Le Panzerkampfwagen VI ou Sd.Kfz. 182 Panzer VI Ausf. B Tiger II, surnommé de façons non officieuse Königstiger (« tigre royal », nom allemand du tigre du Bengale), est un char d'assaut allemand de la Seconde Guerre mondiale.
Produit à 50 exemplaires pour le modèle à tourelle « première version » et à 439 exemplaires pour le modèle à tourelle « de production », ce char était pourvu d'un important blindage ainsi que d'un puissant canon, lui donnant la possibilité de mettre hors de combat tous les chars alliés en service lors des 2 dernières années du conflit.
Cependant, il accusait en ordre de combat une masse de 70 tonnes tout en étant équipé du même moteur que le char Panther qui lui ne pesait que 45 tonnes, son rapport poids-puissance était donc moindre : il était lent et peu mobile, ne pouvait passer tous les ponts, était extrêmement gourmand en carburant (500l / 100km en route et 700l / 100km en tout terrain) et devait changer de chenilles avant et après tout transport par rail.
Par la volonté d'Hitler, il fut surtout construit pour contrer le terrible IS-2 de l'Armée rouge (URSS).
L'étude du blindé Tigre II commença dès le mois de mai 1941, 1 an avant l'entrée en production du Tigre I. Dès fin 1942, le projet dériva vers une étude plus précise : un char lourd qui puisse succéder au Tigre.
En janvier 1943, Hitler, après lecture du cahier des charges, imposa pour le nouveau char un canon de 88mm à haute vélocité, un blindage frontal de 150mm et un blindage latéral de 80mm. À la lumière de l'expérience du tout nouveau char moyen-lourd Panther, il fut décidé que le blindage serait incliné et conçu de manière à ne présenter qu'une coquille de métal d'un seul tenant par élément (châssis et tourelle).
Comme pour le Tigre I, Henschel et Porsche se lancèrent sur le projet. Porsche étudia 2 modèles, l'un avec une tourelle centrale et l'autre, avec une tourelle très en arrière sur le châssis (comme le char israélien Merkava à la fin des années 1970) respectivement appelé VK 45.02 A et B.
Mais, comme pour le Tigre, le concept de transmission et de châssis était trop avancé pour les techniques de l'époque, aussi ce fut le modèle d'Henschel, plus conventionnel, mais beaucoup plus moderne que le Tigre, qui emporta le marché, notamment parce qu'il permettait de réduire les coûts en présentant un certain nombre d'éléments utilisés aussi sur le char Panther. 1'500 furent commandés, seulement 489 furent construits, notamment à cause de la destruction par les bombes américaines de l'usine Henschel de Cassel.
Au départ, les 50 premiers exemplaires furent munis de la première version de la tourelle, mais une tourelle spécifique fut redessinée, acceptant plus de munitions, et surtout corrigeant un défaut de la précédente. En effet, à l'origine, le mantelet du canon, semblable à celui des premières tourelles de Panther, c'est-à-dire en demi-cylindre horizontal, risquait de provoquer la destruction du char au cas où un obus touchait de plein fouet la partie inférieure de ce mantelet, obus qui, par ricochet, pénètrerait ainsi les œuvres vives du char, par le toit du poste de pilotage faiblement blindé. La nouvelle tourelle comportait un mantelet « en groin de cochon », évitant ce problème. Mais ceci eut pour inconvénient d'alourdir le char déjà énorme, qui passait au changement de tourelle de 68,5 à 69,8 tonnes, c'est-à-dire plus lourd qu'un char moderne de type Leclerc.
Pour déplacer une telle masse de métal, le plus puissant moteur de char de l'époque lui-même se montrait un peu faible : le Maybach HL 230 P30 12 cylindres de 700ch, parfait pour le Panther de 43 tonnes, supportait mal les 27 tonnes supplémentaires. Pour contrecarrer ce problème, les ingénieurs lui accouplèrent une boîte de vitesses très complexe, avec 8 rapports avant et 4 rapports arrière, afin de démultiplier les efforts et de permettre au titan de se déplacer convenablement.
Ils mirent aussi au point un différentiel de chenille permettant au char de tourner sur place, caractéristique encore rare à l'époque, mais très utile pour compenser la relative lenteur de la tourelle et l'exposition du blindage avant en cas de danger repéré à temps. Les ingénieurs mirent au point un système de train de roulement permettant d'éviter, à l'inverse du Tigre I, que les chenilles ne s'enrayent avec la boue, la glace et les rochers. Ce système s'avéra cependant à l'usage plus délicat à entretenir.
Pour en terminer avec le train de roulement, comme pour le Tigre I, 2 jeux de chenilles étaient prévus : une paire de 660mm pour le transport sur rail, et une paire de 800mm pour le combat. Ces chenilles larges permettaient au char d'avoir une bonne tenue en terrain instable, comme la boue, malgré son poids énorme, générant une pression au sol assez faible. Ceci ne changeait en revanche pas grand-chose au fait que le char était trop lourd pour la majorité des ponts de l'époque, ce qui réduisait de beaucoup sa mobilité tactique.
Mais, avec un ratio de seulement 10 chevaux à la tonne, le char souffrait d'un cruel manque de mobilité, et d'une consommation énorme. Sa vitesse plafonnait à 38km/h sur route, et moins de 20km/h en tout terrain, et sa consommation de 500l aux 100km ne lui permettait qu'une faible autonomie de 170km sur route d'autant plus handicapante que le Reich manquait de carburant. De plus, les efforts sur la transmission dus au poids du mastodonte, ainsi que la fragilité de la trop complexe boîte de vitesses, contraignirent ces chars à connaître de nombreuses pannes. Ils nécessitaient une maintenance constante pour fonctionner convenablement.
Il était armé d'un canon de 88mm de 71 calibres de longueur (KwK 43 L/71, fût de 6,30 mètres), comparé aux 88mm 56 calibres du Tigre I (KwK 36 L/56). La portée effective de ce canon était de 10 kilomètres. Il pouvait percer le blindage frontal d'un char T-34/85, d'un Sherman M4 A1 ou d'un Cromwell à 3,50km, au-delà même de la portée des canons de ces chars. L'optique de visée du canon était elle aussi à la hauteur de ces extraordinaires caractéristiques balistiques. À titre indicatif, le canon du Königstiger perforait entre 132 et 153mm de blindage incliné à 30° à 2'000m de distance.
Le Tigre II embarquait plusieurs types de munitions. La Panzergranatpatrone (PzGrPatr) 39/43 était une munition anti-char de conception classique pour l’époque, composée d’une charge explosive et d’une pointe dure, l’idée étant que l’obus pénètre le blindage et explose à l’intérieur du blindé ennemi ; il était également possible d’employer la PzGr 39-1, une munition de même type, mais plus ancienne, sous réserve que le canon ait tiré moins de 500 coups. La PzGrPatr 40/43 était une munition antichar spéciale, sans charge explosive, mais avec un cœur en tungstène, destinée à percer les blindages les plus épais. Cependant, en raison de la pénurie de tungstène touchant l’Allemagne, ces munitions était strictement rationnées et ne devaient être utilisées qu’en cas d’urgence ; pour cette même raison, vers la fin de la guerre, le tungstène a parfois été remplacé par de l’acier ou même du fer, les différents types furent alors distingués par le suffixe HK (Hartkernor) pour le tungstène, S (Stahlkern) pour l’acier et W (Weicheisen) pour le fer. La Gr Patr 39/43 HI était un obus antichar à charge creuse. Enfin la Sprenggranatpatrone 43 était un obus explosif classique destiné à être utilisé contre les véhicules légers, l’infanterie et les bâtiments ; la fusée pouvait être réglée pour exploser à retardement ou à l’impact, mais dans ce dernier cas, l’équipage devait être vigilant quant à la présence d’obstacles légers sur la trajectoire, surtout à proximité de la bouche, la fusée étant suffisamment sensible pour être déclenchée par des branches d’arbre.
Le nombre maximum d’obus pouvant être embarqués à bord était de 80 avec la première version de la tourelle et 86 avec la seconde version, le manuel recommandant de répartir le stock équitablement entre Sprgr. 43 et PzGrPatr. 39/43 et obus antichar. La Gr Patr 39/43 HI et la PzGrPatr 40/43 ayant été produites en très faibles quantités, moins de 10'000 exemplaires chacune, les Tigre II n’en emportait pas systématiquement, et seulement en petit nombre lorsque c’était le cas.
La protection du Tigre II reposait sur un blindage homogène laminé de grande épaisseur. Celle-ci représentait un défi technique, dans le sens où plus l’épaisseur d’une plaque d’acier est importante, plus il est difficile d’en assurer l’homogénéité de la structure interne du métal, or cette homogénéité influe considérablement sur la résistance du blindage et sa capacité à ne pas se fracturer lors de l’impact de projectiles. À cette fin, les Allemands ajoutèrent du chrome et du molybdène, mais le bombardement systématique des usines par les alliés ne permettait pas toujours de réaliser le long processus de forgeage du métal dans de bonnes conditions et certaines plaques étaient de moins bonne qualité. Ces plaques avaient en particulier tendance à se fragmenter lors de l’impact d’un projectile, c’est-à-dire que même en l’absence de pénétration des fragments de métal se détachaient de la paroi intérieure et étaient projetés à haute vitesse à travers l’habitacle, blessant ou tuant l’équipage. Par ailleurs, vers la fin de la guerre, les Allemands, confrontés à la pénurie de certains métaux, durent substituer le molybdène par du vanadium.
Tigre II tourelle « première version » :
Tigre II tourelle « de production » :
Seules quelques armes de l'époque pouvaient percer ce type de blindage, et seulement à très courte portée. Les Sherman Firefly, Comet, M26 Pershing, T-34/85, SU-100 et IS-2 pouvaient être de dangereux adversaires, surtout s'ils réussissaient à le contourner par les flancs ou l'arrière.
Un témoignage d'un chef de char de la 2e DB US, en 1945, ne laisse pas de zone d'ombre sur la considération des alliés pour ce char :
« Un jour, un Tigre Royal me repéra à 150 mètres et mit mon char hors de combat. 5 de nos tanks ont ouvert le feu sur lui, de 200 à 600 yards (180 à 540 mètres). 6 obus touchèrent le Tigre de face et firent ricochet sur sa cuirasse. L'engin recula et disparut dans la forêt. Si nous avions eu des chars comme ceux-là, nous serions tous rentrés chez nous aujourd'hui. »
Ce char ne fut pas non plus endivisionné, à l'instar de son prédécesseur, et remplaça le Tigre I dans les schwere Panzer Abteilungen, ou bataillons de chars lourds. 150 d'entre eux furent confiés à des unités de Waffen-SS, tous les autres furent affectés à la Wehrmacht. Ils arrivèrent sur le front en février 1944.
Ses premiers engagements eurent lieu autour de Minsk en mai 1944. Leur action fut cependant restreinte, surtout sur le front Ouest, à cause des restrictions en carburant, des problèmes techniques, pannes, et surtout à cause de la redoutable aviation d'attaque au sol (Jabo, de l'allemand « Jagdbomber », chasseur-bombardier) des alliés.
Lors de la bataille de Normandie, certains Königstiger furent même engagés par des croiseurs. Le dernier char de la guerre à être détruit fut aussi un Tigre Royal, saboté par son équipage à la suite d'un problème mécanique, le 10 mai 1945, en Autriche.
Le dernier de ces chars à être maintenu en état de marche est exposé au musée des blindés de Saumur. Certaines années, il est possible de le voir en démonstration, dans un tableau historique mis en scène et interprété par les Cadets de l'École de Cavalerie de Saumur, lors du Triomphe de l'école qui a lieu annuellement au début de l'été. Une présentation dynamique de ce blindé a été faite les 30 et 31 mai 2009 devant ce musée. On peut aussi le voir rouler certaines années au Militracks.
Aujourd'hui, on peut voir ce char :
1944 L'ENFER DES TIGRES - #01 L'OPÉRATION IMPOSSIBLE par Bunker Memory | 1944 L'ENFER DES TIGRES - #02 LES SECRETS DU TIGRE 213 par Bunker Memory |
1944 L'ENFER DES TIGRES - #03 LA PUISSANCE DU TIGRE 2 par Bunker Memory | Tigre II Musée des Blindés Saumur par Musée des Blindés Saumur |
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Thousand Yard Stare (2018) de Aaron Kurmey
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger 1942
De retour chez lui après avoir combattu en Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale, un soldat atteint du SSPT a de plus en plus de mal à réintégrer la vie de famille alors qu'il revit la bataille du col de Kasserine.
Fury (2014) de David Ayer
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger 1943
Avril 1945. Pendant la dernière phase d'invasion des alliés en sol européen, un sergent endurci surnommé « Wardaddy » se retrouve à la tête d'un équipage de tank Sherman composé de 5 hommes, chargé d'une périlleuse mission derrière les lignes ennemies. Moins nombreux et moins armés que l'adversaire, en plus de compter une recrue parmi eux, « Wardaddy » et ses hommes devront composer avec l'impossible pour réussir leur attaque au coeur de l'Allemagne nazie.
The 25th Reich (2012) de Stephen Amis
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II
En 1943, cinq soldats américains sont recrutés par l'OSS pour une mission de voyage dans le temps visant à sauver le monde de la tyrannie du 25e Reich hitlérien.
Heil (2015) de Dietrich Brüggemann
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II
Un auteur afro-allemand perd la mémoire et est utilisé par un parti national-socialiste moderne comme figure de promotion pour plus de pouvoir politique sur l'Allemagne.
Les Derniers Jours de Mussolini (1974) (Mussolini: Ultimo atto) de Carlo Lizzani
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II 1944
Milan, 25 avril 1945, la République Sociale Italienne de Benito Mussolini est déliquescente. Condamné à mort par la Résistance, le Duce se rend à l’archevéché de Milan où le cardinal Ildefonso Schuster tente de limiter les représailles et les affrontements. Il parlemente avec le Comité de Libération Nationale du Nord Italie pour une reddition de Mussolini avec la vie sauve comme préalable. Mais Mussolini hésite à se rendre à ses ennemis les plus acharnés. Quand les allemands qui ont négocié un repli avec les alliés interviennent disant à Schuster qu’il n’est plus utile et que Mussolini les suit dans leur retraite…
Le caporal épinglé (1962) de Jean Renoir
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger
En 1940, un spécialiste de l'évasion se retrouve dans un camp disciplinaire dont il va bien entendu tenter de s'échapper. Il est accompagné dans son entreprise par deux autres prisonniers. Il leur faudra de multiples tentatives pour parvenir à leur fins.
Raumschiff Gamestar (1997-2004) de GameStar
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger Sd.Kfz.181 dans l'épisode 41.
GameStar est un magazine mensuel publié en Allemagne consacré au jeu vidéo sur ordinateur personnel et compatible PC. Gamestar est le magazine de langue allemande le plus vendu dans le domaine des jeux sur PC et il héberge également le plus grand portail de jeux vidéo sur Internet en langue allemande.
Toni Schwaiger était le studio de cinéma individuel de PC Player pour les clips vidéo divertissants qu'on pouvait trouver sur le CD du magazine. Dans ces vidéos, les monteurs jouaient principalement des rôles humoristiques. Cette idée a été intégrée à GameStar, de sorte qu'un nouvel épisode de Raumschiff GameStar puisse être trouvé chaque mois sur le CD qui l'accompagne.
Pendant longtemps, la série culte Raumschiff GameStar était un gadget particulier. Presque chaque mois, il y avait un épisode de la série produit par les éditeurs du magazine sur le CD/DVD fourni avec le magazine. Outre les développements actuels sur le marché des jeux et du multimédia, la série parodiait principalement les thèmes de science-fiction de Star Wars et Star Trek. À l'été 2004, Raumschiff GameStar a été abandonné et remplacé par la nouvelle série The Editorial Team. Le producteur de chaque film était Toni Schwaiger, qui avait auparavant produit un format similaire pour PC Player, les lettres multimédias à l'éditeur. En 2001 et 2005, les épisodes de Raumschiff GameStar filmés jusque-là ont été publiés sous forme collectée sur DVD et distribués via le magazine.
Vangeliya (2013) de Sergei Borchukov
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'épisode 8.
1996 Russie. Une délégation subventionnée par le gouvernement se rend en Bulgarie pour rencontrer le prophète et merveille contemporaine Vanga. Une équipe de télévision se joint aux délégués dans l'espoir d'interviewer cette femme extraordinaire. Parmi le groupe, Vanga distingue une stagiaire, Alisa, qui témoignera de la confession déchirante de Vanga. Au fur et à mesure que le récit de la femme se déroule lentement, nous découvrons un amour perdu au milieu de la guerre, de nombreuses difficultés pendant la période d'après-guerre et apprenons le secret du passé mystérieux de Vanga. Les événements s'entremêleront avec des personnages clés de l'histoire de l'humanité : Adolf Hitler, Joseph Staline, Youri Gagarine. Vanga tisse l'histoire dans un réseau complexe d'événements interconnectés qui spiralent vers un passé fixe, le présent immédiat mais un avenir ouvert à ceux qui veulent le voir.
X Company (2015-2017) de Mark Ellis et Stephanie Morgenstern
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'épisode 9 de la saison 2 (Jour J (Butcher and Bolt)).
Située dans l'excitant et dangereux monde de l'espionnage lors de la Seconde Guerre mondiale, elle suit les aventures de 5 jeunes et talentueux espions canadiens, américains et français qui furent arrachés à leur vie ordinaire pour suivre un entraînement dans un centre ultra secret sur les berges du Lac Ontario.
Frères d'armes (2001) (Band of Brothers) de Tom Hanks et Steven Spielberg
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger Ausf.E Replica Sd.Kfz.181 sur châssis T-34 dans l'épisode 6 de la saison 1 (Bastogne (Bastogne)).
Vivez la Seconde Guerre Mondiale aux côtés de la Easy Company, un groupe de soldats américains. Suivez-les en tant que groupe, ou individuellement, depuis leur formation en 1942, jusqu'à la libération de l'Allemagne Nazie en 1945, en passant par leur parachutage en Normandie le 6 juin 1944.
Dolgaya doroga v dyunakh (1982) de Aloizs Brencs
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'épisode 5 de la saison 1 (Pyataya seriya).
L'histoire d'amour du fils du pêcheur Artur et de la fille du propriétaire Marta, qui remonte aux années 1930, à la Seconde Guerre mondiale et jusqu'à l'après-guerre. Le chemin de vie long et cruel pour tous 2 jusqu'à ce qu'ils se retrouvent dans la patrie.
A zori zdes tikhie (2005) de Weining Mao
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'épisode 10 de la saison 1.
Le sergent Vaskov (Sokolov) est stationné dans un poste d'artillerie éloigné en Russie pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est en charge de 6 femmes recrutées pour une formation militaire. Soudain, leur position est encerclée par 16 parachutistes nazis. Six femmes se tiennent aux côtés de leur homme et mènent un combat inégal.
Alerte Cobra (1996-2023) (Alarm für Cobra 11 - Die Autobahnpolizei) de Claude Cueni
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger 1942 dans l'épisode 7 de la saison 37 (Cruelle désillusion (Wo ist Semir?)).
La brigade autoroutière (section fictive de la police autoroutière allemande Autobahnpolizei) de Berlin (pour les 4 premières saisons) et Cologne/Düsseldorf (depuis la saison 5), est chargée de la sécurité et de faire respecter la loi sur les autoroutes allemandes.
Combat ! (1962-1967) (Combat!) de Robert Altman et Robert Pirosh
avec dans les rôles principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger 1942 dans l'épisode 4 de la saison 3 (Point de vue (Point of View)).
Cette série met en scène la vie quotidienne, du débarquement à Omaha Beach le 6 juin 1944 jusqu'à la libération, des hommes de la King Company, une section d'infanterie de l'armée américaine.
Girls und Panzer der Film (2015)
(Girls und Panzer the Movie, ガールズ&パンツァー 劇場版, Gāruzu ando Pantsā Gekijōban)
de Tsutomu Mizushima
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II
Après, le 63e tournoi de sensha-dō, le ministère de l'Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie décide de déclasser le lycée Ōarai. Les élèves doivent participer à un nouveau match pour convaincre le ministère de revenir sur sa position.
Girls und Panzer (2012-2013) (ガールズ&パンツァー, Gāruzu ando Pantsā)
de Tsutomu Mizushima
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II dans l'épisode 10 (She's a Classmate! (クラスメイトです!, Kurasumeito desu!))
Dans un monde où le « Sensha-do », l'art militaire de la conduite de tank est naturel, Nishizumi Miho est une lycéenne maladroite qui cherche par-dessus tout à fuir cette discipline dont sa famille s'est illustrée auparavant.
What If...? (2021-présent) de A. C. Bradley
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger Ausf. E 1942 dans l'épisode 1 de la saison 1 (Et si... Captain Carter était devenue le premier Avenger ? (What If... Captain Carter Were The First Avenger?))
Uatu le Gardien observe des continuités alternatives de la Terre, où les événements ne se sont pas déroulés exactement de la même façon que dans la réalité présentée jusqu'alors dans l'univers cinématographique Marvel.
Edgar, le détective cambrioleur (1977-1980) (ルパン三世, Rupan Sansei)
de 8 réalisateurs dont Kyousuke Mikuriya et Hayao Miyazaki (sous le pseudo Tsutomu Teruki)
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger II dans l'épisode 20 de la saison 2.
La série est centrée sur les aventures d'Arsène Lupin III, le petit-fils d'Arsène Lupin. Il est rejoint par Daisuke Jigen, l'allié le plus proche de Lupin (baptisé dans la série Isidore); Fujiko Mine (Magali en VF), la femme fatale du groupe et l'intérêt amoureux de Lupin qui travaille plus contre ce dernier qu'avec lui, et Goemon Ishikawa XIII, un épéiste maître et le descendant d'Ishikawa Goemon, le légendaire voleur japonais. Lupin est souvent poursuivi par l'inspecteur Koichi Zenigata (ici renommé Gaston Lacogne), un détective plutôt cynique dont le but dans sa vie est de capturer Lupin.
Looney Tunes Show (2011-2014) (The Looney Tunes Show) de Aaron Simpson
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'épisode 10 de la saison 1 (La foire aux célibataires (Eligible Bachelors)).
Chaque épisode est constitué en général de 3 parties :
Les 2 vedettes du dessin animé principal, Bugs Bunny et Daffy Duck, vivent ensemble dans une maison dans la banlieue de Los Angeles (Californie), entourés de leurs amis.
+Tic Elder Sister (2011-2012) (+プラスチック姉さん, Purasu Chikku nē-san) dessinée par Cha Kurii
les personnages principaux :
un Henschel Pz.Kpfw.VI Tiger dans l'intro des épisodes.
L'histoire de +Tic Nee San (prononcez plus-tique Neesan) est centrée autour de 3 étudiantes : Iroe Genma, Makina Sakamaki et Okamoto Hazuki. Chaque épisode débute par une scène simple, puis de fil en aiguille la scène dégénère jusqu'à devenir surréaliste. Les différents épisodes de l'anime n'ont pas ou peu de lien scénaristique.
Call of Duty: World At War (2008)
Développé par Treyarch, n-Space (DS), Glu Mobile (mobile), Exakt Entertainment (Wii)
Edité par Activision
Réalisé par Corky Lehmkuhl
un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger II Ausf. B
Call of Duty: Black Ops Cold War (2020)
Développé par Treyarch, Raven Software
Edité par Activision
Réalisé par Dan Vondrak
un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger II Ausf. B 1943
Deadly Dozen Reloaded (2022)
Développé par nFusion Interactive
Edité par Infogrames (original), Ziggurat Interactive (Reloaded)
un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger II Ausf. B 1944
World of Tanks (2011)
Développé par Wargaming Minsk, Wargaming Chicago-Baltimore (consoles)
Edité par Wargaming.net
un Krupp Pz.Kpfw. VIB Tiger II : le joueur peut contrôler le « King Tiger (Captured) » un premium de rang 7 et le « Tiger II » un char standard de rang 8.
World of Tanks: Blitz (2014)
Développé par Wargaming Minsk, Wargaming Chicago-Baltimore (consoles)
Edité par Wargaming.net
un Krupp Pz.Kpfw. VI B
Age of World Wars (2019) de Zero Touch group
un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger II 1944
Medal of Honor : Débarquement allié (2015) (Medal of Honor: Allied Assault)
Développé par 2015 Inc
Edité par Electronic Arts
un Henschel Pz.Kpfw. Tiger Ausf. B : Le Tigre Royal apparaît dans Medal of Honor : Débarquement allié où tout un segment de la campagne consiste à trouver le char, le voler, et s'en servir pour sécuriser un pont.
Day of Defeat (2003)
Développé par des bénévoles jusqu'à sa version beta 3.1, puis par Valve en version 1.0
Edité par Activision
un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger Ausf. E : il est l'objectif à détruire lors d'une mission.
War Thunder (2016)
Développé et édité par Gaijin Entertainment
Réalisé par Pavel Kulikov (designer en chef)
un 1943 Henschel Pz.Kpfw. Tiger Ausf. B (H) : le char est disponible sous 4 versions (première version (tourelle Porsche), tourelle de production (Henschel), un prototype équipé du moteur diesel Sla.16, plus puissant de 750ch, les flancs de la tourelle protégés par des plaques de chenilles supplémentaires, et un projet papier, l'équipant du canon de 10,50cm KwK L/68 sous une tourelle Henschel modifiée pour y accueillir un télémètre et équipé d'un moteur de 900ch. Ce dernier n'est plus disponible en jeu depuis son retrait lors de la mise à jour 1.91 Night Vision, sauf pour les joueurs qui l'ont obtenu ou commencé à le rechercher avant cette mise à jour).
Steel Division: Normandy 44 (2017)
Développé par Eugen Systems
Edité par Paradox Interactive
Réalisé par Alexis Le Dressay
un Henschel Pz.Kpfw. Tiger Ausf. B 1944 : Dans Steel Division: Normandy 44, on peut contrôler à peu près tous les chars du front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale (dont le Tigre II).
Steel Division II (2019)
Développé par Eugen Systems
Edité par Eugen Systems
un Henschel Pz.Kpfw. Tiger Ausf. B 1944 : Dans Steel Division II, on peut contrôler à peu près tous les chars du front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale (dont le Tigre II).
R.U.S.E. (2010)
Développé par Eugen Systems
Edité par Ubisoft
le joueur peut ordonner la production de Tigre II : un Henschel Pz.Kpfw. Tiger Ausf. B et un Henschel Pz.Kpfw. VI Tiger Ausf. H1 1942