Série : Military Miniatures
41 € 30
Descendant des chars rapides « BT », le T-34 est un char de combat moyen soviétique entré en service en 1940 au sein de l'Armée rouge. Il constitua un remarquable équilibre entre les 3 composantes fondamentales qui caractérisent la qualité d'un blindé : la puissance de feu, la protection et la mobilité. Il joua un rôle essentiel sur le Front de l'Est au cours de la Seconde Guerre mondiale, ce qui fait du char T-34 l'un des symboles de la victoire contre le nazisme. Char légendaire, le T-34 est considéré pour beaucoup comme le meilleur blindé des forces alliées et l'un des meilleurs chars de la Seconde Guerre mondiale. Certains généraux allemands, dont Ewald von Kleist et Heinz Guderian (spécialiste de la Blitzkrieg), reconnaissaient la supériorité du T-34 face aux panzers. Le premier disait que le T-34 était « le meilleur char du monde ». Par sa grande fiabilité et son équilibre entre les 3 qualités fondamentales d'un blindé — la mobilité, la protection, la puissance de feu —, le T-34 fut le premier char de combat principal produit en masse.
Le T-34/76 joua un rôle déterminant lors de la bataille de Koursk à l'été 1943. Mais, dépassé par les derniers Panzers, les pertes furent sévères. L'expérience de la bataille de Koursk conduisit à l'évolution la plus importante et la plus réussie du T-34, lancée à l'automne 1943 : le T-34/85. Doté d'un canon de 85mm, le T-34/85 constitua le fer de lance de l'Armée rouge de l'opération Bagration à l'été 1944 jusqu'à la bataille de Berlin puis, après la chute du IIIe Reich, face à l'Armée impériale japonaise, lors de l'offensive de Mandchourie en août 1945. L'économie planifiée socialiste permit à l'URSS de produire près de 60'000 chars T-34 de 1941 à 1945 - un exploit, malgré l'invasion nazie. Au total, 84'070 T-34 sortirent des usines du Bloc de l'Est de 1940 à 1958, ce qui en fait le 2e char le plus produit de tous les temps, derrière ses successeurs : les T-54 et T-55.
Sa capacité d'évolution alliée à une facilité de construction et d'entretien lui permirent d’être disponible en très grand nombre et lui assurèrent une longévité exceptionnelle. 27 pays l'utilisaient encore en 1996.
Le Musée des blindés de Saumur (France) expose 3 chars T-34 : 1 T-34/76 modèle 1941 et 2 T-34-85 modèle 1944.
L'usine n°183 de Kharkov reçut l'ordre, le 14 octobre 1937, de construire un successeur au BT-7. Il en résulta le prototype « A-20 » qui tout comme les « BT » avait la possibilité de rouler sur chenilles ou sur ses roues, une fois les chenilles ôtées. Les retours d'expériences des tankistes républicains utilisant des « BT » lors de la guerre d'Espagne décidèrent les autorités soviétiques à produire un prototype roulant uniquement sur ses chenilles, le « A-32 ». Une version surblindée prit le nom de « A-34 ». Le 31 mars 1940, le ministre de la Défense soviétique donne son accord pour la production de 150 exemplaires du « A-34 », sous le nom de T-34. Mikhaïl Kochkine est considéré comme étant l'ingénieur concepteur du T-34, après avoir déjà fortement contribué au développement des BT.
L'arrangement général du véhicule est classique, avec le moteur à l'arrière. Tous les côtés de la caisse sont très inclinés par rapport à la verticale. Cette caisse est fabriquée avec des plaques d'acier homogènes soudées entre elles. Le profil bas du T-34 en fit une cible difficile à neutraliser, au contraire du M4 Sherman qui, souffrant d'un profil haut et d'un blindage latéral vertical, fut une cible plus aisée.
Le char d'assaut soviétique est de fabrication rustique et solide. Son confort est sommaire, voire spartiate. Sur certains modèles, les tankistes soviétiques devaient parfois changer les vitesses au maillet lorsque les mécanismes étaient récalcitrants. Mais qu'il fasse plus de ou moins de 0°C, le T-34 démarre au quart de tour. Ses larges chenilles s'adaptent parfaitement aux terrains du front de l'Est. Il est à l'aise sur route, autant que dans la neige et la boue : la « Raspoutitsa » tant crainte par la Wehrmacht et ses Panzers aux chenilles étroites qui s'embourbent. Les premières versions connurent de graves défauts de fiabilité et la grande majorité fut abandonnée lors de l'invasion allemande en 1941. Il fut constamment amélioré, et ses défauts de jeunesse progressivement corrigés, jusqu'à obtenir un des chars les plus sobres et fiables de la guerre.
Développé à l’usine de locomotives de Kharkov, avec l’aide de l’Institut technique de cette ville, le moteur diesel V-2 devait beaucoup à des conceptions étrangères. L’importance relative de ces emprunts a longtemps fait débat. D’abord considéré comme une adaptation de l'Hispano-Suiza 12Y, dans sa version construite en URSS par Klimov, le V-2 se vit ensuite prêter une ascendance italienne, comme dérivant du moteur diesel Fiat AN.1. En fait, il était une transformation au cycle diesel du moteur d’avion Mikulin M-17, un modèle BMW VI produit sous licence en application d’un contrat passé en 1926. Le moteur Mikulin M39 qui équipait le fameux avion d’assaut Iliouchine Il-2 étant dérivé du même modèle allemand, ce contrat de cession de licence passé par BMW illustre les risques que comportent les accords de transfert de technologie militaire.
Le toit et le dessous du char sont constitués de plaques épaisses de 20 et 22mm, il possède une trappe pour l'évacuation d'urgence sous le mitrailleur. Le blindage de caisse des T-34-85 est épaisse de 45mm de tous côtés. Le T-34/85 adopte une grande tourelle de 90mm d'épaisseur de face, de 75mm en latéral et de 52mm à l'arrière. Sa caisse reste blindée à 45mm de tous côtés.
L'épaisseur du blindage de la caisse du T-34 semble relativement faible avec seulement 45mm. Cependant, le blindage des 4 côtés de la caisse est incliné, ce qui a pour effet d'augmenter la protection contre les impacts horizontaux. L'avant du T-34 est incliné à 60° par rapport à la verticale (ou 30° par rapport à l'horizontale), cet angle double l'épaisseur réelle du blindage face à un projectile de trajectoire horizontale. De 45mm, l'épaisseur effective du char passe à 90mm. Ainsi, le blindage effectif frontal du T-34 est très proche de celui du char lourd Tiger I, doté d'un blindage frontal non incliné d'une épaisseur de 100mm. Le blindage latéral de 45mm du T-34 est incliné de 40° par rapport à la verticale, ce qui lui confère un blindage latéral effectif de 60mm. L'inclinaison du blindage fait du T-34 un char bien protégé et rapide. D'un point de vue économique, l'inclinaison du blindage permet d'alléger le char, donc d'économiser des matières premières indispensables à l'industrie de guerre telles que l'acier et le carburant.
Cependant, le T-34 n'est pas exempt de défauts. Le principal d'entre eux est sa tourelle, qui ne comporte que 2 membres d'équipage (un chargeur et un chef de char/canonnier). Ce dernier ne peut à la fois observer le champ de bataille et utiliser le canon principal, contrairement à ses adversaires allemands, qui ont 3 hommes en tourelle. De plus, les optiques du char sont de très mauvaise qualité, rendant l'observation du champ de bataille difficile, et les radios (surtout les premières générations) ont une portée faible et sont peu fiables.
La caisse est divisée en 4 compartiments distincts. De l'avant vers l'arrière, on trouve :
Le « T-34 modèle 1940 » possède un canon de 76mm L-11 aux performances antichars modestes. Un essai se fait avec une pièce antichar plus performante de 57mm ZiS-2 puis ZiS-4 permettant de perforer 94mm de blindage à 500 mètres sous une incidence de 90°. Le « T-34/57 » ne sera toutefois produit qu'à 133 exemplaires, l'obus explosif utilisé étant peu performant contre l'infanterie.
Est adopté alors le 76mm F-34 L/42 sur le « T-34 modèle 1941 », avec obus antichar BR-350A, permettant de perforer à 500 mètres 57mm de blindage incliné à 30°, ou encore 47mm à 1'000 mètres, 32mm à 2'000 mètres. Faute de mieux, ce canon sera utilisé sur les T-34 modèle 1942, modèle 1943 et modèle 1943-1944. Ce dernier modèle peut toutefois utiliser une munition nouvelle, l'obus sous-calibré BR-350P capable de percer 92mm de blindage à 30° à 500 mètres, 58mm à 1'000 mètres.
Pour conclure, la puissance des canons montés sur les T-34/76 et T-34/57 était suffisante pour percer les blindages des chars allemands de 1941, mais incapable de faire jeu égal avec les productions allemandes à partir de 1942 (notamment le modèle Panzer IV Ausf. G, dont le blindage de tourelle et châssis, bien que verticalement monté, atteignait 80mm). Ce constat sera d'autant plus vrai avec l'apparition ultérieure du Panzerkampfwagen VI « Tiger » fin 1942. La meilleure chance de survie et de réussite pour les chars soviétiques de type T-34 est donc, début 1943, la chasse en meute (la masse de blindés devant pallier leurs déficiences conceptuelles). Les résultats des grandes offensives autour de Stalingrad (opérations Uranus, Saturne, Mars, Jupiter) montreront toutefois les limites de l'organisation tactique blindée des Soviétiques. Celle-ci ayant du mal à maintenir une cohésion d'ensemble sur le long terme, la faute notamment au manque de radios et de chef de char dans la tourelle.
Tirant les leçons de la bataille de Koursk à l'été 1943 où les canons de 76,2mm montrèrent leurs limites, les Soviétiques lancèrent la production du T-34/85 armé du canon de 85mm ZiS-5/85, dont les performances furent encore insuffisantes pour concurrencer le Tigre et le Panther. Au cours de l'hiver 1943-1944, ce canon fut vite remplacé par le 85mm D-5T aux performances bien plus convaincantes. Le canon de 85mm modèle D-5T inversa la tendance avec une perforation de 110mm à 1'000 mètres de distance ce qui lui permit de se mesurer aisément à la majorité des chars allemands (dont le Tiger I qu'il put désormais pénétrer frontalement à une distance entre 800 et 1'000m) et lui fait prendre un avantage décisif sur la dernière version du Panzer IV, la version H. Finalement, le canon Zis-53 fut préféré au D-5T, car plus efficace et plus simple à produire dès mars 1944 jusqu'à la fin de la guerre, c'est le T-34/85 modèle 1944.
Le T-34/85 redevint dangereux pour les blindés allemands, car, en plus de l'amélioration du canon et du blindage, la nouvelle tourelle permit d’accueillir un membre d'équipage supplémentaire, optimisant la répartition des tâches, comme sur les blindés allemands. De nouvelles radios améliorèrent la coordination des chars entre eux, et, enfin de nouvelles optiques de tir inspirées des modèles allemands, apparurent à la fin de l'année 1943 et augmentèrent la précision des tirs. Celle-ci resta cependant inférieure à celles des chars allemands, d'autant plus que les équipages soviétiques furent entraînés hâtivement pour faire face aux pertes importantes, et n'eurent pas le niveau technique de leurs adversaires.
Le T-34/85 put engager et détruire des Panther de face à une distance de 800 mètres. Des rapports de combats datant de la fin de la guerre indiquèrent des perforations au-delà de 1'000 mètres.
Seuls 115 T-34 sont produits pendant l'année 1940. Le nouveau char pose en effet de nombreux problèmes de fabrication, tant sur le plan de la mise en place des chaînes d'assemblage que par des défauts de jeunesse du char, qui seront corrigés peu à peu :
Fin 1943, la production du T-34/85 est lancée. Le char connaît sa plus grande transformation. La tourelle devient bien plus spacieuse et mieux protégée, elle accueillera 3 membres d'équipage (dont un chef de char) contre 2 auparavant. Le blindage de la tourelle est augmenté à 90mm, le canon de 85mm D-5T puis Zis-53 est bien plus efficace que le 76,2mm. Dès 1942, les Allemands lui opposent des chars mieux blindés et armés : le Tigre I de 57 tonnes, le Tigre II de 70 tonnes et le Panzer V de 45 tonnes arrive trop tard et en trop faible nombre. En réponse, le T-34 vit sa tourelle modifiée pour recevoir un redoutable canon de 85mm et, surtout, pour accueillir 3 équipiers corrigeant ainsi le principal défaut du char. Pendant la Seconde Guerre mondiale, près de 23'000 T-34 furent produits. Environ 84'000 chars T-34, tous modèles confondus, furent produits de 1940 à 1958.
Le T-34 fut le meilleur char de combat soviétique de la Seconde Guerre mondiale. Les ingénieurs soviétiques améliorèrent en permanence les processus de fabrication, permettant une production en très grande série et cela dans des conditions très difficiles.
À titre d'exemple : en 1943, 3'700 heures de travail furent nécessaires pour fabriquer un char T-34, contre 8'000 heures en 1941. En 1942, 25'000 blindés furent produits en URSS (contre près de 9'000 en Allemagne) ; en 1944, environ 30'000 blindés sortirent des usines soviétiques. Entre 1941 et 1945, l'Union soviétique produisit plus de 100'000 blindés - dont près de 60'000 chars T-34.
Vous pouvez lire les engagements du T-34 des débuts à 1959.
Soutien de la Révolution cubaine, l'URSS envoya aux Forces armées révolutionnaires cubaines 150 chars T-34/85. Au printemps 1961, 125 chars T-34/85 étaient déjà en service à Cuba : ils servirent en avril 1961 pour repousser, avec succès, l'invasion de la baie des Cochons. Il fut aussi utilisé lors des guerres israélo-arabes jusqu'en 1973. Il servit également dans plusieurs conflits africains, comme en Angola où les forces du MPLA et cubaines l'employèrent lors de la guerre civile angolaise pour contrer l'UNITA aidée par l'armée sud-africaine. Le char servit lors de la guerre de Bosnie pendant les années 1994 et 1995, 50 ans après sa mise en service.
Selon le récit de Viktor Kutsenko, quelques T-34/85 furent même utilisés par les Afghans lors de la guerre d'Afghanistan contre les Soviétiques lors des combats de Zhawar, mais ils y furent complètement dépassés.
Pour l'anecdote, le 6 mai 2014 pendant la crise ukrainienne, un T-34 descendu d'un socle près d'un mémorial officiel puis remis en état de marche mais démilitarisé a été exhibé dans une rue de Louhansk puis a participé le 9 mai 2014 à une parade militaire.
On fit état de leur utilisation dans la guerre du Yémen où au moins 2 d'entre eux furent détruits en 2019 par les Houtis et dans la guerre civile syrienne en 2016.
En janvier 2019, l'armée russe a repris 30 T-34 à l'Armée populaire Lao pour les remettre en état et participer au défilé du jour de la Victoire 2020.
1966 à 1970 : Czterej pancerni i pies
(traduit par : Quatre membres d'équipage d'un blindé et un chien) est une série télévisée polonaise en noir et blanc basée sur le livre de Janusz Przymanowski. Elle est composée de 21 épisodes de 55 minutes chacun, répartis sur 3 saisons.
L'action se déroule en 1944 et 1945, durant la Seconde Guerre mondiale et suit les aventures d’un équipage et de leur char T-34 dans l'armée polonaise.
2018 : T-34
réalisé par Alexeï Sidorov39 avec Alexeï Sidorov, Vinzenz Kiefer, Viktor Dobronravov (ru), Irina Starchenbaum…
L'histoire commence en 1941 où l'armée allemande capture un char T-34 soviétique et son équipage, une suite d'évènements permet aux prisonniers de s'échapper.
2018 : Tanks for Stalin
réalisé par Kim Druzhinin avec Andreï Merzlikine, Mats Reinhardt, Aglaya Tarasova…
L'histoire se situe en 1940. Elle relate les péripéties d'une petite équipe d'ingénieurs devant relier secrètement Kharkiv à Moscou (650km), pour présenter un nouveau modèle de tank devant Staline.
Il s'agit d'un kit de montage de maquette en plastique à l'échelle 1/35.
Dans ce test, nous allons jeter un œil au kit MiniArt T-34/85 Mod 1960 au 1/35 (37089). Une jolie boîte nous apporte encore une autre version du célèbre char soviétique à l'échelle populaire. Néanmoins, le nouveau venu est fourni en kit sans intérieur, ce qui pourrait être un peu plus attrayant pour certains maquettistes en raison du nombre de pièces plus petit. Notez qu'ici, nous obtenons un type de version tardive qui peut être utile pour certains projets spécifiques. Eh bien, l'emballage est typique de MiniArt, toutes les grappes sont scellées dans un sac. Ouvrons-le et regardons-le ensemble de plus près.
Nous allons commencer par les petites grappes qui sont sécurisées dans le sac séparé. Vous trouverez ici des galets, un canon principal monobloc et certains des pièces externes. Pour les galets, il faudra trouver un gabarit de masquage.
Ensuite, nous continuons avec une grande grappe pour les pièces de coque ainsi que plusieurs plus petits avec divers embouts externes. Bien-sûr, toutes les trappes sont moulées séparément et peuvent être ouvertes sur votre modèle.
Le kit comprend encore certaines des pièces intérieures, mais pas de soucis - celles-ci ne seront nécessaires que pour la rigidité structurelle.
Les fûts de carburant sont assemblés à partir de plusieurs pièces et il y a des éléments de guidage à l'intérieur. La qualité du moulage a l'air propre et devrait être facile à travailler.
La suspension devrait également être une belle chose. MiniArt a ajouté des chenilles en plastique au kit, ce qui est évidemment mieux que l'offre de vinyle typique.
Les pièces de la tourelle viennent sur le châssis séparé. La surface de moulage a l'air bien et mérite une belle altération.
La coque inférieure doit être collée sur des panneaux séparés, alors assurez-vous de vérifier l'alignement. Le couvercle de la coque supérieure est livré en une pièce séparée.
La planche de photo-découpe est livrée dans une enveloppe séparée. Toutes ces pièces devraient ajouter des fonctionnalités fines à votre modèle. La feuille de décalcomanies est emballée avec une grappe de pièces transparentes. Bien entendu, elle est imprimée par Decograf et vous pouvez voir toutes les versions sur la photo ci-dessous.
La notice de montage est typique de cette marque. Je montre toutes les pages dans le test vidéo.
Conclusion :
Ce nouveau kit de tank devrait déjà être disponible à l'achat. Dans une boîte, vous obtiendrez un beau plastique qui devrait devenir l'un des meilleurs modèles de T-34 du marché. Je ne dirais pas que c'est un kit de débutant, mais les maquettistes avec un peu d'expérience pourront obtenir un bon résultat. Il s'agit d'un modèle typique de MiniArt, vous n'aurez donc aucun problème si vous avez assemblé leurs kits. Bien-sûr, une telle construction peut également être une bonne base pour tester vos compétences en matière de weathering afin de rendre le camouflage vert encore plus beau.
Vous pouvez le trouver sur :