais enterraient leurs œufs comme les tortues. Cela ne signifie pas qu'ils ne gardaient pas leur nid ou ne protégaient pas leurs petits. Les ptéras du film battent des ailes comme des chauve-souris et savent même voler latéralement. Ils ont été surdimensionnés, même si leur taille correspond aux estimations de l'époque.

Quelques bons côtés malgré tout : la longueur du cou, surestimée dans The Lost World, est corrigée, de même que la posture bipède : les ptéranodons sont correctement montrés comme des quadrupèdes, marchant sur leurs ailes repliées.

Jurassic World (2015) de Colin Trevorrow
avec dans les rôles principaux :

Chris Pratt
(Owen Grady)
Bryce Dallas Howard
(Claire Dearing)
Vincent D'Onofrio
(Vic Hoskins)
Omar Sy
(Barry Sembène)

les ptéranodons. Dans une partie du film, les monstres s'attaquent à des visiteurs, en compagnie de dimorphodons.

8 ans après la débâcle d´InGen, le paléontologue Alan Grant peine à trouver les moyens nécessaires pour continuer ses recherches. Grant accepte alors la proposition de l´aventurier Paul Kirby et de sa femme Amanda qui se disent prêts à financer ses travaux après qu´il les aura accompagnés dans leur tournée aérienne au-dessus du nouveau site de l´Ingen : Isla Sorna. Placée sous haute surveillance, cette île est devenue le principal centre d´élevage de dinosaures. Grant flaire l´entourloupe sitôt que le pilote amorce sa descente sur l´île.

Fidélité scientifique : Troisième variante de Pteranodon de la franchise, elle est considérée comme étant la moins appréciée des 3. Il s'agit pourtant de la plus correcte : les principales différences sont l'absence de pycnofibres, le bout des ailes pointu plutôt qu'arrondi et les serres de rapaces préhensibles capables de soulever des humains et de s'agripper à des structures pour se poser, traits qu'elle partage avec les 2 premières versions. Le ptéranodon de Jurassic World présente d'autres divergences moins visibles, comme la taille et l'orientation des doigts, les arcades sourcillières trop épaisses, le corps trop maigre et la membrane des ailes qui descend jusqu'aux hanches et non jusqu'aux chevilles. Les ptéras du film sont aussi trop agressifs, et leur envergure, avoisinant 6 mètres, correspond à celle des mâles alors que ce sont toutes des femelles ; elles devraient donc être plus petites.

Jurassic World est cependant le premier film de la saga à montrer les femelles ayant des crêtes plus courtes. La forme du bec, légèrement incurvé vers le haut, est plus exacte que le bec droit des ptéras de Jurassic Park 3 ou le bec de cormoran de The Lost World. Le cou est plus court également, et le nouveau ptéra partage avec la variante du second film l'absence de dents, comme la signification de leur nom l'indique. Dans le film, les ptéranodons sont capables de plonger sous l'eau pour pêcher (ou dans le cas de Zara, repêcher) leurs proies. Il est très probable qu'ils en aient été capables dans la réalité, vivant à proximité des littoraux comme les oiseaux pêcheurs. Ils étaient donc les proies des prédateurs marins, ce que montre le film avec le mosasaure bondissant hors de l'eau pour en saisir un, possible clin d'œil à Fantasia.

Jurassic World: Fallen Kingdom (2018) de Juan Antonio Bayona
avec dans les rôles principaux :

Chris Pratt
(Owen Grady)
Bryce Dallas Howard
(Claire Dearing)
Daniella Pineda
(Dr Zia Rodriguez)
James Cromwell
(Sir Benjamin Lockwood)

des ptéranodons font partie des animaux capturés par les mercenaires, la scène post-générique du film montre trois d'entre eux survoler Las Vegas.

Cela fait maintenant 4 ans que les dinosaures se sont échappés de leurs enclos et ont détruit le parc à thème et complexe de luxe Jurassic World. Isla Nublar a été abandonnée par les humains alors que les dinosaures survivants sont livrés à eux-mêmes dans la jungle. Lorsque le volcan inactif de l'île commence à rugir, Owen et Claire s'organisent pour sauver les dinosaures restants de l'extinction. Owen se fait un devoir de retrouver Blue, son principal raptor qui a disparu dans la nature, alors que Claire, qui a maintenant un véritable respect pour ces créatures, s'en fait une mission...

Fidélité scientifique : Pour la première fois dans la franchise, les ptéranodons sont identiques à ceux du film précédent. En l'occurrence, ils sont toujours trop maigres, trop agressifs, manquent de pycnofibres, ont des ailes aux bouts pointus dont la membrane s'arrête aux hanches et des serres de rapace leur permettant de capturer des proies au sol et de se poser sur des structures.

Comme dans Jurassic World, ils ont des crêtes courtes de femelle et un bec édenté et incurvé comme dans la réalité. Auparavant massés dans une volière, ils sont à présent libres sur l'île et volent en groupes de plusieurs individus. On a retrouvé en Chine des fossiles de ptérosaures morts ensemble, ce qui indique qu'ils devaient vivre ensemble.

Dans les séries et les téléfilms

Nick Cutter et les Portes du temps (2007-2011) (Primeval) de Adrian Hodges et Tim Haines
avec dans les rôles principaux :

Douglas Henshall
(Pr Nick Cutter)
Hannah Spearritt
(Abigail « Abby » Sarah Maitland)
James Murray
(Stephen James Hart)
Andrew Lee Potts
(Connor Temple)

un ptéranodon apparaît dans l'épisode 5 de la saison 1 (O.V.N.I.), il sème la panique sur un terrain de golf.

L'Angleterre est le théâtre d'étranges phénomènes : des créatures préhistoriques apparaissent aux quatre coins du Royaume... Le professeur Cutter, un homme brillant mais hanté par la disparition de sa femme, et son équipe, se lancent à leur poursuite et tentent de découvrir comment, ces espèces disparues depuis des milliers d'années, ont pu réapparaître soudainement...
Episode 5 : Un Ptéranodon apparaît sur un terrain de golf. Les ennuis commencent quand un golfeur est tué. Mais tout semble indiquer que ce n'est pas le Ptéranodon le coupable. Abby et Connor ne tardent pas à découvrir une nuée de ptérosaures carnivores tueurs attirés par le sang (peut-être des anurognathus).

Terra Nova (2011) de Kelly Marcel et Craig Silverstein
avec dans les rôles principaux :

Jason O'Mara
(James « Jim » Shannon)
Shelley Conn
(Dr Elisabeth Shannon)
Christine Adams
(Mira)
Allison Miller
(Skye « Godiche » Alexandria Tate)

des ptéranodons survolent brièvement la jungle du Crétacé.

En l’an 2149, la vie sur Terre est menacée d'extinction par la pollution atmosphérique et les faibles ressources naturelles. La seule chance de sauver l’humanité est d’envoyer des individus à travers une faille spatio-temporelle, les menant 85 millions d'années en arrière vers un passé alternatif situé à la fin du Crétacé. La famille Shannon fait partie du dixième pèlerinage de colons pour Terra Nova, la première colonie humaine de l'autre côté du passage. Une nouvelle vie commence bientôt pour Jim, Elisabeth et leurs enfants Josh, Maddy et Zoé, malgré les dangers et le mystère des lieux...

Power Rangers : Dino Tonnerre (2004) (Power Rangers: Dino Thunder) de Eamon O'Sullivan
avec dans les rôles principaux :

James Napier Robertson
(Conner McKnight (Ranger rouge))
Kevin Duhaney
(Ethan James (Ranger bleu))
Emma Lahana
(Kira Ford (Ranger jaune))
Jason David Frank
(Dr Thomas « Tommy » Oliver (Ranger noir))

le zord de la Ranger jaune est un ptéranodon

Le docteur Tommy Oliver, archéologue et ancien membre des Power Rangers, entreprend avec l'aide de son collègue Anton Mercer la création d'organismes à base d'ADN de dinosaure, destinés à aider à la protection de la planète. L'expérience tourne mal lorsque Mercer est transformé en une créature reptilienne du nom de Mesogog, et décide d'utiliser les créatures issues des recherches à son propre profit. Tommy réussit à faire exploser l'île où ont eu lieu les recherches, tuant apparemment Mesogog et ses forces, avant de fuir.

Quelque temps plus tard, alors que Tommy s'inscrit comme professeur dans un lycée, Mesogog resurgit de façon mystérieuse. Dans les incidents qui suivent, trois des élèves entrent en possession des Dinocristaux : Connor McKnight, un jeune footballeur immature, Ethan James, un passionné d'informatique et de jeux vidéo et Kira Ford, une jeune musicienne qui espère faire carrière. Ils obtiennent des pouvoirs et la capacité de contrôler les Dinozords créés par Tommy et Mercer. Tommy est alors contraint de les recruter et de les former en tant que nouveaux Power Rangers pour lutter contre Mesogog. Très peu de temps après, Tommy trouve un Dino Cristal noir, qui permet d'acquérir un pouvoir d'invisibilité et de rejoindre l'équipe de façon active.

Plus tard, un Ranger blanc les attaque. Il semble cependant reconnaitre Kira, qui parvient à le raisonner, et il décide de dévoiler son identité aux autres, qui n'en reviennent pas : il est en réalité Trent Mercer, le fils d'Anton, manipulé par Mesogog afin de les détruire. Trent leur avoue bien plus tard que Mesogog est en fait son père qui ne parvient pas à maîtriser ses transformations.

Dinotopia (2002) de Marco Brambilla
avec dans les rôles principaux :

Wentworth Miller
(David Scott)
Tyron Leitso
(Karl Scott)
Katie Carr
(Marion Waldo)
Alice Krige
(Rosemary Waldo)

des ptéranodons apparaissent dans l'épisode 1.

Naufragés, Karl et David échouent sur la terre inconnue de Dinotopia. Un monde où les humains co-habitent avec des dinosaures qui parlent. Une civilisation étrange et des rencontres étonnantes les attendent...

Dans l'animation

Le Dino Train (2009-2020) (Dinosaur Train) de Craig Bartlett
développé par Aqua System

La série de dessins animés Le Dino Train est construite autour de la famille Ptéranodons

Il raconte l'histoire de Samy, un jeune tyrannosaure adopté par une famille de ptéranodons, qui parcourt le monde des dinosaures à bord du Dino Train, pour découvrir les différentes espèces de dinosaures.

Dans les jeux vidéo

ARK: Survival Evolved (2017)
développé par Studio Wildcard, Instinct Games, Efecto Studios, Virtual Basement, édité par Studio Wildcard

il est possible d'apprivoiser un Ptéranodon

Dans le jeu, les joueurs doivent survivre dans un monde rempli de dinosaures, d'animaux préhistoriques et toutes sortes de créatures disparues, de dangers naturels et potentiellement de joueurs humains hostiles. Ils doivent aussi faire attention à leur vie, leur fatigue, leur poids, leur nourriture et leur soif, leur oxygène et leur torpeur ainsi que des dangers tels que les poisons, les maladies, la chaleur, le froid, etc. Le jeu peut être affiché en vue à la première ou troisième personne et les joueurs parcourent le monde ouvert et s'aventurent dans des endroits tels que les marécages, la toundra, la forêt de séquoia et ceci à pied, en chevauchant un dinosaure (ou autre créature montable) apprivoisé ou encore en volant. Pour cela il faudra au préalable fabriquer la selle spécifique du dinosaure apprivoisé.

Pokémon (1997-2025)
développé par Game Freak, édité par Nintendo, The Pokémon Company, distribué par Nintendo

un Ptéranodon. Le monstre Ptéra est inspiré d'un ptéranodon.

La série de jeux vidéo Pokémon est un ensemble de jeux vidéo de rôle fondé sur la franchise japonaise Pokémon. Le premier jeu sorti en 1997 est Pocket Monsters Vert et Rouge. Le dernier jeu qui est sorti en 2025 est Légendes Pokémon : Z-A.

Lost Eden (1995)
développé par Cryo Interactive, édité par Virgin Games, distribué par Rémi Herbulot

le personnage d’Eloi est un ptéranodon qui parle.

Le jeu se déroule dans un passé légendaire de la Terre où les humains et les dinosaures cohabitent et où les dinosaures ont une intelligence humaine. Le narrateur Eloi, un ptéranodon, nous conte a posteriori l'histoire du roi Adam de Mô, qu'il a connu dans sa jeunesse. Eloi jeune apparaît dans le jeu, où il fait partie des compagnons d'Adam, mais Eloi âgé fait quelques apparitions en tant que narrateur dans certaines scènes cinématiques.

Jurassic World Evolution (2018)
développé par Frontier Developments, édité par Frontier Developments et Universal Pictures, réalisé par Michael Brookes

un ptéranodon. Il est possible d'avoir des ptéranodons dans une volière.

Le joueur doit construire et gérer son parc à thème de dinosaure, comme dans le film Jurassic World. En plus de la gestion et la simulation, le jeu dispose aussi de nouvelles créatures. Le joueur pourra construire son parc sur l'île fictive d'Isla Nublar comme dans les films mais aussi sur d'autres îles. Le joueur devra également faire face à divers problèmes pouvant survenir à tout instant, comme des tempêtes, des coupures de courant, des évasions de dinosaures et même des cas d’espionnage industriel. Il peut même arriver de devoir faire face à plusieurs crises à la fois. Le joueur pourra aussi avoir la possibilité de prendre contrôle de certains véhicules durant les opérations.

Dans les livres

One Piece (1997-présent) (ワンピース, Wan Pīsu) de Eiichirō Oda

un ptéranodon. La superstar King de l'équipage des cent bêtes a la capacité de se transformer en ptéranodon grâce à un fruit du démon.

L'histoire suit les aventures de Monkey D. Luffy, un garçon dont le corps a acquis les propriétés du caoutchouc après avoir mangé par inadvertance un fruit du démon. Avec son équipage de pirates, appelé l'équipage de Chapeau de paille, Luffy explore Grand Line à la recherche du trésor ultime connu sous le nom de « One Piece » afin de devenir le prochain roi des pirates.

Dans la philatélie

un ptéranodon est sur un timbre postal de Géorgie en 1998.

L'histoire suit les aventures de Monkey D. Luffy, un garçon dont le corps a acquis les propriétés du caoutchouc après avoir mangé par inadvertance un fruit du démon. Avec son équipage de pirates, appelé l'équipage de Chapeau de paille, Luffy explore Grand Line à la recherche du trésor ultime connu sous le nom de « One Piece » afin de devenir le prochain roi des pirates.

La chanson

Vous avez peut-être remarqué que je mets beaucoup plus de temps qu'avant pour publier la présentation d'une maquette. C'est simple : j'ai repris une de mes passions que j'avais abandonnée il y a 10 ans : la musique ou l'écriture et la composition de chansons.

Puis je me suis dit : pourquoi ne pas lier ma passion pour la musique avec celle pour la maquette et ce site Web ?

Ainsi, dorénavant et si c'est possible, j'écrirai une chanson pour le modèle que je présente et comme il faut un certain temps pour composer une chanson, j'utiliserai l'IA pour orchestrer la chanson.

Voici les chansons pour le Ptéranodon dont le titre est : L'Ombre de la Mer pour la chanson en français, The Winged and Toothless King pour la chanson en anglais, Rex Alatus Sine Dentibus pour la chanson en latin.

Comme le Ptéranodon est d'une époque où la musique n'existait pas, il m'a été très difficile de trouver quelque chose. Avec mon dernier album « Les Héros vol. 2 », j'ai parcouru des thèmes musicaux africain, oriental et amérindien, j'ai imaginé une orchestration Folk (guitare acoustique), percussions ethniques (tabla, tam-tam, darbuka, riqq), instruments arabe avec l'oud et moderne avec des synthétiseurs (les nappes). La chanson est interprétée par JJG (un des chanteurs de mon dernier album). Voici les paroles originales en français :

[Couplet 1]
Dans le ciel du Crétacé, quand le monde était vert,
Nul besoin d'atterrir sur le sol ou la terre.
Avec mes huit mètres d'envergure, je planais sans effort,
Vivant au-dessus des vagues, loin de tout le sort
Des lourds dinosaures qui marchaient sous les pins,
Mon royaume était l'azur, mes frères les dauphins.
Je suis le Ptéranodon, le maître des courants,
Portant mon ombre immense sur les sables mouvants.

[Couplet 2]
Le bec est incurvé, une mâchoire sans dent,
Pour attraper les poissons sur les flots du temps.
Mon crâne est décoré d'une crête osseuse en arrière,
Un long gouvernail étrange pour fendre l'atmosphère.
Elle m'aidait à voler, elle m'aidait à m'équilibrer,
Un signe de mon genre, un mâle pour me montrer.
J'étais léger comme une plume, un squelette creux,
Juste la force des muscles, l'instinct dans mes yeux.

[Refrain]
Je suis le Ptéranodon, la flèche qui s'élance,
L'aile faite de cuir, sans poils, sans méfiance.
Sur l'onde de l'Atlantique, je ne suis qu'une voile,
Une bête de l'air que rien, jamais, n'entrave ou n'avale.
Mon cri est celui du vent qui murmure le temps,
L'ombre qui survole l'océan, le géant planant.

[Couplet 3]
On me nomme « aile sans dent » (Pteranodon, c'est mon nom),
Je suis proche des dinos, mais ne suis point des leurs, non.
Je me lance à quatre pattes, c'est l'élan pour le ciel,
Je repousse la planète pour atteindre l'éternel.
Je mange du poisson, j'aime les crustacés,
La mer me nourrit, rien ne me fait stresser.
Mon habitat, c'est le Kansas, l'Amérique, c'est bien,
Mais mon cœur est partout où le ciel me retient.

[Refrain]
Je suis le Ptéranodon, la flèche qui s'élance,
L'aile faite de cuir, sans poils, sans méfiance.
Sur l'onde de l'Atlantique, je ne suis qu'une voile,
Une bête de l'air que rien, jamais, n'entrave ou n'avale.
Mon cri est celui du vent qui murmure le temps,
L'ombre qui survole l'océan, le géant planant.

[Pont]
Mais le jour est venu, le ciel est devenu l’enfer,
Quand le monde a tremblé sous un immense coup de tonnerre.
Le temps changea, la vie s'est éteinte, tout s'est rompu,
L'azur n'est plus mon ami, mon royaume est vaincu.
La fin de mon ère, la poussière et le froid,
Mais mon souvenir plane encore, juste après moi.

[Refrain]
Je suis le Ptéranodon, la flèche qui s'élance,
L'aile faite de cuir, sans poils, sans méfiance.
Sur l'onde de l'Atlantique, je ne suis qu'une voile,
Une bête de l'air que rien, jamais, n'entrave ou n'avale.
Mon cri est celui du vent qui murmure le temps,
L'ombre qui survole l'océan, le géant planant.

[Outro]
Le Ptéranodon... Juste un murmure d'aile dans la nuit de l’ère...
Un souvenir fossile... de l'air et de la mer...

La 2e chanson est en anglais sur un style de la chanson de Western avec un de mes chanteurs préférés : John M. (chanteur de The ballad of Athur Morgan (dans l'album « Nos Héros »), Le cri de la canopée, The Prophet's Brother (dans l'album « Nos Héros vol. 2 »)) :

[Verse 1]
In the late Cretaceous sky, a shadow starts to fly,
Not a feathered bird up high, just a glance as I pass by.
Over oceans I would glide, eight metres wide,
Let the wind my body guide, no place left to hide.

[Verse 2]
My bones were light and hollow, the way the current calls,
No teeth inside my swallow, watching for the squalls.
My long, sharp beak of bone, for the fishing that I'd do,
Over waves, all alone, hunting fish for my crew.

[Chorus]
I'm the Pteranodon, the Winged and Toothless King,
My crest is pointing back, the purpose that it brings.
A large, bony steering sail, cutting through the air,
We launch on all fours, an upward, sudden prayer,
To leave the rocky shore, for the soaring, sweet domain,
Never touching earth to walk, living in the rain.

[Verse 3]
We're kin to all the giants, the dinos on the ground,
But our lineage holds defiance, by the freedom that we found.
We lived near Western seas, where Kansas is today,
Flying with such ease, watching ages pass away.

[Chorus]
I'm the Pteranodon, the Winged and Toothless King,
My crest is pointing back, the purpose that it brings.
A large, bony steering sail, cutting through the air,
We launch on all fours, an upward, sudden prayer,
To leave the rocky shore, for the soaring, sweet domain,
Never touching earth to walk, living in the rain.

[Bridge]
The sky grew dark and cold, the mighty fire fell,
A story left untold, a final, fading spell.
The oceans ceased to call, the winds no longer blew,
We watched the empires fall, everything we knew.

[Chorus]
I'm the Pteranodon, the Winged and Toothless King,
My crest is pointing back, the purpose that it brings.
A large, bony steering sail, cutting through the air,
We launch on all fours, an upward, sudden prayer,
To leave the rocky shore, for the soaring, sweet domain,
Never touching earth to walk, living in the rain.

[Outro]
The long, long shadow...
Pteranodon longiceps... Just a memory in the stone.

La 3e chanson est toujours dans la langue de l'origine du modèle. Oui mais au crétacé, il n'y avait pas de langage humain. J'ai choisi le latin car c'est la langue des noms des animaux de cette époque. J'ai choisi un style de chant solennel avec très peu d'instruments : une contrebasse, un djembé et un violon. Voici les paroles :

[Verse 1]
In Caelo Cretaceo, umbra volare incipit,
Non avis plumosa, sed aura cito abit.
Super undas maris, octo metra late fuit,
Ventus corpus meum duxit, ubi nulla latebuit.

[Verse 2]
Ossa mea levia, sicut vocat fluentum,
Nulli dentes in ore, spectans ventum.
Rostrum longum et durum, pro piscatu meo,
Super fluctus solus, piscem capiens choro.

[Chorus]
Ego sum Pteranodon, Rex Alatus Sine Dentibus,
Crista mea retro monstrat, utitur pro omnibus.
Magna vela ossea, per aëra secans,
Quadrupes impellimur, precem altam petens,
Ut relinquamus litus, ad dominium dulce,
Numquam terram tangentes, viventes sub pluviae.

[Verse 3]
Nos ad magnos sumus affines, qui in terra ambulant,
Sed genus nostrum superbia per libertatem stat.
Prope maria occidentalia, ubi hodie Kansas iacet,
Volantes facilitate, ubi aetas transiit et tacet.

[Chorus]
Ego sum Pteranodon, Rex Alatus Sine Dentibus,
Crista mea retro monstrat, utitur pro omnibus.
Magna vela ossea, per aëra secans,
Quadrupes impellimur, precem altam petens,
Ut relinquamus litus, ad dominium dulce,
Numquam terram tangentes, viventes sub pluviae.

[Bridge]
Sed caelum frigidum est, ignis potens cecidit,
Fabula non dicta relictus est, somnium quod finidit.
Oceanus non vocat, ventus non amplius flat,
Regna ruentia vidimus, quod scivimus omne habitat.

[Chorus]
Ego sum Pteranodon, Rex Alatus Sine Dentibus,
Crista mea retro monstrat, utitur pro omnibus.
Magna vela ossea, per aëra secans,
Quadrupes impellimur, precem altam petens,
Ut relinquamus litus, ad dominium dulce,
Numquam terram tangentes, viventes sub pluviae.

[Outro]
Umbra longa...
Pteranodon longiceps...
Memoria in lapide.

Le modèle à l'échelle

Les dinosaures et les ptérosaures dominaient la Terre au cours de l'ère mésozoïque, et le ptéranodon ailé était un type de ptérosaure qui vivait vers la fin du Crétacé (il y a environ 85 millions d'années). Alors que son envergure était de 6 à 8 mètres, il ne pesait qu'environ 20 kilogrammes ; une membrane tendue depuis le quatrième doigt de leur main leur permettait de voler. Ils descendaient du ciel pour attraper leurs proies, parmi lesquelles on pense qu'il s'agissait de poissons.

Caractéristiques

  • Longueur : 115 mm, largeur : 231 mm, hauteur : 143 mm (incluant la base)

  • Le ptéranodon plongeant est représenté par des pièces moulées en plastique teinté

  • Son bec, sa crête et même ses rides et vaisseaux sanguins sur la peau sont finement moulés

  • Le modèle présente une répartition simple et sans tracas des pièces

  • Livré avec un socle pour réaliser une petite vignette.

Le contenu du kit

la grappe A
la grappe B

La maquette en détails

Jetez un coup d’œil au ptéranodon plongeant sous un autre angle
Il y a beaucoup de détails avec lesquels travailler, y compris les petites serres et même les veines sur l’aile
Une petite base d’exposition avec des rochers et de la mer complète le kit. Une plaque signalétique en anglais est également incluse
Les pièces du ptéranodon sont moulées dans du plastique légèrement teinté

Review par Prehistoric Kingdom (2024)

Achat

Vous pouvez le trouver pour l'instant sur :

Remarque : Les prix et la disponibilité ne sont donnés qu’à titre indicatif.

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