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Robocop

Alexander « Alex » Murphy alias RoboCop est un personnage de fiction faisant partie de l'univers de RoboCop. Le personnage apparaît pour la première fois au cinéma dans le film RoboCop de Paul Verhoeven en 1987.

Dans le film original RoboCop de 1987, le personnage est un cyborg construit à partir du corps d'Alex Murphy, un policier de Détroit ayant reçu de graves blessures par armes à feu causées par des criminels. Son appellation officielle est alors OCP Crime Prevention Unit 001.

Biographie du personnage

RoboCop (1987)

En 1987 aux États-Unis, dans un monde futuriste dystopique, 2 officiers du Detroit Police Department, Alex Murphy et Anne Lewis prennent en chasse un groupe de truands dirigé par le criminel Clarence Bodicker. Les policiers localisent les truands dans une usine désaffectée. Ne voulant pas attendre les renforts, ils entrent dans l'usine chacun de leur côté. Anne Lewis est finalement neutralisée par les bandits tandis qu'Alex Murphy se fait tirer dessus par l'équipe de truands. Déchargeant leurs armes sur Alex, ils le laissent pour mort, gravement blessé. Transporté à l'hôpital de Détroit, Alex Murphy meurt quelque temps après du fait de ses blessures. Son dernier souvenir est l'image de sa femme Ellen et de son fils James.

C'est alors que Bob Morton un cadre de la corporation OCP (Omni Consumer Products), un conglomérat industriel qui dirige également la police de Détroit, utilise le corps d'Alex Murphy pour son projet RoboCop (qui cherche à créer le policer du futur) afin de le transformer en cyborg-policier, le « RoboCop ». Au cours du processus de transformation, seules certaines parties organiques du corps de Murphy sont conservées : son cerveau, sa moelle épinière et une partie de son visage ; le reste de son corps est composé d'une carcasse robotique blindée en titane, bardée de circuits électroniques et de divers gadgets.

Après l'assemblage de RoboCop par l'équipe de l'OCP dirigée par Morton, le cyborg est testé puis mis en service, Morton le faisant réintégrer à son ancien poste au commissariat de Détroit. RoboCop lutte alors contre la criminalité qui sévit en ville, et arrête plusieurs criminels grâce à ces méthodes « expéditives » et ses capacités robotiques avancées. Mais, au fur et à mesure, des souvenirs de son ancienne vie, quand il était Alex Murphy, reviennent à la surface, lui rappelant son ancienne famille ainsi que la fusillade où Murphy fut gravement blessé.

Ces souvenirs mènent RoboCop à poursuivre les responsables de la mort d'Alex Murphy. Il commence par arrêter un à un des truands appartenant à la bande de Bodicker. Pendant ce temps, Clarence Bodicker tue Bob Morton, étant sous les ordres de Dick Jones, le vice-président de l'OCP, par ailleurs rival de Bob Morton (ce dernier, avec le succès du projet RoboCop, avait ravi la place de Dick Jones pour son projet concurrent, de robot-policier ED-209). RoboCop intervient ensuite dans une fabrique clandestine de drogue où se trouve Bodicker et ses hommes. Il neutralise tous les truands et arrête Bodicker, qui lui avoue alors travailler pour Dick Jones.

Enregistrant cette conversation comme preuve, RoboCop se rend ensuite au quartier général de l'OCP pour arrêter Dick Jones. Mais, alors qu'il se prépare à l'arrêter, il en est empêché par un système de sécurité intégré à son programme informatique (la directive n°4) qui lui interdit d'appréhender un cadre de l'OCP. RoboCop doit ensuite affronter un robot ED-209 et les policiers que Dick Jones a rameutés contre lui. Il est sauvé de justesse par Anne Lewis qui le récupère et le fait évacuer.

Après s'être réfugié dans une usine désaffectée avec Lewis, RoboCop est traqué par la bande de Bodicker, qui le retrouve grâce à un dispositif-traceur que Dick Jones a confié à Bodicker, lui ordonnant d'éliminer le robot. Lors du combat final, RoboCop parvient à tuer Bodicker alors qu'il était proche de périr.

RoboCop retourne ensuite au quartier général de l'OCP, détruisant un ED-209 qui gardait l'entrée de l'immeuble. Il apporte la preuve de la culpabilité de Dick Jones dans l'assassinat de Bob Morton, mais ce dernier prend en otage le président de l'OCP et cherche à s'enfuir. Le président licencie alors Jones sur le champ, annulant le blocage lié à la directive n°4, permettant à RoboCop d'éliminer Dick Jones.

RoboCop, la série d'animation (1988)

Robocop (RoboCop: The Animated Series) est une série télévisée d'animation et de science-fiction américaine en 12 épisodes de 26 minutes, créée par les studios Marvel d'après le film homonyme et les personnages créés par Edward Neumeier et Michael Miner et diffusée entre le 1e octobre et le 17 décembre 1988 en syndication.

En France, la série a été diffusée à partir du 12 septembre 1990 sur TF1 dans le Club Dorothée puis rediffusée à partir du 12 janvier 1991 dans Youpi ! sur La Cinq. Puis en février 1996 de nouveau sur TF1 dans le Club Dorothée.

Synopsis :
Détroit, dans un avenir proche, l'officier de police Alex Murphy et sa coéquipière Anne Lewis se battent pour débarrasser la ville de la pègre qui y sévit. Après avoir été mortellement blessé en service, l'officier Alex Murphy est équipé par l'OCP d'un corps de robot en titérium à l'épreuve des balles. Doté d'une unité de motricité et de facultés sensorielles informatisées, il est devenu le super-policier, RoboCop !

RoboCop 2 (1990)

Le Nuke, une nouvelle drogue, circule dans les rues de Détroit. Elle est contrôlée par une secte qui a pour gourou Cain.

De son côté, l'OCP tente une OPA sur la ville de Détroit, qui a de plus en plus de mal à se financer. L'OCP a aussi pour projet « RoboCop 2 », un nouveau cyborg. Mais le projet traîne car il nécessite un bon sujet pour la cybernétisation.

RoboCop, toujours flic, essaye de faire face à la situation, au trafic de drogue, à l'OCP et son nouveau projet pour protéger les citoyens de Détroit. Mais ses supérieurs le trouvent obsolète.

RoboCop 3 (1993)

RoboCop 3 est un film américain réalisé par Fred Dekker et sorti en 1993.

Tourné rapidement en 1991, le film est resté sur les tablettes d'Orion Pictures jusqu'en 1993, en raison de problèmes financiers de la compagnie de production.

Synopsis :
L'OCP a été rachetée par une firme japonaise qui veut des résultats. L'OCP souhaite bâtir la ville de Delta City, sur les ruines de Détroit. Pour cela, elle a engagé des agents, nommés Rehabs. Contrairement aux discours officiels, les Rehabs font partir les citoyens de Détroit sans ménagement. Les habitants de Détroit décident de s'opposer aux groupes de Rehabs. Pour lutter face aux insurgés, l'OCP décide de reprogrammer RoboCop.

Développement :
Fred Dekker, réalisateur de plusieurs films d'horreur, est choisi comme réalisateur. Il coécrit le scénario avec Frank Miller. Ce dernier avait été très déçu par l'utilisation de son scénario de RoboCop 2. Il voulait donc replacer certaines de ses idées rejetées par la production pour le 2e film. Mais à nouveau, l'auteur de comics est très déçu par les producteurs et décide de quitter Hollywood et l'industrie cinématographique pendant de nombreuses années, jusqu'à Sin City en 2005. Le studio voulait intialement que Fred Dekker collabore sur le scénario avec son ami Shane Black mais ce dernier travaille déjà sur Le Dernier Samaritain (1991) et Au revoir à jamais (1996).

Choix des acteurs :
Pris par le tournage du Festin nu, Peter Weller ne reprend pas le rôle de RoboCop. De plus, l'acteur avait émis plusieurs critiques sur le 2e film et sur la gêne occasionnée par le costume. Le rôle sera alors proposé notamment à Michael Dudikoff. Robert John Burke est ensuite engagé.

Plusieurs acteurs sont présents depuis le premier RoboCop : Nancy Allen (Lewis), Robert DoQui (Sergent Reed), Felton Perry (Johnson), Mario Machado (Casey Wong) et Angie Bolling (la femme d'Alex Murphy).

Tournage :
Le tournage a débuté en 1991, peu de temps après la fin de celui de RoboCop 2. Alors que des repérages avaient eu lieu à Houston et Dallas, il se déroule principalement à Atlanta dans l'État de Géorgie, notamment dans des bâtiments prévus à la démolition en vue des Jeux olympiques d'été de 1996. Les intérieurs du poste de police sont tournés dans des bureaux de The Coca-Cola Company à Atlanta.

En raison des résultats décevants de RoboCop 2 au box-office, la production bénéficie ici d'un budget réduit. Ainsi, de nombreux accessoires des précédents films et même le costume de RoboCop seront réutilisés. Plus grand que son prédécesseur Peter Weller, Robert John Burke aura beaucoup de mal à s'insérer dans le costume de RoboCop.

Basil Poledouris, compositeur de la musique du 1e film mais absent du 2e, compose la bande originale de RoboCop 3.

Dans ce 3e opus, la directive 4 apparaît dans les fichiers de RoboCop comme « Ne jamais s'opposer à un dirigeant de l'OCP ». Il s'agit de la directive classée Top Secret dans le premier film et qui avait provoqué un dysfonctionnement chez RoboCop quand celui-ci avait voulu appréhender Dick Jones.

RoboCop, la série télévisée (1994)

RoboCop - La Série (RoboCop: The Series) est une série télévisée de science-fiction canadienne en 1 épisode spécial de 90 minutes et 21 épisodes de 45 minutes, créée par Stephen Downing d'après le film homonyme et les personnages créés par Edward Neumeier et Michael Miner et diffusée entre le 18 mars et le 26 novembre 1994 sur le réseau CTV et en syndication aux États-Unis.

En France, elle a été diffusée du 20 octobre 1994 au 12 mars 1995 sur M6.

Synopsis :

Un agent de police ayant été tué pendant le service revient sous les traits cybernétique d'un policier de métal.

Production :
Désireux de rattraper l'échec commercial du 3e film, Orion Pictures propriétaire du personnage, a cédé pour 500'000 dollars, les droits au studio canadien Skyvision Entertainment d'adapter le héros pour le petit écran. Une tâche qui nécessita quelques modifications par rapport à l’œuvre originale (moins de violence notamment). La série se veut familiale, ainsi toutes les tranches d'âges et origines ethniques sont représentées. On découvre donc de nouveaux personnages comme Diana Powers qui deviendra un hologramme contrôlant tout Delta City et amie occasionnelle de RoboCop ; Gadget, une ado orpheline allant de foyer en foyer avant d'être adoptée par le sergent Stanley Parks ou encore Lisa Madigan (personnage alternatif de Anne Lewis dans le film qui partage la même accoutumance pour les chewing-gums).

L'épisode pilote a été adapté d'un scénario qui n'avait pas été retenu pour RoboCop 2. Son titre : Corporate Wars écrit par les auteurs du premier film, Edward Neumeier et Michael Miner. Ce pilote était sorti une première fois en VHS sous le titre Robocop : L'Ultime vengeance.

La série est aussi l'occasion de fouiller l'univers de RoboCop et d'explorer davantage les émotions du héros. RoboCop croisera donc de nouveaux personnages et la série nous présentera le personnage de Russell Murphy, le père de feu Alex Murphy, ancien flic lui-même dont RoboCop affrontera deux de ses anciens ennemis. Ou encore Jimmy Murphy, le fils d'Alex Murphy, qui est présenté d'abord comme un enfant des rues puis comme un futur jeune prodige (théorie reprise dans la télésuite RoboCop 2001 où il est dit que Jimmy Murphy est devenu un des dirigeants de l'OCP). Les scénaristes introduisent aussi une romance virtuelle entre Robocop et le personnage de Diana, ancienne secrétaire du vice-président, qui deviendra malgré elle, après sa mort le « visage » de "Metronet", le super- ordinateur de l'OCP.

RoboCop : Alpha Commando, la série d'animation (1998-1999)

Dans le futur, RoboCop est réactivé après une longue période d'« hibernation ». Il a désormais une nouvelle équipière, l'agent Nancy, remplaçante d'Anne Lewis. Nancy est dépitée de traîner une vieille mécanique, jusqu'au moment où elle se rend compte que RoboCop n'est pas seulement une machine. C'est le Docteur Cornelius Neumier, un scientifique un peu excentrique, qui a remis RoboCop à neuf.

RoboCop 2001, la mini-série (2001)

Dix ans après les évènements de RoboCop. Delta City est devenue une ville sous le contrôle de l'OCP. RoboCop commence à accuser son âge et son obsolescence. De plus, son fils James Murphy, ignorant que son père Alex Murphy est RoboCop, est devenu un directeur de l'OCP. Mais de nouveaux ennemis faisant partie de l'OCP surgissent…

RoboCop (2014)

En 2028, la technologie robotique de l'OmniCorp, conglomérat militaro-industriel, est à la pointe du progrès. Non content de vendre des drones (XT-908) et autres robots militaires (EM-208), comme le « ED-209 », lors de conflits, la société désire rentrer dans le marché de la sécurité publique mais les dirigeants sont hésitants à vouloir tester cette technologie sur le sol américain pour protéger les citoyens. La loi Dreyfuss interdit l'usage de robots sur le sol des États-Unis.

Alex Murphy est un père de famille aimant et un bon policier qui fait son possible pour éliminer le crime à Détroit, dans l'État du Michigan. À la suite de l'explosion de son véhicule piégé, son corps est gravement mutilé et brûlé à 80%. Murphy est cependant sauvé par OmniCorp et le docteur Dennett Norton, qui utilise son savoir scientifique pour le remettre sur pied : il est transformé en cyborg spécialement programmé pour rétablir la justice grâce à des méthodes expéditives. L'usage de cyborgs n'étant pas couvert par la loi Dreyfuss, celui qu'on surnomme désormais RoboCop peut être utilisé. L'intérêt pour OmniCorp est de faire évoluer l'opinion des citoyens sur l'usage des robots, ce qui permet ensuite de pousser l'abrogation de la loi Dreyfuss.

affiche de RoboCop (2014) Avant de mettre RoboCop dans la rue, il subit divers tests. Son efficacité est inférieure à celle des robots préexistants, à cause de la partie organique : peur, instinct, préjugé, compassion retardent les prises de décisions. Dennett opère alors le cerveau pour qu'en situation de combat, ce soit l'ordinateur plutôt que la partie organique qui prenne les décisions. Dennett fait en sorte que la partie organique ait l'illusion de prendre elle-même les décisions. Cette intervention rend RoboCop aussi efficace qu'une machine.

Lorsque les concepteurs sont satisfaits des résultats de RoboCop, ils préparent une conférence de presse. Peu avant le début, Dennett transfère toutes les données de la police de Detroit dans RoboCop, ce qui inclut l'historique vidéo des cameras de surveillance. Lorsque RoboCop reçoit la vidéo de l'explosion de son véhicule, il se met à dysfonctionner. Pressé par la conférence de presse qui doit débuter, Dennett diminue drastiquement le taux de dopamine et de noradrénaline de RoboCop ; ce qui diminue aussi ses émotions au point de faire de lui une machine.

Dans la rue, RoboCop fait rapidement baisser le taux de crime de 80%. L'opinion publique, précédemment très favorable à la loi Dreyfuss, devient plus mitigée. Le taux de dopamine et de noradrénaline de RoboCop revient à la normale, et il se met à enquêter sur son agression. Il tue le responsable, et prouve que 2 policiers sont corrompus. Un des 2 policiers dénonce alors la chef de la police. RoboCop tente alors d'obtenir des aveux de la chef sous la menace d'une arme. Il est désactivé avant de les obtenir, de peur qu'il ne la tue et provoque ainsi un tollé général.

RoboCop devient un héros, mais les dirigeants de OmniCorp commencent à redouter qu'il s'intéresse à leur propres agissements. La décision de le tuer est prise. Dennett découvre cette décision, et s'y oppose en informant RoboCop, et en lui retirant le transmetteur qui permet de le désactiver. Alors que Clara, la femme d'Alex, a déclaré à la presse qu'OmniCorp l’empêchait de voir son mari (l'entreprise ne voulant pas qu'elle ait connaissances des manipulations opérées sur le jeune policier) et se trouve donc toujours sur place, Alex se rend également dans les locaux de l'entreprise. Les robots de l'entreprise l'endommagent grièvement, puis il rejoint Raymond Sellars, le PDG d'OmniCorp qui a ordonné son exécution. Si dans un premier temps, Alex est incapable de tirer sur Sellars à cause de sa programmation, il parvient à la surpasser et finit par l'éliminer.

Interprètes

  • Peter Weller interprète Alex Murphy et RoboCop dans les films RoboCop et RoboCop 2

  • Robert John Burke interprète Alex Murphy et RoboCop dans le film RoboCop 3 et prête sa voix dans le jeu vidéo RoboCop versus The Terminator

  • Michel Vigné est la voix française de RoboCop dans la série d'animation RoboCop (RoboCop: The Animated Series)

  • Richard Eden interprète Alex Murphy et RoboCop dans la série télévisée RoboCop (RoboCop: The Series)

  • David Sobolov est la voix anglaise de RoboCop dans la série d'animation RoboCop : Alpha Commando

  • Page Fletcher interprète Alex Murphy et RoboCop dans la télésuite RoboCop 2001 (Robocop: Prime Directives)

  • Joel Kinnaman interprète Alex Murphy et RoboCop dans le remake RoboCop, sorti en 2014

Caractéristiques

Les directives prioritaires

Les directives prioritaires Les concepteurs de RoboCop ont implanté trois directives prioritaires dans son système d'exploitation, comparables aux trois lois de la robotique :

  1. Servir le public (Serve the public trust)
  2. Protéger l'innocent (Protect the innocent)
  3. Faire respecter la loi (Uphold the law)

Une 4e directive, confidentielle, l'empêche d’appréhender un dirigeant de l'OCP (Any attempt to arrest a senior officer of OCP results in shutdown). Le vice président de l'OCP, Dick Jones déclara, que la directive n°4 constituait sa propre contribution au profil psychologique de RoboCop, essentiellement pour l'immuniser face aux sanctions contre les activités illégales.

Cela rendit RoboCop physiquement incapable de placer en état d'arrestation un cadre dirigeant de l'OCP (Dick Jones), mais ne le mis pas réellement hors-tension comme l'avait déclaré Jones.

RoboCop supprimera de lui-même cette 4e directive dans le 3e volet de la trilogie.

Détails techniques

RoboCop n'a pas de pouvoirs surhumains ou surnaturels comme la plupart des super-héros, mais il dispose de capacités mécaniques et informatiques incroyables, héritées de son corps robotisé. De l'homme avant RoboCop, il ne reste quasiment plus rien d'humain : le corps d'Alex Murphy a été remplacé presque intégralement par une machine, un exosquelette hautement robotisé.

De son passé humain, il ne lui reste qu'une partie de son cerveau (dont la mémoire a été remaniée), son visage, caché derrière son casque (qui est fixé par deux vis au niveau des tempes, comme la créature du Docteur Frankenstein) et un certain nombre de ses organes dont le détail n'est jamais précisé. On apprend en revanche qu'il est doté d'un système digestif rudimentaire et qu'il se nourrit d'une pâte comparable à de la nourriture pour bébé, destinée à maintenir ses fonctions organiques.

Son corps robotique est aussi raide que résistant, et ses mouvements sont comparables à ceux d'un robot industriel opérant dans une usine.

Points forts

  • RoboCop est protégé par une armure intégrale futuriste, fabriquée dans un alliage de titane laminé et de kevlar, ce qui le rend très résistant aux dommages physiques, notamment face aux tirs par armes à feu de petit calibre. Ses bras robotisés ont une force de pression de 200kg (par cm2 probablement, bien que ce ne soit pas précisé dans le film), capable de « réduire en purée chacun de vos 5 doigts », comme le rappelle un des ingénieurs à Morton alors qu'il vient superviser l'assemblage de RoboCop.

  • Il est aussi équipé d'un système de visée intégrée ultra-performant (en fait une connexion super-arme neuronale et logicielle, un système expert), associé à un programme d'acquisition automatique de cibles. Grâce à cette technologie, RoboCop est capable de tirer au pistolet avec une précision frisant la perfection. Avec ce système, une fois les cibles « acquises » en mémoire, il peut leur tirer dessus même sans les « voir », par exemple même si elles se trouvent dans son dos ou cachées par un obstacle.

  • Intégré dans un compartiment spécial situé dans sa jambe droite, RoboCop dispose d'un pistolet automatique surpuissant (désigné comme un « Auto-9 »), qu'il manie avec dextérité. Il peut ouvrir mentalement ce conteneur et y mettre son pistolet en lieu sûr lorsqu'il ne s'en sert pas.

  • L'exosquelette de RoboCop est équipé de toute une batterie de systèmes embarqués de pointe et miniaturisés : un scanner associé à un appareil de thermographie infrarouge, pour voir à travers les murs et localiser des individus grâce à la chaleur qu'ils émettent naturellement. Il dispose également d'une unité d'enregistrement incorporée, et peut par ce biais enregistrer tout ce qu'il voit et entend dans sa mémoire (enregistrement audio et vidéo), ces enregistrements étant valables pénalement lors d'un procès.

  • RoboCop peut se connecter aux ordinateurs ordinaires via une interface métallique rétractable qui lui sort de la main droite (une sorte de pointe ou de lame de pic à glace). Elle lui permet de communiquer avec les ordinateurs auxquels il se raccorde et se procurer des informations, ou transférer les enregistrements qu'il a en mémoire. Désarmé, et mis en difficulté dans son affrontement final contre Clarence Boddiker, RoboCop se sert de cette interface comme d'une arme blanche.

  • Dans RoboCop 3, on peut voir RoboCop voler grâce à un réacteur dorsal, ou encore remplacer son bras gauche par un combiné mitrailleuse, lance-flammes et lance-roquettes.

Points faibles

RoboCop possède plusieurs points faibles. Le plus important étant son absence quasi totale de liberté. En effet, le programme informatique dont il est équipé est basé sur 4 directives prioritaires, pouvant se contredire. (voir la section « Les directives prioritaires »).

Si RoboCop tente de désobéir à l'une des 4 directives, de manière intentionnelle ou non, cela entraîne chez lui une souffrance intense et une mise hors-tension instantanée, bien que temporaire (une sorte de coupe-circuit logiciel). La directive n°4, non prévue à la base par les ingénieurs qui ont conçu RoboCop, a été rajouté par Dick Jones lui-même, comme il le dira à RoboCop dans le film.

On peut établir un parallèle entre ces 4 directives et les Trois lois de la robotique d'Isaac Asimov sur les robots, qui sont similaires. Il convient d'ajouter que RoboCop ne se comporte pas comme une vulgaire machine, comme en témoigne son amitié avec son ex-partenaire, Anne Lewis, qu'il protège durant le film.

RoboCop a également d'autres points faibles, revers de ses points forts technologiques :

  • étant alimenté en énergie électrique par des batteries et étant dépourvu d'un système de recharge autonome, il est susceptible de subir une défaillance d'alimentation

  • il est sensible aux ondes magnétiques (donc aux aimants), à cause de son corps métallique (matériau ferromagnétique)

  • il peut être localisé à distance, ce qui peut être un problème quand la localisation de RoboCop est accessible à ses ennemis. Dans la télé-suite RoboCop : Directives Prioritaires, on découvre que RoboCop est équipé d'une connexion à Internet, ce qui permet, grâce à la géolocalisation, d'indiquer sa position à quiconque

  • il ne peut ni courir, ni sauter

RoboCop (2014) : différences avec l'original

Le RoboCop du remake de 2014 possède des différences plus ou moins notables par rapport à celui de 1987 :

RoboCop 2014
  • il peut courir assez vite, et peut aussi sauter très haut et de manière très précise, à l'aide d'un calculateur de trajectoire

  • sa visière, au lieu d'être fixe, peut s’abaisser ou se relever à volonté, sur une simple commande mentale

  • si quelqu’un braque une arme sur lui, cela déclenche l'abaissement de la visière et l'ouverture des holsters, lui donnant ainsi l'accès à ses armes, le rendant prêt au combat

  • il se déplace désormais au moyen d'une moto spécialement conçue pour lui par OmniCorp, dont la vitesse de pointe approche les 400km/h

  • RoboCop 1987
  • la 4e directive, lui interdisant d'attaquer un membre d'OmniCorp, s'est muée en une directive lui interdisant (au même titre que tous les robots conçus par Omnicorp) d'attaquer toute personne portant sur elle un bracelet rouge spécial

  • il est capable de localiser, avec une assez grande précision, n'importe quel téléphone portable, du moment que ce dernier soit connecté au réseau public

  • la rainure de sa visière lui permettant de voir est plus étroite et plus longue

  • RoboCop 2014
  • on apprend que l'armure de RoboCop peut encaisser sans dommage la plupart impacts de calibres d'armes de poing et d'épaule. En revanche, les balles de calibre 50 sont les seules capables de l'endommager sérieusement. On apprend aussi que les balles de calibre 47 peuvent l'endommager de façon légère

  • il peut déterminer grâce à un scanner si une personne est morte ou non ou si une blessure est mortelle ou non

  • il peut, grâce à un simple regard, relever une empreinte digitale et ainsi la comparer à la base de données de la Police pour savoir à qui elle appartient

  • RoboCop 1987
  • il ne dort plus attaché sur une chaise, mais sur un « lit de charge » qui peut être redressé à la verticale

  • au lieu de manger une bouillie informe pour maintenir ses fonctions vitales, RoboCop est alimenté chaque soir, par l'intermédiaire de son « lit de charge », par alimentation en nutriments et élimination des déchets produits dans la journée de son sang par filtration (à la manière d'une dialyse). On peut de cette façon lui injecter différents médicaments (comme des antidépresseurs)

  • RoboCop 2014
  • il peut, à l'aide des données des caméras de surveillance, reconstituer en 3 dimensions et de manière extrêmement précise le lieu dans lequel il se trouve, tel qu'il était à un jour et une heure précise. Il peut s'y déplacer à l'intérieur comme dans une réalité virtuelle

  • il peut identifier les différentes émotions ainsi que l'état d'esprit d'une personne, ce qui lui permet notamment d'anticiper si la personne va dégainer son arme, et de pouvoir riposter avant elle

  • il est complètement dépendant de son système de combat : le logiciel fonctionne de manière autonome, mais envoie des stimuli au cerveau de Murphy, qui croit contrôler ses mouvements

Apparitions dans d'autres médias

Jeux vidéo

1988 - RoboCop
Un jeu sur borne d'arcade de Data East, adapté en 1989 par Ocean Software sur divers micro-ordinateurs 8 et 16 bits et la console NES.

1990/1991- RoboCop 2
Un jeu d'action développé par Ocean Software à partir de 1990 sur divers micro-ordinateurs 8 et 16 bits et les consoles GX4000, NES et Game Boy. Data East commercialise une version sur borne d'arcade en 1991.

1992 - RoboCop 3
Un jeu d'action en 3D pleines, développé par Digital Image Design et édité par Ocean Software sur Amiga, Atari ST et DOS.

1992 - RoboCop 3
Un jeu d'action développé sur consoles Nintendo et Sega et le micro Commodore 64. Les versions NES, Super Nintendo ont été développées et éditées par Ocean Software. La version sur Commodore 64 a été développé par Probe Software et édité par Ocean. Les versions Master System, Mega Drive et Game Gear, sorties à partir de 1993, ont été développées par Eden Entertainment et éditées par Flying Edge.

1993 - RoboCop versus The Terminator
Un jeu d'action d'Avalon Interactive et édité par Virgin Interactive sur Game Boy, Game Gear, Master System, Mega Drive et Super Nintendo.

2003 - RoboCop
Un jeu de tir à la première personne développé et édité par Titus Interactive sur PlayStation 2, Xbox, GameCube et Windows.

2004 - RoboCop
Un jeu de I-Play sur téléphone mobile.

2014 - RoboCop
Glu propose un jeu de tir à la troisième personne mettant en scène Alex Murphy dans un Détroit de 2028 en prise avec la violence sur Smartphone Android.

Au programme de RoboCop :

  • TIREZ dans des simulations d’entraînement de qualité console
  • UTILISEZ des frappes de drones pour éliminer de grands groupes d’ennemis
  • SAUVEZ des otages humains et capturez des informateurs
  • AFFRONTEZ des robots ennemis agressifs issus du film tels que l’EM-208 et l’ED-209
  • AMÉLIOREZ vos armes et votre combinaison robotique au moyen de la dernière technologie d’OmniCorp
  • ANALYSEZ votre entourage avec votre vision thermocorporelle pour trouver l’emplacement de vos cibles et leurs points faibles

2015 - Broforce
Dans le jeu Broforce, le personnage y apparaît en tant que « bro » jouable sous le pseudonyme de « Brobocop ».

2019 - Mortal Kombat 11, DLC Aftermath (2020)
RoboCop est un personnage jouable dans l'extension Aftermath du jeu Mortal Kombat 11. Peter Weller revient interpréter le personnage 30 ans après RoboCop 2 (1990).

Bandes dessinées

Plusieurs séries de comics basé sur l'univers des films de RoboCop ont été publiés par différent éditeurs.

Boom! Studios

La maison d'édition Boom! Studios a publié une adaptation en comics du scénario original du film RoboCop 3 (version non tournée), publiée en France par Wetta sous le titre Robocop : Mort ou vif.

  • Titre : Robocop : Last Stand
  • Scénario : Frank Miller, Steven Grant, Ed Brisson
  • Dessins : Korkut Öztekin
  • Coloriste : Michael Garland, Jordie Bellaire (covers)
  • Couverture : Declan Shalvey
  • Nombre de numéros : 8
  • Date de parution : août 2013

Les 8 couvertures originales forment une fresque.

Avatar Press

La maison d'édition Avatar Press a publié Frank Miller's ROBOCOP. Un tome a été édité en français aux éditions Albin Michel.

L'adaptation complète de la vision originale de RoboCop du légendaire conteur Frank Miller. Cet omnibus comprend les adaptations par le scénariste Steven Grant (2 Guns) des scénarios non produits pour RoboCop 2 et RoboCop 3 écrits à l’origine par Frank Miller (Sin City, 300). Comprend des sélections de scénarios de Frank Miller et une œuvre d'art originale jamais vue sur RoboCop Frank Miller de son scénario RoboCop 2. Soyez témoin de la violence d'un mur à l'autre, de la comédie noire, de la science-fiction et du néo-noir qui n'ont jamais atteint le grand écran.

Dark Horse Comics

La maison d'édition Dark Horse Comics a publié 4 mini-séries, chacune à 4 numéros, ainsi qu'une adaptation en comics du film RoboCop 3.

En ce qui concerne l'adaptation :

  • Titre : Robocop 3
  • Scénario : Steven Grant
  • Dessins : Hoang Nguyen
  • Encrage : Art Nichols
  • Lettrage : Clem Robins
  • Coloriste : Chris Chalenor (n°1), James Sinclair (n°2), Penny Zemaitis (n°3)
  • Couverture : Nelson
  • Nombre de numéros : 3
  • Date de parution : juillet 1993 - Novembre 1993
RoboCop vs. Terminator

RoboCop versus The Terminator a été publié par Dark Horse Comics

En l'an 2029, un rebelle humain accède à l'équipement de voyager dans le temps de Skynet et part dans une mission dans le passé pour tuer RoboCop. Skynet envoie un trio de Terminators pour protéger RoboCop.

Noter que cette série a été adaptée en jeux vidéo.

  • Scénario : Frank Miller
  • Dessins, encrage et couverture : Walter Simonson
  • Lettrage : John Workman
  • Coloriste: Rachelle Menashe (n°1 et 2) ; Steve Oliff (n°3 et 4)
  • Nombre de numéros : 4
  • Date de parution : mai 1992 - août 1992

En 2014, Dark Horse est fier de collecter pour la toute première fois, le classique RoboCop vs. The Terminator de Frank Miller et Walter Simonson #1-#4 dans une édition nouvellement restaurée !

Mortal Coils

Mortal Coils (1993) a été publié par Dark Horse Comics en 4 numéros.

Dans la foulée de la récente histoire de « RoboCop: Invasions » de Dark Horse Comics, cette nouvelle série de quatre numéros, présentée par la même équipe créative de Grant, Gnazzo et Patterson, démarre froidement dans les environs enneigés d’un Colorado étrangement désolé. RoboCop et Marie Lazarus sont à la recherche de Coffin, impliqué dans la récente effraction d’OCP, et suivent une piste du FBI à Denver à la recherche de l’énorme homme de hachette. Mais avant d’arriver à se plonger dans les raisons pour lesquelles Coffin est à Denver, ils doivent faire face à Hooks et sa bande de charognards d’autoroutes de haute technologie !

  • Scénario : Steven Grant
  • Dessinateur : Nick Gazzo
  • Dessins, encrage et couverture : Bruce Patterson
  • Lettrage : Patrick Owsley
  • Coloriste: Matt Hollingworth (n°1) ; Pamela Rambo (n°2-3-4)
  • Nombre de numéros : 4
  • Date de parution : septembre à décembre 1993
Prime Suspect

Prime Suspect (1992-1993) a été publié par Dark Horse Comics en 4 numéros.

Detroit est habitué aux pitreries sauvages d’Insane Izzy, entrepreneur en électronique excentrique extraordinaire et RoboCop basher. Maintenant, Izzy a été abattu... avec le pistolet de RoboCop. Et RoboCop est le seul à pouvoir le tirer. Comment mettre un flic cyborg en suspension ? Et comment peut-il effacer son nom quand il ne peut pas faire confiance à ses propres souvenirs enregistrés ?

En octobre 1993, Dark Horse Comics a publié un recueil des 4 numéros intitulé RoboCop: Prime Suspect TPB.

  • Scénario : John Arcudi
  • Dessinateur : John Paul Leon
  • Dessins, encrage et couverture : Jeff Albrecht
  • Lettrage : Clem Robins
  • Coloriste: Matt Webb
  • Nombre de numéros : 4
  • Date de parution : octobre 1992 à janvier 1993
RoboCop: Roulette

RoboCop: Roulette (1993-1994) a été publié par Dark Horse Comics en 4 numéros.

Ce premier numéro est votre billet de retour à Detroit dystopique, où les cadavres continuent d’apparaître, et où RoboCop est l’officier sur l’affaire. RoboCop commence à suivre la piste du meurtre et du chaos jusqu’à OCP, prenant le temps en cours de route pour affronter un ED-209 devenu berserk et un homme qui pourrait être le méchant le plus pernicieux de tous - un agent de l’IRS !

  • Scénario : John Arcudi
  • Dessinateur : Mitch Byrd
  • Dessins, encrage et couverture : Brian Garvey
  • Lettrage : Pat Brosseau
  • Coloriste: James Sinclair
  • Nombre de numéros : 4
  • Date de parution : décembre 1993 à mars 1994

Marvel Comics

En mai 1990, Marvel Comics a publié le premier numéro d’une série de comics RoboCop basée sur le film. La série a duré 23 numéros, se terminant en janvier 1992. En outre, un one-shot est sorti en août 1990, réimprimant en couleur l’adaptation en noir et blanc du film par le magazine en 1987. Ce même mois a également vu une adaptation en noir et blanc de la suite du film RoboCop 2, ainsi qu’une mini-série de 3 numéros, imprimant en couleur le même contenu que le magazine RoboCop 2.

Les histoires racontées dans ces numéros se déroulent entre le 2e et le 3e film RoboCop. Entré dans l’univers Marvel, le cadre futuriste de RoboCop s’étend au-delà des restrictions d’un budget hollywoodien. Les plus susceptibles de donner à « l’avenir de l’application de la loi » une réalité plus basée sur la science-fiction, les gangs roulent maintenant sur des vélos volants, les droïdes urbains effectuent des services publics comme l’élimination des déchets, et presque n’importe qui avec le savoir-faire ou l’argent peut créer un robot tueur géant.

Le thème récurrent tout au long des 23 numéros est la lutte continue de RoboCop pour équilibrer son humanité avec la machine dans laquelle Omni Consumer Products l’a transformé après sa mort brutale. Pendant ce temps, il combat des robots tueurs, des animaux cyborgs, les sociétés rivales d’OCP, des nations étrangères, des mercenaires et les tentatives d’OCP de produire en masse des RoboCops.

Les 13 autres couvertures
de RoboCop volume 1

Voici les 3 numéros de RoboCop 2 :

Dynamite Entertainment

RoboCop Vol 1: Revolution

RoboCop est une série de comics de Dynamite Entertainment qui s’est déroulée de janvier à juin 2010, avec un total de 6 numéros. L’histoire continue dans RoboCop: Road Trip. Les 4 premiers numéros ont été réimprimés dans un livre de poche sous le titre RoboCop: Revolution.

  • Couvertures : Stephen (Wolverine) Ségovie (75%) et Johnny D (25%)
  • Scénariste : Rob Williams
  • Dessinateur, encreur : Fabiano Neves
  • Date de publication : janvier 2010
RoboCop: Road Trip

RoboCop: Road Trip est une série de bande dessinée de Dynamite Entertainment sortie en 2011. C’est la suite de leur série RoboCop 2010.

Poursuivant l’histoire de la série Robocop de Dynamite, l’Amérique est tombée dans un paysage de révolution et de chaos et OCP a repris Old Detroit aux autorités dans un coup politique. c’est à Robocop et à ce qui reste du département de police d’Old Detroit d’essayer de sortir de l’État afin d’obtenir de l’aide de l’armée américaine. Mais les ED-309 patrouillent dans les rues et OCP a un nouveau prototype de robot mortel à envoyer après Murphy and co. Pendant ce temps, la santé mentale de Robocop continue de s’effondrer avec son pays.

  • Couvertures : Fabiano Neves
  • Scénariste : Rob Williams
  • Artiste : Unai Dezarate
  • Date de publication : décembre 2011 à mars 2012
Terminator/RoboCop: Kill Human

Terminator/RoboCop: Kill Human est une série de bande dessinée de Dynamite Entertainment, paru en 2011.

La machine à tuer ultime rencontre l’avenir de l’application de la loi ! Dans le futur, l’humanité a été anéantie et les machines triomphent. Traumatisé par ses actions influencées par Skynet, RoboCop cherche à voyager dans le temps et à changer le cours de l’histoire. Mais lorsqu’il émerge au milieu de l’assaut de John et Sarah Connor contre Cyberdyne Systems, il se retrouve face à face avec le 2e Terminator qui voyage dans le temps. Les balles vont voler ! Et le T-1000 ne peut pas être loin derrière !

Rassemblant la série de 4 numéros en un seul volume avec du matériel bonus, et une galerie de couverture avec des illustrations de Walt Simonson et Tom Feister.

  • Couvertures : Walt Simonson (33%), Tom Feister (33%), Jonathan Lau (33%)
  • Scénariste : Rob Williams
  • Dessinateur, encreur : PJ Holden
  • Date de publication : juillet 2011 à octobre 2011