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Cosmos 1999 (Space: 1999) est une série télévisée de science-fiction britannique en 48 épisodes de 52 minutes, créée par Gerry Anderson et Sylvia Anderson et diffusée entre le 4 septembre 1975 et le 12 novembre 1977 sur ITV et au Canada sur le réseau CBC.
En 1999, la Terre entrepose ses déchets nucléaires sur la Lune où est déjà installée la base lunaire « Alpha ». Le 13 septembre, une explosion de ces stocks provoque une très puissante réaction en chaîne qui conduit la Lune à quitter l’orbite terrestre puis le système solaire. Dans l’incapacité de regagner la Terre, les 311 survivants, commandés par le charismatique commandant John Koenig, errent dans le cosmos au moyen de l'astre lunaire. Ils affrontent des dangers au fur et à mesure de leurs rencontres avec des civilisations extra-terrestres, dans un périple qui semble sans fin.
La série comporte 2 saisons :
Jusqu'à la fin de la seconde saison, les producteurs et la chaîne de télévision étaient incertains quant à l'intérêt de réaliser, ou non, une troisième saison. La décision a été prise de mettre fin à la série.
Il en découle que la série s'achève sans qu'elle ait reçu une fin, mettant un terme aux aventures des Alphans. Ils sont condamnés, en quelque sorte, à poursuivre indéfiniment leur périple dans l'espace.
Dans le coffret DVD de l'intégrale édité en 2002, un mini épisode (le 49e), en bonus, apporte une conclusion à la série. L'actrice Zienia Merton, qui reprend son rôle de Sandra Benes, explique dans un message vidéo que les survivants de la base Alpha ont enfin trouvé une planète habitable et qu'ils s'apprêtent à s'y établir.
Commandant John Koenig : Martin Landau
John Koenig est le commandant de la base lunaire Alpha. Le personnage est interprété durant les deux saisons de la série par Martin Landau. Il est le 9e commandant de la base Alpha, nommé le 9 septembre 1999, juste avant l'accident, pour organiser une expédition sur la planète Meta. Doté d'une autorité naturelle et respecté par ses subordonnés, il a conscience de la difficulté et des responsabilités de sa fonction et est doté d'une personnalité torturée et de troubles psychologiques liés à son passé.
Dr Helena Russell : Barbara Bain
Helena Russell est le médecin en chef de la base lunaire Alpha. Lors de la Saison 1, elle noue des liens particuliers et privilégiés avec John Koenig. Dans la Saison 2 : elle et le Commandant Koenig s'aiment.
Sandra Benes : Zienia Merton
Sandra Benes est responsable de la section des données et des communications de la base lunaire Alpha, où elle seconde Paul Morrow.
Alan Carter : Nick Tate
Alan Carter est pendant toute la série le pilote en chef tout en étant le responsable de la section de reconnaissance. Le 13 septembre 1999, jour de l'explosion thermo-nucléaire qui arrache la Lune à l'orbite terrestre, il est en vol ce qui en fait d'ailleurs le seul témoin oculaire de l'évènement.
Bob Mathias : Anton Phillips
Bob Mathias est médecin sur la base lunaire Alpha et est le bras droit d’Helena Russel, médecin en chef de la base.
Victor Bergman : Barry Morse
Victor Bergman est un scientifique, conseiller du Commandant Koenig. Le commandant le consulte quasiment à chaque fois qu'il doit prendre des décisions importantes, qui mettent en jeu la sécurité d'Alpha.
Paul Morrow : Prentis Hancock
Paul Morrow est responsable du centre de commande, c'est-à-dire qu'il coordonne le trafic spatial autour de la base lunaire ainsi que dans l'espace plus lointain. Il est également le commandant en second et est donc amené à remplacer régulièrement John Koenig lorsque celui-ci est absent.
Maya : Catherine Schell
Maya est une humanoïde extraterrestre de la planète Psychon. Elle est dotée de pouvoirs de métamorphose. Elle devient officier scientifique à bord de la base lunaire où son pouvoir de se transformer en n'importe quel être vivant est largement utilisé pour aider les Alphans.
Tony Verdeschi : Tony Anholt
Tony Verdeschi est un officier scientifique sur la base lunaire, adjoint de John Koenig.
Créée par le père des Sentinelles de l’air, Gerry Anderson, cette série connut un succès considérable notamment en Grande-Bretagne, en France, en Italie où plusieurs fan clubs naquirent, et au Japon où elle influença fortement le graphisme de certains mangas. L’utilisation pour la première fois de la musique classique (l’Adagio d'Albinoni dans « Le Domaine du dragon » (1-23)) mais surtout l'esthétique de l’ensemble de la série, rappellent l’univers du film 2001, l'Odyssée de l'espace, plusieurs artistes ayant collaboré aux 2 œuvres.
Cette série fut en quelque sorte la suite de la série UFO, alerte dans l'espace (UFO) créée en 1970 par Gerry et Sylvia Anderson. Lors de sa diffusion aux États-Unis, la série UFO connut au départ un grand succès. Il fut donc décidé de lancer une 2e saison qui se serait située sur une base lunaire, 10 ans après les événements narrés dans UFO. Mais les audiences s'effondrèrent et le projet fut abandonné. Gerry Anderson récupéra le travail préparatoire de UFO 2 pour créer Cosmos 1999.
Cosmos 1999 est la série la plus chère de l’époque, avec un budget estimé à l'équivalent de 30 millions de francs pour les 24 premiers épisodes.
Bien que la 1e saison ait été vendue à plus de 100 pays, dans lesquels la série a connu un relatif succès, elle n'avait pu être vendue aux grands réseaux de télédiffusion américains (NBC, ABC, etc.) et avait été diffusée de manière plus confidentielle sur des chaînes américaines secondaires. Dans l'objectif de vendre à ces grands groupes, il fut décidé d’apporter plusieurs changements pour la 2e saison. Ainsi, le personnage de Victor Bergman fut éliminé, on ajouta le personnage de Maya et le vaste centre de commandement de la base Alpha fut remplacé par un poste de contrôle plus petit et souterrain (officiellement pour des raisons de sécurité). Paul Morrow, le chef de la sécurité de la 1e saison, fut remplacé par Tony Verdeschi. La disparition du professeur Bergman et de Paul Morrow ne fut jamais expliquée à l'écran dans la saison 2. Une scène fut tournée pour l'épisode La Métamorphe dans laquelle Tony Verdeschi regrettait la disparition tragique de Victor Bergman à cause d'une combinaison mal pressurisée. La scène fut coupée au montage. Une autre version évoque l'écrasement d’un aigle transporteur. Plus fondamentalement, on abandonna le fil conducteur de la 1e saison, soit la notion que l’épopée des habitants d’Alpha avait une finalité, pour adopter une approche plus conventionnelle basée sur des effets spéciaux et un nouveau méchant chaque semaine. L'objectif pour les Alphans n'est clairement plus de trouver une planète hospitalière voire de revenir se mettre en orbite terrestre, mais de poursuivre une sorte de voyage d'exploration vaguement similaire à Star Trek, excepté le caractère incontrôlable de la dérive lunaire, soumise aux aléas de l'espace.
La 2e saison est produite non plus par les Anderson mais par Fred Freiberger, producteur américain spécialisé dans les séries TV, qui avait lancé entre autres Les Mystères de l'Ouest (The Wild Wild West). Contraint de rendre la série « acceptable » pour le public américain, tant en termes de scénario que d'esthétique, Fred Freiberger restructura la série, allant jusqu'à s'assurer que la signalétique de la Base Alpha respectait bien les termes américains plutôt que britanniques. Mais peine perdue. Freiberger fut également l'auteur de 3 épisodes de la 2e saison de Cosmos 1999 sous le pseudonyme de Charles Woodgrove, qu'il utilisa également pour écrire des scénarios de la série Rawhide.
Une saison 3 de la série était prévue. Elle devait compter 13 épisodes et il était prévu que le début des tournages s'amorcerait à l’automne 1977. Mais les négociations avec les chaînes américaines échouèrent, ce qui ne permit pas de donner lieu à cette suite.
À l'origine du projet, les producteurs Gerry et Sylvia Anderson doivent choisir une tête d'affiche américaine pour favoriser la possibilité qu'une des 3 chaînes nationales américaines achète et diffuse la série. Le choix se porte en premier sur Robert Culp, mais ITC par la voix de Lew Grade, conseille aux producteurs de choisir le couple Martin Landau et Barbara Bain, malgré les réticences de Sylvia Anderson : « Je ne voulais pas d'eux. Je trouvais qu'ils étaient aussi souples qu'un arbre. Barbara ne voulait jamais tourner la tête. Martin […] ne savait pas se déplacer. ». Le couple d'acteurs se montre exigeant, par contrat, ils ont un droit de regard sur le scénario, et de présence minimum à l'image, 3 minutes pour Landau et 2 pour Barbara Bain, au détriment des autres comédiens. Le 3e comédien à rejoindre la distribution est Barry Morse qui incarne le professeur Bergman, dont il conçoit la biographie avec les 2 scénaristes de la série. ITC ayant signé un accord de coproduction avec la Rai, le reste de la distribution régulière doit au départ comprendre des acteurs italiens selon les exigences de la chaîne transalpine. Cependant, après les essais de 3 acteurs italiens, Martin Landau s'oppose à ce casting, ce qui, ajouté aux retards dans le financement italien, amène la production à choisir Nick Tate pour le rôle du pilote Carter à la place de Giancarlo Prete. Finalement, les acteurs italiens ne feront que des participations dans quelques épisodes. Plusieurs comédiens renommés participent comme guest-stars à la première saison, notamment Christopher Lee, Peter Cushing, ou encore Joan Collins.
La seconde saison est marquée par des changements dans la production, notamment le départ de Sylvia Anderson et l'arrivée de Fred Freiberger. Celui-ci impose une nouvelle conception de la série contre la volonté de Martin Landau : « Fred Freiberger n'avait aucun respect pour les comédiens, pour leur implication dans le rôle et leur contribution ». Plusieurs des comédiens récurrents de la première saison ne sont pas renouvelés, Barry Morse quitte la série à la suite du départ de Sylvia Anderson et de la baisse de son salaire. Seuls les acteurs Nick Tate et Zienia Merton jouant Alan Carter et Sandra Benes sont maintenus pour certains des épisodes. La nouveauté est l'apparition de 2 nouveaux personnages récurrents : Maya, une extra-terrestre métamorphe pouvant se transformer en n'importe quelle créature, jouée par Catherine Schell, et Tony Verdeschi, un nouveau chef de la sécurité joué par Tony Anholt.
Le directeur des effets spéciaux, Brian Johnson, et la plupart des membres de son équipe ont ensuite travaillé sur Alien - Le huitième passager et L’Empire contre-attaque.
Le générique et les musiques additionnelles de la série furent composés par Barry Gray pour la première saison, lequel avait déjà réalisé ceux des Thunderbirds, de UFO et d'autres séries des Anderson.
D'autres musiques inédites en France furent composées par Ennio Morricone pour la version cinématographique italienne de Spazio 1999.
Dans l'épisode 20 de la saison 1, Cerveau spatial, le thème Mars de la suite Les Planètes du compositeur Gustav Holst est repris partiellement, de 4mn7s à 5mn36s et de 43mn43s à 47mn48s (scène finale).
Le générique de fin de la série en Italie S.O.S. Spazio 1999 fut composé par le duo Oliver Onion.
Pour la 2e saison, un changement complet d'ambiance musicale est imposé. L'auteur Derek Wadsworth reprend le flambeau et livre une bande originale très différente de celle de Gray, moins classique et beaucoup plus pop. La différence se sent beaucoup au visionnage, mais la musique de Wadsworth en elle-même est plutôt réussie, participant à l'ambiance générale très différente de la saison 2. Vic Elmes participa également à la musique de cette seconde saison.
Au Québec, la série a d'abord été diffusée à partir du 1e septembre 1975 à la Télévision de Radio-Canada, puis rediffusée à l'automne 1983 sur le réseau TVA, et à l'automne 1996 sur Canal D. La diffusion anglophone était assurée à l'automne 1975 par WPTZ, l'affilié du réseau NBC à Plattsburgh, dans l’État de New York, puis à l'automne 1976 sur le réseau CBC.
En France, la saison 1 a été diffusée du 13 décembre 1975 dans Samedi est à vous au 12 mars 1977 dans Restez donc avec nous le samedi sur TF1. Rediffusion de 10 épisodes du 28 juin 1980 au 30 août 1980 dans l'émission Temps X dont l'épisode « Le maillon » resté inédit en France. Rediffusion du 4 janvier 1986 au 22 mars 1986 sur Antenne 2. Rediffusion de la saison 1 et diffusion de la saison 2 inédite d’août 1987 au 13 février 1988 sur La Cinq. Rediffusion intégrale de juillet à août 1989 sur La Cinq. Rediffusion intégrale de septembre 1992 à août 1993 sur M6. La chaîne Série Club proposa une Nuit Cosmos 1999, le 13 septembre 1999, avec une sélection des meilleurs épisodes. Elle a été diffusée, depuis l'an 2000, sur la chaîne de télévision NRJ 12. En juin 2014, la chaine Paris Première diffusa la série en HD remastérisée, puis en août 2018.
Plusieurs téléfilms sont sortis en utilisant un remontage de différentes scènes d’épisodes de la série, parfois complétés de scènes inédites tournées après-coup :
Le doublage français fut réalisé au Québec par la société Cinélume (Montréal). Il est intéressant de noter la parfaite prononciation des termes anglais par les personnages.
Dans le jeu vidéo Theatre of Death de l'éditeur Psygnosis, le vaisseau Aigle (Eagle Transporter dans la version originale) est utilisé.
La saison 1 de la série est sortie dans les kiosques sous forme de bandes dessinées, d'images autocollantes et d'albums édités par la société italienne Panini.
En 1976, la société Clementoni commercialisa un jeu de société relatif à la série, composé d'astronefs Aigles miniatures, d'une Lune qui changeait de position dans le cosmos ainsi qu'une reproduction d'un ordinateur rudimentaire à cartes perforées.
Voici le jeu dans son magnifique emballage qui reproduit des extraits de la série. La grande photo sur la boîte prend l’une des premières images du thème d’ouverture. Il convient de noter que pour satisfaire le droit d’auteur est indiqué en petit dessous les marques ITC/RAI qui ensemble avait produit la première saison de la série au milieu des années 70.
Lorsque le paquet est ouvert, on peut notamment voir : le moniteur étoile avec la grille des cadrans où les différentes tuiles des cartes de route ont été disposées pour atteindre la Terre située au centre ; le plateau du jeu sur lequel la Lune et les Aigles se sont déplacés, qui a atterri sur les différentes planètes placées le long des bords, en suivant les segments de route indiqués sur le même.
Sur la photo ci-dessus, un gros plan de la base lunaire Alpha avec certains des Eagles prêts à décoller, tandis que d’autres s’éloignent pour explorer les planètes. Les planètes sont représentées par de petites images placées le long des côtés longs du plateau, et pour elles les mêmes noms de la série télévisée ont été conservés.
Voici l’ordinateur central avec son jeu de cartes pour les réponses aux questions posées de temps en temps lors des errances dans l’espace de nos héros. Il convient de noter les cartes informatiques, qui sont probablement meilleures (et plus réalistes) que ce genre de reçu que Kano obtenait de temps en temps de sa machine.
En 1999, le magazine Génération Série n°30 consacré à la série est sorti en kiosque le 13 septembre 1999 en hommage à l'épisode pilote de la série qui se déroule à la date du 13 septembre 1999 (jour où la Lune quitta l'orbite terrestre dans la série).
L’Aigle Transporteur (anglais : Eagle Transporter) est un vaisseau spatial et un symbole de la série télévisée britannique Cosmos 1999 des années 1970.
Les Aigles Transporteurs sont les principaux vaisseaux spatiaux de la base lunaire Alpha. Ils sont utilisés pour l'exploration, la défense de la base lunaire et le transport des marchandises entre la Terre et la Lune. Selon leur rôle, différentes variantes existent. Leur conception, réaliste, est fondée sur une structure en poutre en treillis où sont fixés une cabine de pilotage et la motorisation ainsi que des pieds d'atterrissage. La partie centrale peut être larguée, ce qui permet de transporter et déposer un module habitable, ou autre. Pour les besoins du tournage, une véritable maquette, très détaillée et réaliste, a été utilisée.
Les Aigles Transporteurs sont dotés de 4 pieds à spatules assez larges pour permettre de se poser sur les surfaces sableuses, ce qui est parfaitement adapté aux surfaces lunaires. Aux épaules de ces pieds se trouvent 4 réacteurs, permettant d'orienter le véhicule dans toutes les directions dans le vide spatial. Ces caractéristiques rappellent un peu les modules lunaires américains LEM des années soixante.
Sur la partie inférieure se trouvent des réacteurs qui permettent le décollage vertical. À la queue de l'appareil se trouvent des réacteurs pour la poussée horizontale. Le véhicule est donc parfaitement capable d'évoluer dans toutes les directions suivant la combinaison des réacteurs utilisés.
La pointe à l'avant de l'appareil correspond au cockpit dans lequel se trouvent 2 pilotes. Celui-ci se ferme par 2 portes, permettant de rendre le cockpit indépendant de la partie passager dans le cas où le transporteur laisse le module au sol. On peut d'ailleurs imaginer que ce cockpit peut servir de capsule de sauvetage, sur le même principe que certains vaisseaux expérimentaux qui seront montrés au cours des aventures. Les pilotes sont assis dans des sièges coulissants assez près du sol. La plupart du temps, les pilotes mettent une combinaison spatiale lors du pilotage, notamment en situation de combat, mais le siège peut être adapté pour permettre le pilotage d'une personne sans combinaison, et de tous gabarits, probablement grâce à de nombreux réglages. Le maintien des pilotes se fait par 2 bretelles et 1 ceinture, rappelant ce que l'on voit dans les avions de chasse. Le pilote peut observer l'extérieur par 2 vitres principales installées à l'avant. Le pilotage se fait grâce à un manche à balai à 2 poignées, rappelant ceux des avions de ligne. Afin de protéger l'avant du vaisseau, il y a la possibilité de déclencher des boucliers déflecteurs à l'avant. Ces boucliers semblent capables de repousser des flux d'énergie cosmique, ou provenant d'autres sources dangereuses et ainsi de protéger les passagers. À utiliser et à adapter bien-sûr en fonction des réserves d'énergie du véhicule. Les portes extérieures peuvent s'ouvrir via une télécommande. L'ordinateur est naturellement accessible et est source de nombreuses informations qui peuvent être transcrites sur papier de recyclage. Un système de communication radio efficace permet de bonnes communications dans l'espace, mais semble avoir plus de mal à fonctionner sur certaines planètes.
Afin de sécuriser le vol, il y a 3 modes de fonctionnement :
Ce dernier mode ne peut fonctionner que si le mode automatique est enclenché.
Outre le module de transport de passagers, il peut être muni d'un treuil et d'une pince pour transporter des charges telles qu'une grue volante ou un hélicoptère. En cas de besoin d'augmenter la puissance, on peut adjoindre des boosters supplémentaires sur le dos de l'appareil.
Le vaisseau a été conçu par Brian Johnson. Son design est influencé par le film 2001, l'Odyssée de l'espace.
L'épisode Cerveau spatial (s1e20) établit que l'Aigle Transporteur et le module passager ont une masse combinée de 328 tonnes. Il est considérablement plus lourd (par un facteur 10) qu’un véritable vaisseau d’atterrissage lunaire de la NASA de taille comparable, et l’Aigle semble être remarquablement construit car il survit aux atterrissages en catastrophe avec beaucoup moins de dégâts qu’un vrai avion ou vaisseau spatial.
Il est impossible de déterminer la taille exacte de l’Aigle car les décors intérieurs et le modèle SFX ont des dimensions incohérentes. La longueur approximative est comprise entre 23 et 31 mètres en fonction des erreurs (ensembles internes ou modèle externe) négligées.
Dans l'épisode Ruses de guerre (s1e17), nous apprenons que la vitesse maximale des Aigles est la moitié de celle des Hawks à 14,2. Dans L’Anneau de la Lune (s1e4), la vitesse d’un Aigle passe de 7,5 à 9,2 dans un champ de force ; dans Les Chrysalides AB (s2e12), l’explosion propulse un Aigle à une vitesse de 804. Quelle que soit la vitesse, les temps de vol sont très courts, parfois quelques minutes.
Les Aigles portent des « écrans anti-gravité » (Le Soleil Noir (s1e3)) / des « boucliers anti-gravité » (L’Anneau de la Lune (s1e4)). Le bouclier anti-gravité est « destiné à réduire l’attraction gravitationnelle d’une autre planète » (Cerveau spatial (s1e20)). Cela explique probablement comment l’Aigle est capable de voler dans l’atmosphère malgré sa forme non aérodynamique. Les écrans génèrent également un champ de gravité normal de 1 G à l’intérieur de l’Aigle (Ruses de guerre (s1e17) établit que la force du compensateur peut être ajustée) ; le champ peut également être étendu à des engins spatiaux amarrés (Direction Terre (s1e5)). Les dialogues de Le Cerveau ordinateur (s2e9) et Les Exilés (s2e2) suggèrent également que les écrans anti-gravité peuvent être projetés sur d’autres objets éloignés dans l’espace, les poussant ou les tirant hors de leur trajectoire. Ils peuvent également être utilisés comme contre-mesure contre les champs de force non spécifiés produits par les extraterrestres dans Ruses de guerre (s1e17) et L’Anneau de la Lune (s1e4). Cependant, l’écran anti-gravité ne protège apparemment pas l’équipage contre les forces G produites par une accélération/décélération rapide (La Métamorphose (s2e1), La Planète du Diable (s2e22), L’Anneau de la Lune (s1e4)).
Les « moteurs principaux » sont « atomiques » (L'Élément Lambda (s2e19), où nous voyons un « moteur atomique tribord » - peut-être l’une des 4 fusées d’atterrissage - testé). Ils sont alimentés par des « piles à combustible nucléaires » (Cerveau spatial (s1e20)). L’Aigle transporte également des propulseurs secondaires « rétro » (Ruses de guerre (s1e17)). Il n’est pas clair si ces moteurs sont nucléaires ou chimiques (le vaisseau Voyager a des fusées d’atterrissage chimiques). Les réservoirs d’acide briasique qui sont brisés dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) peuvent abriter du propergol pour les fusées chimiques (l’acide nitrique est un propergol de fusée chimique stockable commun). Les pods de jambes d’atterrissage contiennent probablement les réservoirs de propergol principaux (les Aigles sont ravitaillés dans l’espace dans Déformation spatiale (s2e15) et Les Directives de Luton (s2e7)), cependant, la taille du réservoir semble beaucoup trop petite pour (par exemple) un vol sans escale de la surface lunaire à la Terre et retour (Autre temps, Autre lieu (s1e6)). De toute évidence, les écrans anti-gravité étendent considérablement l’enveloppe de performance de l’Aigle. L’anti-gravité est bien au-delà des capacités technologiques actuelles - peut-être que la technologie a été obtenue à partir de sources extraterrestres ?
Le système de contrôle d’attitude primaire se compose de groupes de propulseurs à réaction montés sur le côté des 4 nacelles d’atterrissage. Chaque propulseur à réaction a 4 petites tuyères de fusée qui ressemblent étroitement à celles du vaisseau spatial lunaire Apollo de la NASA.
Les batteries nucléaires sont transportées bien que les Aigles aient également des « batteries solaires » (Les Chrysalides AB (s2e12)), ce qui implique probablement que les batteries chargées par des panneaux solaires photovoltaïques (peut-être montés sur le dessus de la nacelle passager ?) peuvent produire de l’énergie en cas d’urgence. Les blocs d’alimentation sont retirés des Aigles pour être utilisés dans Alpha dans Le Soleil Noir (s1e3) et Humain, ne serait-ce qu’un moment (s2e3).
La mission principale suit les Aigles à l’aide d’un radar (Cerveau spatial (s1e20), Le Dernier Crépuscule (s1e11)) et nous pouvons logiquement supposer que l’Aigle transporte un radar pour le rendez-vous et l’amarrage avec d’autres engins spatiaux ainsi que pour la mesure de l’altitude d’atterrissage (les 4 objets en forme d’antenne parabolique sur le module de commande de l'Aigle ressemblent beaucoup à des antennes radar de rendez-vous). Une image radar est affichée sur l’écran du cockpit dans Le Domaine du Dragon (s1e23). Les feux de navigation sur les jambes n’ont été vus que dans L’Anneau de la Lune (s1e4).
Le système informatique Eagle utilise apparemment la même technologie du milieu des années 1980 que celle des sondes Voyager (Le Retour du Voyageur (s1e12)) et Uranus (Un Autre Royaume de la Mort (s1e14)).
L’ordinateur de bord d'un Aigle est vraisemblablement situé dans le poste de pilotage. Il stocke des données provenant par exemple de capteurs de rayonnement et de capteurs distants (Collision Inévitable (s1e13), Une Question de Vie ou de Mort (s1e2)) et effectue également des calculs de navigation (Déformation spatiale (s2e15), Les Chrysalides AB (s2e12), Les Directives de Luton (s2e7)). Il surveille en permanence la santé des sous-systèmes de l'Aigle (Le Secret de la caverne (s2e13)). Il peut également agir comme pilote automatique lors des atterrissages (Un Autre Royaume de la Mort (s1e14)) et contrôle probablement l’Aigle lorsqu’il fonctionne en mode « robot » sans pilote comme dans La Métamorphose (s2e1). Sur les Aigles équipés de laser, l’ordinateur de bord fournit normalement des informations de localisation et de suivi des cibles, bien qu’il existe une fonction de priorité humaine (L’Enfant d’Alpha (s1e10)). L’ordinateur de bord peut également estimer la trajectoire d’objets externes en fonction de l’entrée des capteurs de l'Aigle (Les Catacombes de la Lune (s2e11)).
Un « ordinateur X5 » standard est également transporté à l’intérieur de la nacelle passagers lors de certaines missions d’exploration. Il sert de moniteur médical dans Tout ce qui Reluit (s2e4) et semble également fournir des informations de navigation supplémentaires dans Les Chrysalides AB (s2e12). De plus, les Aigles utilisent normalement les données de navigation transmises par l’ordinateur principal de base lunaire Alpha (par exemple Le Spectre (s2e20)). Bien que le vaisseau spatial puisse fonctionner sans l’aide de l’ordinateur principal Alpha, il ne peut pas être piloté sans l’ordinateur de bord (Le Cerveau ordinateur (s2e9)).
L’ordinateur d'un Aigle a une voix dans Tout ce qui Reluit (s2e4) et La Planète Archanon (s2e8), mais cette fonctionnalité est rarement utilisée. Les équipes émettent des commandes en appuyant sur des boutons et des leviers tandis que l’ordinateur affiche des informations à l’aide des écrans CRT et des voyants d’état du système sur les panneaux de commande.
Seuls certains Aigles ont une « fréquence interstellaire » (Collision Inévitable (s1e13)). Cela signifie qu’ils ne peuvent normalement communiquer qu’avec Alpha alors qu’ils se trouvent à environ 1 seconde-lumière [300'000 km] de la Lune, car toutes les communications semblent se faire en temps réel. Le Testament d’Arcadie (s1e24) établit que l’Aigle transporte un émetteur radio mais sa puissance semble être assez limitée (Arcadie est hors de portée bien que le temps aller-retour de l’Aigle ne soit que de 30 heures ; l’équipe d’atterrissage semble également incapable de communiquer avec Alpha à une distance de 2,58 millions de miles dans Tout ce qui Reluit (s2e4)).
Remarquablement, il ne semble pas y avoir d’antenne parabolique orientable comme celles transportées par les vaisseaux spatiaux lunaires et interplanétaires actuels. Le système de communication semble également transmettre à des débits de données élevés puisque le moyen de communication normal est l’audio/vidéo bidirectionnel (la liaison montante Apollo de la NASA était uniquement audio pour réduire la taille et les besoins en énergie du système de communication de l’engin spatial). Il est possible qu’une liaison de communication laser soit utilisée à la place, le vaisseau spatial tirant des faisceaux laser précisément dirigés vers un grand télescope optique sur Alpha. Un détecteur similaire mais plus petit sur l’Aigle détecterait des impulsions laser plus puissantes transmises par le réseau de communications spatiales Alpha. Cette technique (qui sera démontrée pour la première fois en 2010 par le satellite Mars Telecommunications Orbiter de la NASA) pourrait supporter des débits de transmission de dizaines de milliards de bits par seconde, c’est-à-dire similaires à une connexion Internet haut débit rapide. Un pointage extrêmement précis est nécessaire, cependant, et les faisceaux laser seraient bloqués par des nuages denses, de sorte que cela fonctionne moins bien si l’une des stations de communication est située sur une planète avec une atmosphère.
Comme sur la base lunaire Alpha, l’interface de communication principale se compose de moniteurs à tube cathodique noir et blanc de 9'. Les 2 principaux écrans CRT du cockpit sont fréquemment utilisés comme visiophones par les équipages de l'Aigle. Dans la 2e saison, il y a une console centrale supplémentaire avec des écrans CRT montés sur le côté face au pilote et au copilote.
Le module passagers est équipée d’un système similaire comprenant 1 ou 2 écrans sur la cloison avant ainsi qu’à l’avant des sièges (les panneaux d’ordinateur X5 peuvent également être utilisés à cette fin, s’ils sont installés). Le système de communication de l'Aigle peut également utiliser les commlocks portables comme périphérique d’entrée.
L’Aigle peut supporter un équipage de 2 pilotes. Jusqu’à 8 passagers peuvent être transportés dans le module.
Le Soleil Noir (s1e3) établit le système de survie de l'Aigle, avec un maximum de fournitures, peut soutenir un équipage de 6 pendant un peu plus 1 mois (c’est-à-dire la même durée théorique de mission que les navettes spatiales actuelles de la NASA). La plupart des missions Eagle ne durent que quelques jours et restent à moins d’une seconde-lumière d’Alpha [une communication directe est toujours possible] ; le facteur limitant étant le maintien des fonctions vitales. Dans des cas exceptionnels, les Aigles effectuent des excursions d’un mois à une distance allant jusqu’à quelques millions de kilomètres d’Alpha.
L’oxygène est fourni par un système de recyclage (Le Spectre (s2e20) : dans cet épisode, Maya fait référence à la « privation d’oxygène », mais le danger le plus immédiat dans les vaisseaux spatiaux avec équipage est en réalité l’accumulation de dioxyde de carbone plutôt que la privation d’oxygène. Le principe de base de la transformation du dioxyde de carbone en oxygène est cependant correct).
Les contenants en plastique sont utilisés pour stocker l’eau potable. Fait intéressant, les astronautes de la NASA et les cosmonautes russes consomment environ 3 litres d’eau par personne (la moitié sous forme d’eau potable, le reste dans le cadre de la consommation de nourriture), de sorte que l’estimation d’Alan Carter dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) (l'Aigle 28 transporte 30 gallons, soit environ 113 litres pour un équipage de 4 personnes et une durée maximale de mission de 14 jours) semble réaliste.
Les installations d’hygiène personnelle, la cuisine et les toilettes sont censées être situées dans le couloir d’accès du module de commande (probablement derrière les 2 portes latérales). Les aliments sont vraisemblablement entreposés, avec d’autres équipements, dans des contenants d’étagère dans le module passagers et les couloirs d’accès. Des plateaux de nourriture jaunes (en fait des ensembles de camping-car/pique-nique « Hampa Pak » des années 1970) sont utilisés dans Le Grand Cercle (s1e15) et d’autres épisodes. Selon Le Dernier Crépuscule (s1e11), les équipages des Aigles transportent des « cubes de ration » d’urgence en dehors de l’approvisionnement alimentaire principal.
Les fenêtres du cockpit de l'Aigle ont des boucliers anti-éblouissement pour protéger les yeux de son équipage (Les Catacombes de la Lune (s2e11)). L’Aigle a des « écrans de rayonnement » (Collision Inévitable (s1e13)) bien qu’ils n’offrent pas une protection complète contre les radiations. Fraser mentionne qu’il existe également un « bouclier anti-tempête protecteur » (La Planète Archanon (s2e8)) suggérant une sorte de protection contre les micro-météorites.
Les systèmes électroniques et de survie des engins spatiaux produisent de la chaleur qui doit être rayonnée dans l’espace. Les nacelles d’atterrissage des Aigles et le module passager ont des panneaux rectangulaires qui peuvent être des radiateurs thermiques.
La forme de l’Aigle est non aérodynamique et il ne transporte pas de tuiles de protection thermique comme celles de la navette spatiale de la NASA pour le protéger contre la chaleur brûlante causée par la friction atmosphérique lors de la rentrée. Vraisemblablement, le vaisseau spatial utilise ses boucliers anti-gravité pour entrer lentement dans la haute atmosphère d’une planète.
L’accès à l’Aigle se fait par le module passager (amarrée ou utilisant des marches), par une trappe supérieure d’un module passager (vu dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23)), par une trappe d’évacuation dans la section pilote (utilisée mais pas correctement vue dans La Planète du Diable (s2e22), et peut-être utilisée pour s’éjecter dans Ruses de guerre (s1e17)). Dans La Planète Archanon (s2e8), les discussions incluent le forage à travers la trappe de chargement, en utilisant les tubes de propulsion, ou via les plaques d’inspection dans la salle des machines.
Le module de commande est détachable dans les situations d’urgence et transporte par conséquent son propre sous-système de guidage, de navigation et de contrôle, de propulsion, de contrôle thermique, de survie, d’alimentation et d’amarrage (Le Domaine du Dragon (s1e23)). Il semble que le module passagers puisse également fonctionner indépendamment sur une surface planétaire (Direction Terre (s1e5)), mais il n’est pas clair s'il est capable de voler dans l’espace indépendamment bien qu’il y ait 4 moteurs d’atterrissage (la nacelle d’appoint plus lourde transporte 6 moteurs).
Il n’y a pas de sas et l’ensemble du module passagers doit être dépressurisé. Dans Charlton Color Comics vol 2 n°6 (1976), « Flotsam », l’Aigle est brisé. Un copilote survit dans une section du navire qui est pressurisée à l’intérieur de « plasti-seals » qui sont activés lors d’une rupture de coque. L’idée est ressuscitée dans le manuel des opérations techniques de la base lunaire Alpha par Chris Thompson et Andrew Clements (2021), qui décrit des « boucliers internes en plastique » (page 140) pour créer des poches d’air à l’intérieur de l’Aigle.
L’Aigle transporte un télescope et une caméra électronique à des fins de navigation (Déformation spatiale (s2e15)). Au moins certains Aigles d’enquête transportent également de puissantes caméras à longue portée pour obtenir des images haute résolution depuis l’orbite (par exemple, La Planète du Diable (s2e22)).
La charge utile principale est transportée à l’intérieur de nacelles détachables dans la section centrale.
Les Aigles sont numérotés : Aigle 1, Aigle 2 et ainsi de suite. Les nombres supérieurs à 12 sont nommés par les numéros individuels : 14 est « un quatre », 28 est « deux huit ». Selon Le Dernier Crépuscule (s1e11), il y a 27 Aigles « utilisables » sur la base lunaire Alpha en plus de leur Aigle écrasé (numéro 28). Le nombre le plus élevé d’aigles était de 29 (Collision Inévitable (s1e13)). L'Aigle 1 est l’Aigle le plus vu (en 32 épisodes).
Les grands modèles des Aigles avaient des fenêtres dans le module de commande avec des astronautes Gemini hors échelle à l’intérieur : cela a rarement été vu à l’exception d’une faible lueur rouge parfois visible (par exemple, Un Autre Royaume de la Mort (s1e14), La Métamorphose (s2e1), les génériques de début de la saison 2). Plusieurs épisodes ont présenté des astronautes en direct vus dans les fenêtres du module de commande : À la Dérive (s1e1) (y compris un plan curieux dans la séquence de cet épisode montrant un membre de l’équipage SFX), Le Soleil Noir (s1e3) (l'Aigle d'Alan et celui de Ryan), Autre temps, Autre lieu (s1e6), Le Dernier Crépuscule (s1e11), Le Retour du Voyageur (s1e12) et Au bout de l’Éternité (s1e16).
Les principaux moteurs d’appoint ont rarement été vus en feu dans la saison 1. Dans À la Dérive (s1e1), un plan dans la séquence de cet épisode montre un Aigle avec des moteurs rougeoyants. Dans Le Soleil Noir (s1e3), les moteurs étaient animés. Dans Le Maillon (s1e7) uniquement, des déflecteurs sont vus à l’intérieur des cloches du moteur. Dans la saison 2, le gaz fréon a été utilisé de la même manière que pour les fusées verticales lors des lancements (La Métamorphose (s2e1), Une question d’équilibre (s2e16), Le Cerveau ordinateur (s2e9), Le Spectre (s2e20) et Les Dorcons (s2e24)).
Dans La Métamorphose (s2e1), le modèle pour l'Aigle 1 a un anneau autour de la base des buses du moteur (il s’agissait de tuyaux qui alimentaient en fréon les cloches du moteur, pour simuler les moteurs). Cela a été copié sur le modèle pour l'Aigle 2 à partir de Un Message d’Espoir - 1e partie (s2e17), et l'Aigle 3 à peu près au même moment.
Des Aigles massés dans l’espace sont parfois utilisés dans des scènes d’évacuation : Le Gardien du Piri (s1e8) montre un plan de 5 Aigles s’élevant au-dessus de la base, également utilisé dans Ruses de guerre (s1e17), Les Chrysalides AB (s2e12), Le Cerveau ordinateur (s2e9) et Le Spectre (s2e20). Le Gardien du Piri (s1e8) a également présenté une photo de 11 Aigles volant vers la Lune. Le Cerveau ordinateur (s2e9) met en scène 11 Aigles près de la Lune (un plan répété dans Les Chrysalides AB (s2e12)). Le Spectre (s2e20) montre 2 plans différents de 10 Aigles dans l’espace, l’un incluant la Lune.
Les Aigles sont vus dans un certain nombre de configurations différentes. En cas d’urgence, le module de commande est détachable (Le Maillon (s1e7), Le Domaine du Dragon (s1e23)). Le module peut être régulièrement détaché et changé en fonction de l’affectation (Direction Terre (s1e5), Le Domaine du Dragon (s1e23)). Des aigles sans module sont parfois vus : Direction Terre (s1e5) (dans le hangar), Collision Inévitable (s1e13) (Aigle 10, avec grappin).
Il existe six types de module :
Seuls quelques Aigles ont cette capacité (selon les dialogues dans Ruses de guerre (s1e17)). Utilisé dans Direction Terre (s1e5) (avec un joint rond ondulé et des rayures rouges : « Chambre à vide »), Le Gardien du Piri (s1e8) (sans joint), Le Testament d’Arcadie (s1e24) (également sans joint), Collision Inévitable (s1e13), Cerveau spatial (s1e20) et Ruses de guerre (s1e17) (le tube n’est pas vu).
Utilisé dans Collision Inévitable (s1e13) pour transporter des charges nucléaires. Il peut être monté sur les Aigles avec module standard (Aigle 1) ou sans module (Aigle 10).
Fixé au dessus de l'unité de jambe. Utilisé dans Les Exilés (s2e2) pour récupérer la capsule. Également utilisé pour ravitailler les Aigles dans Les Directives de Luton (s2e7) et Déformation spatiale (s2e15) pour transporter une capsule de carburant, pour ravitailler un autre Aigle. Le module arrière de l'Aigle 2 a une section de panneau ouvert spéciale pour ces 2 épisodes.
Utilisé pour faire descendre les astronautes à la surface. Vu dans Un Message d’Espoir - 1e partie (s2e17)
Il est libéré à une altitude de 110'000 pieds (soit 33km) à partir d’un berceau au sommet d’un aigle. Dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), Helena et Maya utilisent un planeur de rentrée pour entrer dans l’atmosphère corrosive d’une planète extraterrestre. La conception ressemble beaucoup à une conception de la NASA appelée Hyper III, testée au Dryden Flight Research Center en 1969.
Le modèle a été construit par Martin Bower à 2 échelles. La version plus petite est visible au-dessus de l’Aigle de 44 pieds. La version plus grande est vue en gros plan sur une section élargie de la colonne vertébrale de l’Aigle, et est écrasée à travers les dunes de sable et dans les arbres. Il mesure 85cm de long et est fait de plexiglas de 6mm d’épaisseur pour résister à la séquence de collision. Il y a un grand trou dans la partie inférieure du dos, pour une tige de montage.
Ces photos montrent le grand planeur. Il est peint en 5 nuances de rouge et souillé de suie ; la palette de couleurs rouge brûlé a été inspirée par le module lunaire de la série UFO. Il est décoré de lignes de panneau complexes et de morceaux de texte trop petits pour être lus à l’œil nu (« Danger, boulons explosifs », « Azote », « Avertissement: amiante », « Évents de jet»). Il n’y a qu’un seul astronaute à l’intérieur du cockpit.
Le modèle montre des signes de dommages causés par la séquence de collision (certaines sections endommagées sont recouvertes de ruban de masquage noir). Notez en particulier que l’aile bâbord a été brisée, que le patin d’atterrissage avant s’est rompu avec des sections de plexiglas en dessous et qu’un côté de la fenêtre du poste de pilotage est brisé.
Une tourelle rétractable dans la superstructure supérieure de l’Aigle. Utilisé dans Les Chrysalides AB (s2e12) (contrôlé par une gâchette portative utilisée pour la dernière fois dans Les Catacombes de la Lune (s2e11)), La Planète du Diable (s2e22) et Le Spectre (s2e20) (contrôlé par la dernière commande laser utilisée dans Les Exilés (s2e2), tirant un faisceau vert).
Seuls certains Aigles ont des lasers (Ruses de guerre (s1e17) fait référence au « dernier Aigle équipé de laser », Le Testament d’Arcadie (s1e24) spécifie un « Aigle d’enquête non armé »). Le faisceau semblait provenir immédiatement sous le module de commande. Utilisé dans Le Soleil Noir (s1e3) (faisceau blanc contre soleil noir, petit faisceau orange contre champ de force), L’Enfant d’Alpha (s1e10) (faisceaux jaune-orange), Au bout de l’Éternité (s1e16) (faisceau bleu), La Machine Infernale (s1e20) (faisceaux jaunes), La Planète Archanon (s2e8) et Les Dorcons (s2e24) (faisceaux verts).
Selon La Planète du Diable (s2e22), les Aigles transportent des missiles. Cette capacité n’est jamais vue dans la série (à moins que certains des faisceaux laser vus soient en fait des missiles - par exemple, le petit faisceau orange tiré dans Le Soleil Noir (s1e3) qui est clairement plus lent que la lumière).
Différents boucliers sont utilisés : écrans anti-gravité (Le Soleil Noir (s1e3), Ruses de guerre (s1e17) et visible sous forme de cône jaune autour du module de commande dans L’Anneau de la Lune (s1e4)), écrans de rayonnement (Collision Inévitable (s1e13)), bouclier anti-éblouissement dans la fenêtre (Les Catacombes de la Lune (s2e11)), boucliers thermiques (Le Syndrome de l’Immunité (s2e23)), et l'avantage de l'Aigle 3 qui a un bouclier anti-tempête de protection spécial dans La Planète Archanon (s2e8).
Dans Le Grand Cercle (s1e15) et Le Testament d’Arcadie (s1e24), les Aigles portent un buggy (on peut le voir dans le compartiment derrière la section passagers avec diverses boîtes).
L’Aigle pouvait être piloté par un seul pilote (port assis dans le module de commande) ou par un pilote avec copilote. Le contrôle à distance de la mission principale a été utilisé dans certaines circonstances : lorsque les pilotes étaient inaptes (Une Question de Vie ou de Mort (s1e2), L’Anneau de la Lune (s1e4), Le Grand Cercle (s1e15)), dans des situations dangereuses (Le Dernier Crépuscule (s1e11)), lors de défaillances de systèmes (Le Spectre (s2e20), Le Dernier Adversaire (s1e18)) ou lorsque les opérations empêchaient un pilote (À la Dérive (s1e1), Cerveau spatial (s1e20), La Métamorphose (s2e1)). L’Aigle doit être passé de « manuel » à « automatique » pour permettre que cela se produise (L’Anneau de la Lune (s1e4), Cerveau spatial (s1e20), Le Domaine du Dragon (s1e23), Un Message d’Espoir - 1e partie (s2e17)).
Si le vol impliquait des opérations atmosphériques, les pilotes portaient des uniformes normaux, mais dans l'espace, ils portaient des combinaisons spatiales. Dans certaines circonstances, il est discutable (Le Maillon (s1e7), Les Chrysalides AB (s2e12)). Le principe général est enfreint à plusieurs reprises, notamment en portant des uniformes dans les opérations spatiales dans Cerveau spatial (s1e20), La Planète Archanon (s2e8), Le Cerveau ordinateur (s2e9), Déformation spatiale (s2e15) et Les Dorcons (s2e24).
Il n'y a jamais eu de façade sur le décor (la fenêtre/l'écran de visualisation étaient des accessoires SFX fabriqués et filmés aux studios Bray). Chaque côté pouvait être retiré pour permettre aux caméras de filmer, mais normalement elles filmaient du côté bâbord. Si la caméra reculait, l'arrière de la console de vol était couvert (logiquement, ce serait contre la cloison avant). Si le tournage montre la console de vol, les côtés peuvent être prolongés avec des panneaux noirs ou gris. Dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), une vue du mur tribord est agrandie en ajoutant les appliques murales bâbord à l'avant.
La porte du module de commande était numérotée 6, quel que soit le numéro de l'Aigle, dans les 6 premiers épisodes (la double porte du module passager était numérotée 5/4 et la porte arrière 3). La porte du module de commande devrait être une double porte (intérieure/extérieure) comme le module passager, mais ce n’était pas le cas dans la saison 1.
Un autre changement apporté au module de commande est le rembourrage rouge et noir autour de la porte. Pour certains épisodes, un peu de la garniture noire est mal alignée. Sur le côté gauche (tribord) à l’intérieur du cadre, la garniture noire est placée plus bas, désalignée avec le cadre faisant face à la cabine et de l’autre côté de la porte.
Le problème commence dans Autre temps, Autre lieu (s1e6) et persiste jusqu’à Le Domaine du Dragon (s1e23). Tout est aligné de À la Dérive (s1e1) à Direction Terre (s1e5), dans le dernier épisode Le Testament d’Arcadie (s1e24) et certaines scènes de Cerveau spatial (s1e20) (certains plans ont été filmés à la fin de la série).
2 leviers de commande étaient installés par les pilotes, mais leurs fonctions changeaient régulièrement. L’avant (avec 2 leviers) actionnait le déclenchement du grappin dans Collision Inévitable (s1e13), le réglage manuel/automatique dans Cerveau spatial (s1e20), la poussée dans La Métamorphose (s2e1) et les rétro-fusées dans La Planète du Diable (s2e22). Le plus petit (avec une seule poignée) contrôlait généralement les moteurs principaux (par exemple, Tout ce qui Reluit (s2e4), Le Syndrome de l’Immunité (s2e23)), bien que dans La Métamorphose (s2e1), il contrôlait les boosters.
Dans La Métamorphose (s2e1), les contrôles pour les boosters de la colonne vertébrale. L’étiquette sur le dessus est « Booster », avec « Full Thrust » à l’arrière.
Les écrans de la console de vol étaient en couleur dans À la Dérive (s1e1) seulement (bien que du texte rouge apparaisse dans Un Autre Royaume de la Mort (s1e14)). Un panneau d’extension entre les pilotes est apparu dans La Métamorphose (s2e1) et ses écrans ont été utilisés de préférence à partir de ce moment-là.
La console de vol devant les pilotes a légèrement changé après Direction Terre (s1e5) pour inclure les commandes de la chambre à vide, et a été révisée à nouveau pour la saison 2. Le laser était généralement contrôlé à partir de l’un des nombreux boutons derrière une trappe, bien que cela varie.
Dans Autre temps, Autre lieu (s1e6), on peut voir 2 presse-papiers rouges reposant contre la paroi avant noire du cockpit, l’une des rares fois où il peut être vu. La paroi avant noire est présente sur les photos de la saison 1 montrant la zone devant la console du cockpit. Une cloison avant noire pourrait fonctionner comme un bouclier anti-éblouissement rétractable puisqu’il doit y avoir des fenêtres directement devant les sièges car les pilotes sont aveuglés dans plusieurs épisodes (À la Dérive (s1e1), L’Anneau de la Lune (s1e4), Ruses de guerre (s1e17)).
Dans Cerveau spatial (s1e20) et Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), une unité de contrôle de la détonation nucléaire a été placée sur le dessus de la console. D’autres objets placés sur la console incluent le détecteur de distorsion spatiale, découvert et utilisé dans l’Aigle dans Déformation spatiale (s2e15), et également vu dans La Planète du Diable (s2e22) et The Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), et une télécommande dans l'Aigle 4 dans Déformation spatiale (s2e15).
La console de vol se déplace vers l’avant et vers l’arrière, tout comme les chaises. Parfois, les fauteuils du pilote sont contre l’arrière du cockpit, à d’autres moments, ils ont un espace derrière eux.
La console ne mesure que 2 pieds / 60cm de large, et certaines vues de caméra montrent au-delà du bord. Les côtés de l’ensemble sont étendus avec un support gris foncé, généralement dans l’ombre pour dissimuler la longueur de l’ensemble. Les photos de la saison 2 sont moins constants ; dans Les Directives de Luton (s2e7), même le bord de cette extension est visible.
Dans Déformation spatiale (s2e15), l’extension est couverte de pièces étranges. Dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), les appliques murales jaunes continuent indéfiniment (la paroi latérale pilote a été déplacée pour étendre l’ensemble).
Dans Le Nuage qui tue (s2e14), 2 plans montrent des panneaux d’ordinateur normaux au-delà de la créature au centre et à tribord. Il s’agit peut-être de racks avioniques de charge utile, installés devant la console du copilote si l’Aigle est piloté par un seul pilote.
Sinon, nous ne voyons que des plans d’insertion d’une fenêtre ou d’un écran.
La fenêtre (seule la fenêtre du port est visible) apparaît dans À la Dérive (s1e1), L’Anneau de la Lune (s1e4), L’Enfant d’Alpha (s1e10), Collision Inévitable (s1e13), Le Grand Cercle (s1e15), Déformation spatiale (s2e15), Le Spectre (s2e20), La Planète du Diable (s2e22) et Le Syndrome de l’Immunité (s2e23). Là où les fenêtres sont censées être situées directement devant les pilotes assis, tandis que l’écran est situé entre les pilotes. Ils ne sont jamais visibles dans les plans latéraux et doivent donc être situés devant l’extension du plateau, c’est-à-dire à une certaine distance devant la console pilote. Cela crée un problème de continuité avec l’Aigle miniature SFX, de sorte que la fenêtre peut en fait être un dispositif de type périscope. L’utilisation de fibres optiques ou de prismes permettrait au pilote assis d’avoir une vue dégagée de la surface lunaire lors de l’atterrissage (les fenêtres supérieures seraient de toute façon largement inutiles à cet effet).
L’écran est utilisé dans Déformation spatiale (s2e15), Le Secret de la caverne (s2e13), Les Chrysalides AB (s2e12), Un Message d’Espoir - 2e partie (s2e18), Le Spectre (s2e20) et La Planète du Diable (s2e22).
Un motif de réticule (viseur de tir) a été vu dans Ruses de guerre (s1e17) (également utilisé dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) et dans Les Dorcons (s2e24)).
Les panneaux latéraux de l’ordinateur étaient inchangés jusqu’à La Planète Archanon (s2e8) lorsque les nouveaux panneaux comprenaient « Oxygène » (Oxygen) et « Manuel/Télécommande » (Manual/Remote) du côté bâbord (pilote) et « Allumage moteur » (Engine Ignition) (ou « Moteurs auxiliaires allumés/éteints » (Auxiliary- Engines On/Off)) du côté tribord (copilote). Les panneaux ont ensuite été mélangés selon les besoins tout au long de la série. Dans La Planète du Diable (s2e22), un panneau « Laser Control » est apparu à tribord. Dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), les panneaux « Système de sauvegarde » (Backup System) et « Système de veille » (Standby System) ont été utilisés du côté tribord. Certains des panneaux latéraux semblent avoir du texte cyrillique.
Pour en savoir plus et en voir davantage, aller ici.
Le couloir d’accès entre le module de commande et le module passager a été raccourci au cours de la saison 2 en supprimant une section. Certains épisodes de la saison 1 se sont également trompés. Dans Le Maillon (s1e5), lorsque le module de commande est séparé du reste, la civière de Koenig s’étend à travers la porte ouverte de la section pilote dans le couloir. Dans Le Domaine du Dragon (s1e23), lorsque le module de commande séparé s’amarre à l’Ultra Probe, la section du couloir l’accompagne.
Andrew Novinc a réalisé des images à 360° d'où sont extraites les photos ci-dessus. Vous pouvez les retrouver sur sa page avec d'autres images à 360°.
Rendus des couloirs d'accès par Andrew :
Le couloir d’accès était le lieu de l’enlèvement de Sandra dans Le Grand Cercle (s1e15), mais était autrement peu vu. Nous ne voyons que le côté tribord, qui contient une double étagère pour le stockage. Le côté bâbord invisible peut être identique (Roberto Baldassari et Keith Young supposent que la cuisine du vaisseau spatial est située là).
L’étagère du couloir d’accès refait surface dans Tout ce qui Reluit (s2e4), dans le cadre de l’ensemble du laboratoire de l'Aigle.
L’extrémité avant tribord de l’ensemble est étiquetée « Damage Control » dans Le Domaine du Dragon (s1e23). L’étagère éclairée au milieu contient divers équipements de secours (cordes, hache, etc.). Les panneaux supérieurs et inférieurs peuvent abriter des sous-systèmes critiques, accessibles à l’équipage au cas où des réparations d’urgence devraient être effectuées.
Les panneaux lumineux au milieu sont généralement étiquetés avec un chiffre rouge « 6 ». Ils peuvent simplement donner accès à des sous-systèmes maintenables (par exemple, les moteurs de fusée d’atterrissage), ou ils peuvent contenir la cuisine et les toilettes.
Le couloir d’accès est censé abriter également la tourelle laser rétractable vue en saison 2. Nous ne voyons jamais le couloir d’accès arrière (bien que la section avant soit brièvement aperçue dans Le Testament d’Arcadie (s1e24)). Cependant, les sections avant et arrière semblent identiques de l’extérieur, nous pouvons donc logiquement supposer qu’elles contiennent des sous-systèmes similaires. Le couloir arrière sert probablement de soute.
Les dimensions du studio du couloir d’accès ne correspondent pas à celles du couloir d’accès du modèle d’effets spéciaux. En particulier, la zone de stockage à double étagère à l’extrémité arrière est beaucoup plus large que le modèle SFX. Il semblerait que la porte coulissante arrière ne puisse pas être complètement ouverte car le couloir du modèle SFX ne mesure que 1,5 mètre de diamètre !
Une meilleure solution serait de placer la zone de rangement à l’extrémité arrière à l’intérieur du module passagers, qui est clairement assez large pour l’accueillir. Cependant, cela crée un autre problème de cohérence car il n’y a pas de portes au milieu du studio du couloir d’accès. La solution consiste à étendre et rétracter tout le couloir d’accès (voir animation). En configuration à quai, le couloir d’accès s’étend normalement sur 1,5 mètre dans le compartiment passagers (les portes d’extrémité sont en fait poussées vers la cloison avant du compartiment passagers). Si le module doit être détaché, le port d’amarrage se rétracte dans le couloir d’accès tout en remettant la porte d’extrémité du module en place.
Le module passager de l’Aigle est utilisé pour transporter des passagers et du matériel, et pour des analyses informatiques plus sérieuses que ce qui est possible avec les ordinateurs de vol dans le cockpit. L’équipage entre et sort par les portes latérales du module passagers. La partie avant du module a des étagères et des alcôves, et les sièges dans la partie arrière peuvent également être remplacés pour le stockage. Il y a soit 8 ou 4 sièges, selon que certains sont retirés pour le stockage, ou le côté tribord est remplacé par un grand mur d’ordinateur.
Pour les 6 premiers épisodes, la porte avant du module passager portait les numéros 5 (extérieur) et 4 (intérieur) et la porte arrière est numéro 3 (la porte du module de commande était numérotée 6). Si la numérotation est les numéros de porte, peut-être que les portes latérales sont 1 et 2. À partir de Le Maillon (s1e7), le numéro de l'Aigle apparaît sur la porte. Au cours de la saison 2, une étiquette supplémentaire « Eagle » est ajoutée pour plus de clarté.
Bien que les modules aient 4 moteurs-fusées verticaux et des jambes extensibles en dessous, l’intérieur n’a presque pas d’espace sous le plancher pour accueillir cela.
Le module passager dans la configuration ultérieure (à partir de Un Autre Royaume de la Mort (s1e14)). 4 sièges restent à bâbord, avec un mur d’ordinateur et un bureau sur le côté tribord (le mur apparaît sans sièges dans Le Maillon (s1e7) et Le Dernier Crépuscule (s1e11)). Les écrans avant sont remplacés par des tubes cathodiques. Les sièges tribord sont réapparus à certains moments, et des détails mineurs ont changé au cours de la série (refait à l'identique en image de synthèse par Andrew Novinc).
La première scène de À la Dérive (s1e1) est évidemment inspirée de l’intérieur du clipper spatial de 2001: l'Odyssée de l'espace. Au plafond, les lumières latérales plus petites sont encastrées et correspondent à peu près aux panneaux noirs extérieurs sur le dessus incliné de la nacelle.
Le module passager est le lieu de tournage de scènes émotionnellement dramatiques plus calmes, comme celle-ci entre Helena et Sandra dans Le Soleil Noir (s1e3).
Les passagers clandestins apparaissent régulièrement dans le module passager : Lee Russell dans Une Question de Vie ou de Mort (s1e2), l’homme des cavernes dans Le Grand Cercle (s1e15), le nain dans La Mission des Dariens (s1e22).
La porte arrière du module passagers n’est jamais vue ouverte que dans Le Testament d’Arcadie (s1e24) (montrant le buggy et une section de mur) et dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) pendant l’accident (seules des boîtes peuvent être vues). Dans les 2 cas, il n’y a qu’un seul cadre de porte - pas une porte intérieure et extérieure (comme à l’avant du module passagers).
Théoriquement, le module passagers pourrait être monté face à face dans les 2 sens. Cette configuration de module passagers n’est probablement pas détachable de l’Aigle car il n’y a pas de porte arrière et la soute (qui est identique à la paroi habituelle du module passagers dans Le Testament d’Arcadie (s1e24) se prolonge dans le couloir d’accès arrière. Il est probablement utilisé lors de missions transportant des cargaisons volumineuses telles que le Moonbuggy, où il n’est pas nécessaire de laisser le module passagers à la surface.
La porte latérale, qui se connecte au tube d’amarrage ou s’ouvre sur la surface étrangère. Image par Andrew Novinc. Comparez à l’image de Ruses de guerre (s1e17) ci-dessous, mais il s’agit d’un composite de détails, expliqué ci-dessous.
Les portes latérales n’ont pas de sas, donc pour EVA dans l’espace, le module entier doit être dépressurisé (Cerveau spatial (s1e20), Les Exilés (s2e2), Un Message d’Espoir - 2e partie (s2e18)). Heureusement, les boîtes, lasers et autres objets en vrac ne flottent pas hors de la porte lorsque l’astronaute quitte le module.
Dans les premiers épisodes, il y a 2 grilles de chaque côté de la porte, avec un petit panneau de commande jaune sous chacune.
Dans Collision Inévitable (s1e13), un grand panneau de commande de porte noir supplémentaire apparaît sur un côté, qui est parfois utilisé pour actionner les portes. Il a 9 boutons (rangée du haut rouge, vert du milieu, bleu inférieur jusqu’à Cerveau spatial (s1e20) quand ils deviennent jaunes).
Dans Cerveau spatial (s1e20), le panneau de commande à droite a maintenant des boutons jaunes sur la rangée inférieure.
A partir de La Métamorphose (s2e1), l’ensemble est remanié. Il y a maintenant un panneau de ventilation blanc à la base de l’étagère sur le mur de l’ordinateur. La grille métallique et le petit panneau de commande jaune ont disparu des 2 côtés. Sur le côté gauche de la porte, il n’y a aucun détail. Sur la droite se trouve une grande étiquette jaune (une grille de lettres Létaset), une petite étiquette rouge ronde « 6 » et une petite étiquette jaune. Le panneau de commande noir sur la gauche est conservé, mais a des boutons bleus sur la rangée inférieure (encore).
Dans Une Question de Vie ou de Mort (s1e2), les portes extérieures gagnent des fentes de chaque côté pour les mains courantes (et la première utilisation des marches). Les portes latérales extérieures dans Direction Terre (s1e5) ont un « contrôle de sas », qui est toujours présent à la fin de la saison 1. À la saison 2, l’extérieur est vide.
Le module passagers avait plusieurs configurations.
Dans À la Dérive (s1e1), Une Question de Vie ou de Mort (s1e2), L’Anneau de la Lune (s1e4) et Autre temps, Autre lieu (s1e6), le module avait 8 sièges répartis sur 2 rangées. Cette configuration passager est réapparue dans Le Gardien du Pir (s1e8), Les Exilés (s2e2) et Une autre Terre (s2e10) (avec les sièges orientés vers l’arrière).
A partir de Un Autre Royaume de la Mort (s1e14), il y a 4 sièges à bâbord, et un mur d’ordinateur et un bureau à tribord.
Il y a aussi des exemples où certains ou tous les sièges sont retirés, laissant une zone plate en contrebas pour l’équipement médical (Le Gardien du Pir (s1e8)) ou des boîtes (Le Soleil Noir (s1e3), Direction Terre (s1e5), La Machine Infernale (s1e21), La Mission des Dariens (s1e22), Le Syndrome de l’Immunité (s2e23)).
Il n’y avait pas de sièges du tout dans certaines configurations : c’est juste du stockage dans Direction Terre (s1e5) et Le Syndrome de l’Immunité (s2e23), et les sièges sont remplacés par des bureaux de classement dans Le Maillon (s1e7) (l'Aigle qui se crashe), Le Dernier Crépuscule (s1e11), Le Domaine du Dragon (s1e23).
Dans À la Dérive (s1e1), nous voyons la configuration à 8 sièges. Devant chaque paire de sièges se trouve une alcôve de rangement vide et un seul écran. Entre les sièges se trouve un panneau de commande qui actionne l’écran de cloison avant et communique avec le pilote.
Dans Le Soleil Noir (s1e3), les sièges arrière sont retirés pour l’espace de rangement. L’avis rouge 'Procédure d’urgence' est également visible tout au long de l’Alpha et peut être lu ici
Le plus souvent, les sièges sont retirés d’un côté (ou des 2) pour permettre le rangement des boîtes (Direction Terre (s1e5), La Machine Infernale (s1e21), La Mission des Dariens (s1e22), Le Syndrome de l’Immunité (s2e23)).
Dans Le Gardien du Piri (s1e8), les 4 sièges d’un côté sont retirés et remplacés par un fauteuil médical et des moniteurs.
Les écrans de siège sont très rarement utilisés - ici ils sont vus dans Une Question de Vie ou de Mort (s1e2) et Le Maillon (s1e7).
Il y a aussi une fente de type « boîte aux lettres » pour les papiers dans la console avant des sièges.
Gros plans des sièges de La Mission des Dariens (s1e22).
La partie avant de la configuration du siège comprend plus de rangement. Les cylindres sont des saladiers Gustavberg. Dans les photos ci-dessous, notez que les sièges sont déplacés vers l’allée centrale, loin des parois latérales. Dans À la Dérive (s1e1), les sièges sont poussés contre le mur, avec un espace le long de l’allée dans lequel l’hôtesse descend pour donner son café à Koenig. Plus tard dans la série, en fonction de la prise de vue, les sièges sont poussés vers l’allée et ne s’alignent donc pas avec la console avant. Le siège de Bergman chevauche en fait le cadre de la porte.
Le mur du fond est légèrement remodelé à la saison 2. Le numéro de porte a changé de police et porte une étiquette supplémentaire « Eagle ». Certains des autres étiquetages ont disparu et les lignes noires autour des appliques murales horizontales continuent maintenant jusqu’à la porte. Dans ce plan de Les Exilés (s2e2), l’allée est couverte de planches, cachant l’espace entre l’allée et les sièges.
Le même point de vue que Les Exilés (s2e2) tourné ci-dessus, tel qu’il apparaissait dans la saison 1. L’écart entre l’allée et les sièges variait, parfois plan par plan. Dans les plans ci-dessus de Le Soleil Noir (s1e3) et La Mission des Dariens (s1e22), les sièges sont déplacés vers le haut de l’allée, avec un espace par rapport au mur ; dans les plans d’Helena et Sandra dans Le Soleil Noir (s1e3), les sièges sont contre le mur.
Dans quelques épisodes, les Alphans dorment dans les sièges de l'Aigle : Le Grand Cercle (s1e15), Le Testament d’Arcadie (s1e24). Ici, le siège de Sandra est poussé jusqu’à l’allée et le siège arrière chevauche la porte arrière.
Dans Une autre Terre (s2e10), nous voyons la configuration à 8 sièges revenir (bien que nous ne voyions pas tous les sièges). Lorsque l’Aigle se lance à la fin, les sièges ont inversé la direction.
La configuration informatique est apparue brièvement dans Le Maillon (s1e7), en bonne place dans Le Dernier Crépuscule (s1e11), et à partir de Un Autre Royaume de la Mort (s1e14), elle est devenue l’arrangement standard. Celui-ci comportait une banque d’ordinateurs sur le côté tribord, avec console et écrans, tandis que 4 sièges restaient du côté bâbord. Le module d’amplification était identique au module standard à l’intérieur, mais dans Tout ce qui Reluit (s2e4), il gagnait mystérieusement 2 fois plus de longueur. Normalement, il y a un bureau devant les ordinateurs (dans Le Dernier Crépuscule (s1e11), un autre type de bureau).
Ci-dessous, le premier plan, très bref, du mur de l’ordinateur dans Le Maillon (s1e7). Exceptionnellement, il a les panneaux étiquetés « X5 Computer » sur la rangée supérieure. Ceux-ci n’ont pas été revus dans le module passagers avant la saison 2.
Les panneaux informatiques sont de conception standard, identiques à ceux utilisés dans la Mission Principale. Les panneaux changent d’épisode en épisode, mais les écrans centraux sont toujours les mêmes. Les panneaux d’écran sont de la même conception que celle utilisée par les lits dans les chambres médicales d’Alpha. Les écrans de visualisation sont souvent utilisés pour montrer des tests informatiques ou des vidéos. Les boutons lumineux sous les écrans sont marqués des lettres S F T, V A P N O, C H O.
Les seuls épisodes où les configurations sont les mêmes sont Un Autre Royaume de la Mort (s1e14) et l’épisode suivant, Le Grand Cercle (s1e15) - à l’exception d’une scène. Dans cette scène, un nouveau panneau est inséré pour que Sandra puisse regarder une horloge (le panneau avec une horloge Metamec, utilisé dans la Mission Principale). La raison pour laquelle les panneaux ont changé est probablement qu’ils étaient réutilisés dans différents ensembles de la base lunaire.
Habituellement, il y a un bureau de type Mission Principale ou (en saison 2) Centre de Commandement devant l’ordinateur.
Le mur de l’ordinateur dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) aura plus tard arraché des panneaux et des écrans cassés. Notez que les sièges normaux sont enlevés et qu’il y a 2 bureaux inhabituels.
Les bureaux de Le Dernier Crépuscule (s1e11) apparaissent également dans Le Domaine du Dragon (s1e23). Encore une fois, ils ont des chaises Gaudi, comme utilisé dans la Mission Principale.
Dans Cerveau spatial (s1e20), des charges nucléaires ont été placées devant l’ordinateur.
Au bout du mur de l’ordinateur, près de la porte latérale, se trouvent des étagères.
Notez que le panneau de ventilation à la base des étagères d’extrémité n’apparaît qu’en saison 2.
La configuration Tout ce qui Reluit (s2e4) est unique. Nous ne voyons pas le mur du port. Le côté tribord est composé de plusieurs sections. À l’arrière se trouve une section d’étagères du couloir avant de l’Aigle. Ensuite, il y a une longue section de mur d’ordinateur (en retrait pour donner toute la largeur au module passager, et sans compter les écrans normaux trouvés dans l’Aigle). Les tables de classement (vues dans Le Dernier Crépuscule (s1e11) et Le Domaine du Dragon (s1e23)) sont devant ces ordinateurs, avec beaucoup d’équipement technique Alpha dessus, et, à un moment donné, Tony. Ensuite, il y a le mur de cloison ordinaire normal, avec 4 colonnes de boîtes hexagonales empilées 3 de haut devant elles. Des échelles avec des cordes et des rouleaux de tapis rouges pendent du plafond (comme dans Le Dernier Crépuscule (s1e11)). Les 4 sièges sont parallèles à cette section. Ensuite, il y a la porte latérale, la cloison avant normale et le couloir.
Les photos ci-dessous décrivent le texte au-dessus :
Les cloisons avant du module passagers ont changé au cours de la série. Voici les rendus de la première version (écran, placement des étiquettes) et de la version ultérieure : Les tubes cathodiques ont remplacé l’écran de visualisation dans Le Maillon (s1e7)/Le Dernier Crépuscule (s1e11) ; les étiquettes changent de position et le rack d’armes apparaît dans Le Dernier Crépuscule (s1e11). Il change à nouveau pour la saison 2, avec l’extincteur dans une nouvelle position, de nouvelles étiquettes, et à la fin de la série l’étiquette « Weapons Rack ».
Les cloisons avant du module passagers comportaient à l’origine de grands écrans couleur (À la Dérive (s1e1), Une Question de Vie ou de Mort (s1e2), Le Soleil Noir (s1e3), L’Anneau de la Lune (s1e4), Direction Terre (s1e5), Autre temps, Autre lieu (s1e6), Le Gardien du Piri (s1e8)). L’écran de visualisation est réapparu (côté bâbord uniquement) dans Le Domaine du Dragon (s1e23).
À partir de Le Maillon (s1e7), le grand écran est passé à de petits écrans CRT, 2 de chaque côté. L’épisode suivant (Le Gardien du Piri (s1e8)) est de retour sur l’écran, mais la prochaine fois que nous verrons le module passagers (Le Dernier Crépuscule (s1e11)), les écrans CRT seront de retour et resteront jusqu’à la fin de la série.
Sur le côté intérieur de la cloison se trouve un panneau de porte de base de Lune standard, avec des panneaux au-dessus. Au début de la saison 1, il y avait 2 étiquettes de signes (jusqu’à Un Autre Royaume de la Mort (s1e14)). À partir de Le Grand Cercle (s1e15), il n’y a plus qu’un seul panneau (la « Fire Emergency Procedure » (procédure d’urgence incendie) blanche). La police de caractères est Eurostile Bold Extended.
Sur le côté de la porte de la cloison, il y a un autre panneau blanc « Fire Emergency Procedure » (procédure d’urgence incendie) monté bas, près d’un extincteur bleu. À partir de Le Grand Cercle (s1e15), cette étiquette disparaît, avec une étiquette « Emergency Procedure » (Procédure d’urgence) apparaissant plus haut, au niveau de la base des écrans CRT.
La saison 2, une nouvelle étiquette rouge apparaît (avec une version abrégée du même texte que l’étiquette de la saison 1, moins les fautes d’orthographe « codeing »). En saison 2, un extincteur bleu est monté au-dessus de l’étiquette (le texte a donc du sens, contrairement à la saison 1).
Une grande étiquette rouge « Weapons Rack » apparaît dans La Planète du Diable (s2e22) et (dans un endroit différent) dans Le Syndrome de l’Immunité (s2e23).
Sous les écrans se trouvaient des étagères, contenant des boîtes ou des packs de combinaisons spatiales.
L’étagère supérieure 2 étagères sur le côté tribord étaient des étagères de rangement normales jusqu’à Le Dernier Crépuscule (s1e11) lorsque l’étagère supérieure a gagné une rampe métallique contenant 5 pistolets paralysants, et l’étagère du milieu avait 2 colonnes avant avec des supports, utilisées pour contenir une arme longue. Il s’agissait soit d’un gros blaster (Le Dernier Crépuscule (s1e11), Le Grand Cercle (s1e15), Un Autre Royaume de la Mort (s1e14), La Machine Infernale (s1e21), Au bout de l’Éternité (s1e16)) ou d’un fusil laser (Ruses de guerre (s1e17), Cerveau spatial (s1e20), La Mission des Dariens (s1e22), Le Domaine du Dragon (s1e23), Le Testament d’Arcadie (s1e24), toute la saison 2).
De Le Dernier Crépuscule (s1e11) à Tout ce qui Reluit (s2e4), le support de pistolet paralysant est sur le côté tribord. Dès l’apparition suivante, Une autre Terre (s2e10), les pistolets paralysants sont à bâbord.
De Une autre Terre (s2e10), les canons paralysants se déplacent vers bâbord. Ici, le fusil laser est également monté sur le côté bâbord.
Dans Les Chrysalides AB (s2e12), les fusils laser sont montés des 2 côtés.
Dans la majeure partie de la saison 1, un extincteur bleu est monté dans l’étagère inférieure du côté de la porte. Les marques varient à travers la série - il a des étiquettes d’instructions normales jusqu’à Ruses de guerre (s1e17), quand ils disparaissent, le laissant vide.
A la saison 2, l’extincteur bleu est déplacé au-dessus de la commande du panneau de porte, normalement avec une petite étiquette rectangulaire. L’un des extincteurs est retiré par Koenig dans La Planète du Diable (s2e22) et utilisé comme arme contre les gardes.
La section avant du module passagers contient des armoires et des étagères, utilisées pour suspendre des combinaisons spatiales ou des boîtes et des étuis. Théoriquement, le module passagers pourrait être monté face à face dans les 2 sens.
À l’avant, près de la porte du module de commande, se trouvent 3 étagères. Au centre du module se déplacent vers le centre de 3 hautes armoires ouvertes avec des rails suspendus, qui peuvent contenir des combinaisons spatiales ou des boîtes. Les armoires et les étagères ont des étiquettes rouges avec des numéros. Sur le côté bâbord, les numéros sont (du centre vers l’avant, en haut) 1, 2, 3, 1 (et les étagères en dessous, 2 et 3). À tribord, les numéros sont (de l’avant au centre) 4 (avec les étagères 5 et 6 en dessous), 4, 5, 6. Évidemment, il peut y avoir une certaine confusion si les choses sont stockées dans « 4 ».
De À la Dérive (s1e1) à Autre temps, Autre lieu (s1e6), il y a une étiquette verte au-dessus de la porte, avec le numéro « 12 ». Ensuite, il devient un panneau standard « Emergency Procedure » (Procédure d’urgence).
Ci-dessous : un plan des coulisses du tournage de Tout ce qui Reluit (s2e4). Le côté bâbord est manquant (bien que des combinaisons spatiales soient suspendues à leur place).
Ci-dessous : les pièces démantelées de l’Aigle. Les armoires bâbord sont derrière Landau, Anderson et leurs invités. Les murs et le toit du module passager principal sont empilés loin à gauche.
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Space: 1999 Eagle 1 - Part 1 par Arctic Modeler | Space: 1999 Eagle 1 - Part 2 par Arctic Modeler |
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