Série : Military Miniatures
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Le M3, surnommé Lee ou Grant par les Britanniques, est un char moyen de conception américaine utilisé par les Alliés au cours de la Seconde Guerre mondiale. Issu du char M2, le M3 est développé en urgence au lendemain de la bataille de France, les États-Unis ayant alors réalisé que leurs véhicules blindés étaient inadaptés à la guerre moderne. Le M3 est ainsi accompagné d’importants changements de doctrine, avec la création de la composant blindée au sein de l’armée américaine, et de méthodes de production, avec la création du Detroit Tank Arsenal, première usine dédiée à la production de masse de véhicules blindées aux États-Unis.
Conçu pour l’armée américaine, le M3 est également fourni en grandes quantités au Royaume-Uni, dont l’armée a perdu la majeure partie de son matériel en France et est confrontée à une grave pénurie de véhicules blindés. Les Britanniques obtiennent notamment des États-Unis la création d’une variante spéciale pour leur usage, dotée d’une tourelle différente, qu’ils appellent General Grant, par opposition au General Lee, le M3 avec sa tourelle d’origine.
Le M3 est utilisé au combat pour la première fois pendant la campagne d’Afrique du Nord, au début de laquelle il se trouve être le char le plus lourdement armé du théâtre d’opération. Il apporte ainsi une bouffé d’oxygène aux Alliés, alors en difficulté face à Rommel, dont les canons antichar surclassaient les chars britanniques. Il est par la suite utilisé en Birmanie, où il apporte un soutien précieux aux Alliés dans la destruction des fortifications japonaises. L’Armée rouge, qui a reçu un millier d’exemplaires via le prêt-bail, l’utilise au combat jusqu’en 1945.
À sa mise en service, le M3 compte parmi les meilleurs chars existant alors : il est bien armé, correctement blindé et mécaniquement plus fiable que la plupart de ses équivalents. Il est toutefois loin d’être parfait, souffrant de nombreux défauts. Sa configuration inhabituelle, avec un canon en casemate d’un côté et une tourelle de l’autre, est notamment peu pratique et lui donne une haute silhouette repérable de loin. La protection inadaptée des réservoirs de carburant et des munitions lui confèrent en outre une fâcheuse propension à prendre feu et à exploser lorsqu’un projectile pénètre le blindage, inconvénient qui amène certains équipages à le qualifier de crématorium.
Produit à plus de 6'000 exemplaires, le M3 commence à être retiré de la ligne de front à partir de 1942, étant remplacé par le M4 Sherman. Son châssis trouve néanmoins un second usage pour mécaniser l’artillerie, avec notamment la réalisation des M7 Priest et M12 Gun Motor Carriage, ainsi que pour créer des véhicules spécialisés, comme le char de dépannage M31.
La désignation officielle dans la nomenclature américaine est M3 Medium Tank, généralement simplement abrégé en M3. Le Commonwealth de son côté utilise sa propre désignation, le M3 de série étant appelé General Lee tandis que la version modifiée pour leur usage reçoit le nom de General Grant. La tendance générale au niveau des troupes britanniques était toutefois d’appeler tous les M3 par le nom Grant, sans tenir compte de la version. En URSS, le char est appelé M3S, pour sredniy, « moyen », afin de le distinguer du M3 Stuart également en service dans l’Armée rouge.
Les différentes versions sont désignées dans le système américain par la lettre A suivie d’un chiffre incrémenté, par exemple M3A1, M3A2, etc. Chez les Britanniques, le versionnage s’effectue avec un chiffre romain suivant le nom, la version de base ayant été rétroactivement appelée General Grant I. Le M3A1 américain correspond ainsi au General Grant II ou au General Lee II, le système utilisée par les États-Unis ne distinguant en effet pas les 2 types.
Du fait que le M3 est passé directement en production, sans prototype, il n’existe aucune désignation T correspondant à ce projet.
Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate en 1939, l’U.S. Army possède peu de chars de conception récente et ceux disponibles sont uniquement des chars légers. Cette situation s’explique par le peu de financements disponibles à la suite de la Grande Dépression, mais aussi par la vision politique, qui ne perçoit l’armée que comme une force défensive. Quelques tentatives sont faite au cours des années '30' pour développer un char moyen, le T2 en 1934 et le T4 en 1936-1937, mais ces essais sont infructueux : la doctrine militaire ne concevant le char que comme un moyen d’appui de l’infanterie, ces véhicules sont uniquement armés de mitrailleuses, ce qui les rend peu intéressants par rapport à un char léger plus mobile et moins coûteux.
Ce n’est qu’en mai 1936 que la résolution de ce problème est abordée avec le début du développement du T5, qui doit être armé d’un canon de 37mm, en plus d’un minimum de 6 mitrailleuses. Il faut encore attendre février 1938 pour que soit livré le premier prototype, qui réalise dans les mois qui suivent ses essais à Aberdeen. Le T5 est finalement reconnu bon pour le service pendant l’été, sous le nom de M2, mais cette version est déjà obsolète : la guerre civile espagnole a mis en évidence la menace que représente les canons antichar, or, pour des raisons de poids, le blindage du M2 a été considérablement limité, le rendant particulièrement vulnérable au 3,7-cm PaK 36 allemand. Une nouvelle version, dite « T5 phase III », avec un blindage plus épais et un nouveau moteur commence donc à être développée à l’automne 1938, puis entre en production à l’été 1939 sous le nom de M2A1. Parallèlement, le canon de 37mm étant considéré inutile pour du support d’infanterie, une nouvelle version est mise à l’étude. Le T5E2, se voit ainsi doter d’un obusier de 75mm installé dans une casemate décentrée, la tourelle étant convertie en observatoire pour le pointage de l’arme.
Le succès des Panzer III et IV au cours de la campagne de France incite cependant l'armée des États-Unis à repenser sa conception de l’usage des chars, mais lui fait surtout réaliser que le M2A1 est trop légèrement armé et blindé. Les caractéristiques requises pour un nouveau char sont élaborées entre juin et juillet 1940, mais aucune des solutions proposées, qui incorporent toutes un canon de 75mm en casemate ne convient au général Adna Chaffee, chef de la nouvelle Armored Force, qui exige que le canon soit disposé en tourelle. Le bureau de l’ordonnance se déclarant incapable de fournir en un temps bref un tel véhicule, Chaffee se voit proposer en attendant une adaptation du T5E2, qu’il est contraint d’accepter, bien qu’il la considère comme peu satisfaisante. Le développement du M3 commence ainsi en septembre 1940, le premier prototype sortant du bureau d’étude en mars 1941.
Parallèlement, les Britanniques, qui ont perdu la majeure partie de leurs blindés lors de la bataille de France, se rapprochent des États-Unis pour y faire produire leurs chars. Les Américains refusent la demande, ne souhaitant pas produire des véhicules étrangers dans leurs usines, mais proposent le M3 à la place. Celui-ci n’enthousiasme guère les officiers de Sa Majesté, mais, comme Chaffee auparavant, ils sont contraints d’accepter, en négociant toutefois des modifications, notamment une tourelle modifiée pour pouvoir y installer une radio.
La première commande du M3 est faite avant même que ne soit créé le char : l’US Army avait commandé, le 15 août 1942, 1'000 M2A1 au Detroit Tank Arsenal de Chrysler, mais, s’étant très rapidement rendu compte que ce véhicule était obsolète, la commande est modifié en 1'000 M3 dès le 28 août. Plus tard dans l’année, le gouvernement américain passe une commande pour 2'220 exemplaires à l’American Locomotive Company (ALCO) et d’autres sont également commandés à la Baldwin Locomotive Works ainsi qu’à la Lima Locomotive Company.
Après la signature des accords de prêt-bail en mars 1941, les États-Unis prennent à leur compte les commandes de la version Grant à destination du Royaume-Uni, qui sont passées auprès de Baldwin Locomotive Works, Pressed Steel Car Company et Pullmann-Standard Car Manufacturing Company pour un total de 2'085 exemplaires. Parallèlement, un projet vise à convertir l’usine de la Montreal Locomotive Works, une filiale d’ALCO basée au Canada, pour qu’elle produise également des M3. Toutefois, les Britanniques préfèrent au final utiliser cette usine pour construire leur propre variante, le M3 Cruiser Tank, plus tard appelée Ram, plus proche du futur M4.
Parallèlement, les Britanniques, qui ont perdu la majeure partie de leurs blindés lors de la bataille de France, se rapprochent des États-Unis pour y faire produire leurs chars. Les Américains refusent la demande, ne souhaitant pas produire des véhicules étrangers dans leurs usines, mais proposent le M3 à la place. Celui-ci n’enthousiasme guère les officiers de Sa Majesté, mais, comme Chaffee auparavant, ils sont contraints d’accepter, en négociant toutefois des modifications, notamment une tourelle modifiée pour pouvoir y installer une radio.
Toutes versions confondues, le M3 a été produit à 6'258 exemplaires, la majeure partie étant constituée de M3 Lee ou Grant de base, avec 4'924 véhicules. De même, plus de la moitié du total des chars produits l’ont été par le Detroit Tank Arsenal, les autres entreprises se partageant le reste.
Les M3, M3A1 et M3A2 disposent d’un moteur en étoile à 9 cylindres Continental R-975-EC1 ou EC231. L’emploi de ce moteur était toutefois problématique, dans le sens où il était également utilisé par l’aviation, conduisant à des pénuries fréquentes. Un premier essai pour le remplacer par un moteur Diesel est réalisé sur le M3A1, mais la tentative est abandonnée après seulement 28 véhicules, le moteur Guiberson T-14090-2 se révélant peu fiable. Un autre essai, cette fois couronné de succès, a lieu en mars 1942, le moteur choisi étant cette fois un General Motors Model 6046, constitué de 2 moteurs de bus assemblés. Cette disposition donne naissance à 2 versions : le M3A3, lorsque ce moteur est installé sur une caisse soudée, et M3A5 lorsqu’il est installé sur une caisse rivetée. De son côté, le M3A4, entré en production en juin 1942 est doté d’un moteur Chrysler A57, constitué de 5 moteurs de bus assemblés en étoile et développant 425hp.
Le train de roulement est composé de 3 boggies comptant 2 petites roues de route, amorties par des ressorts à volutes, et une roue de retour dans la partie supérieure. Les chenilles mesurent 46cm de large et comptent 158 maillons, sauf sur le M3A4, sur lequel elles sont plus longues avec 166 maillons.
Le M3 a été assemblé selon différentes techniques selon les versions : les M3, M3A4 et M3A5 sont construits à base de plaques d’acier rivetées et les M3A2 et M3A3 de plaques soudées, tandis que la coque du M3A1 est coulée d’une seule pièce. Les véhicules à coque rivetée étaient par conséquent les plus fréquents, mais présentaient un inconvénient de taille : lors de l’impact de projectiles sur le blindage, la face intérieure des rivets avaient tendance à sauter, se transformant en éclats dangereux pour l’équipage.
En dehors de ce défaut, le blindage était correct en comparaison avec la plupart des blindés rencontrés au début de la campagne d’Afrique du Nord ou dans le Pacifique. Malgré un blindage latéral assez faible, l’avant était bien protégé, l’épaisseur étant équivalente à 11,11cm en prenant en compte l’inclinaison du glacis, suffisant pour protéger des petits canons antichars allemands. La faiblesse majeure du M3 venait de sa propension à prendre feu et à exploser lorsqu’il était pénétré par un projectile. Cette vulnérabilité était liée à l’abondance de munitions stockées sans protection particulière partout dans le compartiment de combat, ainsi qu’à la minceur du blindage supposé protéger le moteur et les réservoirs de carburant.
L’armement principal du M3 est son canon de 75mm installé dans une casemate décentrée à droite de la caisse. À l’origine, il s’agissait d’un canon M2, une arme d’infanterie n’ayant pas été prévue pour les combats de char et dont les projectiles manquaient donc de vélocité. Afin de corriger ce problème, une version améliorée, le M3, est adoptée le 24 juin 1941. Cette nouvelle arme dispose d’un canon plus long, augmentant donc la vitesse de sortie de bouche des obus et d’un mécanisme de culasse amélioré, celle-ci s’ouvrant tout seule après le tir et se verrouillant automatiquement lorsqu’un nouvel obus y est inséré. Du fait du nombre limité de canons M3 disponibles, le M2 continua toutefois d’être installé sur certains nouveaux véhicules jusqu’à la fin de la production.
Initialement dépourvu de stabilisateur, le M2 en reçoit un permettant la stabilisation sur un axe à partir de novembre 1941. Ce dispositif requiert cependant l’installation d’un contrepoids à l’extrémité du canon pour mieux équilibrer l’arme. Le M3 est stabilisé dès l’origine et n’a pas besoin de contrepoids du fait de la longueur plus importante du tube déportant le point d’équilibre vers l’avant. La monture est la même pour les 2 versions et permet une élévation de +20°, une dépression de -9° et une traverse de 15° de chaque côté de l’axe.
Le M3 est également équipé d’un canon de 37mm disposé dans une tourelle décentrée sur la gauche de la caisse. Ce canon aurait dû être sur tous les véhicules la version M6, adoptée le 14 novembre 1940 et doté d’une culasse automatique, mais les pénuries firent que, là encore, certains exemplaires furent dotés de l’ancien M5, moins performant. De même, le M6 est stabilisé dès l’origine, tandis que l’ajout d’un stabilisateur sur le M5 a nécessité l’addition d’un contrepoids en-dessous du tube. Le pointage en élévation est assuré manuellement entre +60° et -7° tandis que la traverse de la tourelle s’effectue par un système hydraulique, avec un dispositif de secours manuel en cas de panne.
La disposition de l’armement principal se révéla problématique : alors qu’un char classique peut s’abriter derrière une élévation de terrain en laissant juste sa tourelle dépasser, le M3 était obligé de se dévoiler sur les 3/4 de sa hauteur pour pouvoir utiliser son canon de 75mm, le rendant alors particulièrement visible et vulnérable du fait de sa haute stature. Cela contribuait également à rendre le véhicule peu manœuvrant et représentait un danger majeur en cas d’attaque par les flancs, le char devant pivoter pour affronter la menace, ou lors d’un repli, le canon principal ne pouvant pas être utilisé, sauf à faire marche arrière à l’aveugle.
Les combats de 1942 mettent en évidence que l’armée américaine manque d’un véhicule permettant de récupérer les chars endommagés sur le champs de bataille. Un programme de conversion est lancé en septembre 1942, étant donné que les M3 sont en cours de remplacement et qu’un important stock de ceux-ci est donc disponible. D’abord appelé T2 TRV, pour Tank Recovery Vehicle, il reçoit à partir d’août 1943 différentes désignations selon le châssis : M31 pour les véhicules construits à partir du M3 de base, M31B1 pour ceux utilisant le M3A3 et M31B2 pour ceux dotés du châssis du M3A5. la conversion commence chez Baldwin en octobre 1942 et la demande est tellement élevé qu’après avoir convertis 659 anciens chars, l’entreprise doit produire 150 châssis neufs pour y répondre. Le M31 voit le canon de 37mm remplacé par une grue dotée d’un treuil de 30t. Afin de disposer de meilleures performances, le canon de 75mm est retiré, mais un faux canon est installé à la place afin de ne pas montrer que le véhicule est inoffensif et ainsi dissuader un éventuel assaillant.
L’armée américain conduit également des essais à partir de 1943 pour convertir des M3 en véhicule de déminage. Ces tests aboutirent T1E1 Earthworm, un dispositif constitué de rouleaux se montant à l’avant du char. Quelques chars furent équipés et prirent le nom de M32, mais le concept se révéla peu efficace et les troupes sur le terrain eurent plutôt recours à des solutions improvisées utilisant des explosifs pour dégager un chemin à travers les champs de mines.
Les Britanniques procédèrent également de leur côté à des conversions en véhicule de dépannage, en retirant la tourelle pour la remplacer par un treuil, ce véhicule étant alors appelé Grant ARV I, même lorsque le châssis d’origine est celui d’un Lee. Le M31 a lui aussi été employé par l’armée britannique sous le nom de Grant ARV II41. Le déminage n’est pas en reste, avec le Grant Scoprion III, un M3 doté d’un fléau à l’avant, qui a servi à la fin de la campagne d’Afrique du Nord et au début de celle d’Italie, avant d’être remplacé par des dispositifs équivalents montés sur le M4.
L’armée américaine commence à développer en octobre 1941 un obusier sur châssis de char de M3, dans le but de mécaniser l’artillerie destinée aux divisions blindées. 2 véhicules d’essais, nommés T32 105mm HMC, débutent leurs essais en février 1942 et, après quelques modifications mineures, comme l’ajout d’une mitrailleuse M2, l’engin est accepté pour le service en avril 1942. Véhicule d’artillerie autopropulsée le plus employé par les États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, le châssis du M7 est peu à peu modifié en cours de production pour se rapprocher de celui du M4, faisant du M7 une variante à la fois du M3 et du M4.
Avant le M7, le développement d’un autre engin de ce type avait débuté en juin 1941 en utilisant une pièce plus lourde, le canon de 155mm GPF français de la Première Guerre mondiale. Nommé T6 155mm GMC, le prototype débute ses essais en février 1942 et entre en production en septembre à la Pressed Steel Car Company, sous le nom de M12. En complément, un transporteur de munitions, le M30, est également développé sur la base du M3. Étant donné le peu de canons de ce type disponibles et le manque d’intérêt exprimé par les différentes branches de l’armée, la production est arrêté en mars 1943. Les forces d’artillerie s’y intéressent finalement en décembre 1943 en prévision du débarquement en France et une partie des véhicules produits est modernisée par Baldwin, rapprochant le châssis de celui du M4.
Une tentative de réaliser un chasseur de chars sur la base du châssis du M3 est lancée en septembre 1941. Nommé T24 3-inch GMC et composé du canon antiaérien M1918 de 3 pouces monté au centre du châssis, le prototype commence ses essais en novembre. Ceux-ci amènent à monter le canon différemment pour abaisser le centre de gravité et le 2e véhicule d’essai, nommé T40, est accepté pour le service en mai 1942 sous la désignation M9 3-in GMC. Il n’entrera toutefois jamais en production du fait du manque de canons de ce type et de l’arrivée entretemps du M10, à la conception bien plus pratique. Les essais pour réaliser un véhicule antiaérien sur la base du M3 n’ont pas plus de succès, le T26 75mm GMC échouant du fait des mauvaises performances de son canon et le T36 40mm GMC en raison des difficultés dans le développement des optiques de visée.
De leur côté, les Britanniques commencèrent le développement d’un véhicule proche du M7, mais utilisant leur canon de 25-pdr. L’avancée des Canadiens dans la mise au point d’un véhicule similaire sur la base du châssis du Ram, le Sexton, mis cependant fin à ce projet. En 1949, les Australiens produisirent une quasi-copie du Sexton en utilisant des châssis de Grant III. Ce véhicule, appelé Yaramba, fut produit à seulement 13 exemplaires et ne resta en service que quelques années avant d’être retiré du service en 1956.
Tableau récapitulatif des dimensions par version
Tableau récapitulatif des caractéristiques motrices par version
Tableau récapitulatif du blindage par version
Tableau récapitulatif des caractéristiques des canons
Tableau récapitulatif des pays utilisateurs
Il s'agit d'un kit de montage de maquettes en plastique à l'échelle 1/35.
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